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Journaliste Indépendant - Attaché de Presse - Chargé de Communication et Attaché de Relations Publiques - Secrétaire Général de l'Association Générale des Familles du Comté de Nice - Attaché au Service Presse du Protocole des Villes de Béziers et de Nice
Emmanuelle Mottaz, également connue sous le nom de scène Emmanuelle, est une chanteuse et scénariste française, née le 19 juillet 1963 à Paris XIVe. Elle est l'interprète du titre Premier Baiser, sorti en 1986.
Emmanuelle est l'une des premières chanteuses lancées par Jean-Luc Azoulay après Dorothée et avant Hélène Rollès. Elle commence sa carrière en 1985 en sortant le titre Je t'appelle de Macao, qui ne connaît pas le succès.
La même année, elle est la « voix » de l'ordinateur dans la chanson Allô allô Monsieur l'ordinateur de Dorothée. En 1986, la carrière d'Emmanuelle explose avec le titre Premier Baiser. Très marqué par les sonorités des années 1960, ce tube atteint la deuxième place du Top 50 et s'écoule à 700 000 exemplaires. La musique de cette chanson sera reprise pour le générique de la sitcom Premiers Baisers diffusée sur TF1 entre 1991 et 1995.
Un premier album sort dans la lignée du 45 tours, comprenant une reprise du titre Rossignol de Luis Mariano ainsi qu'une chanson abordant l'homosexualité féminine (Pas un garçon). En 1987, le titre Rien que toi pour m'endormir annonce un deuxième album. C'est à nouveau un succès, Emmanuelle atteignant la troisième place des ventes de singles en France et en écoulant 500 000 exemplaires.
Deux autres 45 tours sont extraits, Et si un jour et Ce n'est qu'un voyou, mais ceux-ci ne remportent pas de succès malgré une intensive promotion...
Caroline Cayeux dans la tourmente. Depuis sa nomination au gouvernement, le 4 juillet, la ministre des Collectivités territoriales se retrouve sous le feu des critiques en raison de propos homophobes tenus lors d'une séance au Sénat en avril 2013, quand l'ancienne maire de Beauvais avait évoqué un dessein "contre la nature" en désignant le mariage pour tous. Plusieurs associations ont déposé plainte à son encontre et des membres de la majorité ont signé une tribune à paraître dimanche 16 juillet pour remettre en cause son maintien au sein du gouvernement. Franceinfo revient sur cette polémique qui embarrasse l'Elysée et Matignon.
1Des élus de gauche lancent une pétitition
Tout commence lorsqu'une cinquantaine de députés de gauche demandent, lundi 11 juillet, "le départ" de trois ministres – le ministre de l'Ecologie, Christophe Béchu, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, et Caroline Cayeux – qu'ils accusent d'avoir "un passé" au sein de la Manif pour tous et d'être des "LGBTQIAphobes notoires". Leur pétition, parue dans le journal Têtu, reproche à la ministre des propos tenus lors d'une séance au Sénat le 8 avril 2013, alors qu'elle était siégeait au Palais du Luxembourg.
En citant la philosophe Chantal Delsol, elle avait alors déclaré : "Je pense que 'l'exigence du mariage homosexuel, et l'adoption des enfants qui va avec', n'est pas simplement un dessein 'qui va contre la nature'". Caroline Cayeux avait jugé l'affaire "plus grave, parce que l'on ne débat pas sur 'la question des limites : tout ce que je veux, et tout de suite, et qu'elles qu'en soient plus tard les conséquences'."
La pétition accuse Emmanuel Macron, "élu pour faire barrage à l'extrême droite homophobe" d'ajouter "à son gouvernement" une "nouvelle figure de la Manif pour tous". A l'initiative du député insoumis Andy Kerbrat, le texte est notamment signé par Ugo Bernalicis, Mathilde Panot, Danièle Obono et Adrien Quatennens. Elle regroupe au total une centaine de signatures, dont des militants.
2Caroline Cayeux "assume" ses propos
Le lendemain, Caroline Cayeux dit d'abord "assumer" ses propos, lors d'une intervention sur la chaîne Public Sénat, tout en se défendant d'avoir parlé de "caprice". "Je maintiens évidemment mes propos, mais j'ai toujours dit que la loi, si elle était votée, je l'appliquerai", déclare alors l'ancienne élue des Républicains. "J'ai beaucoup d'amis parmi tous ces gens-là", ajoute-t-elle. "C'est un mauvais procès qu'on me fait et ça m'a beaucoup contrarié. Je n'ai jamais fait partie de La Manif pour tous, je n'ai jamais défilé, que les choses soient claires."
"Ces gens-là" ? Cette expression fait bondir de nombreuses personnalités politiques. "J'ai beaucoup d'amis parmi ces gens-là'. Wow", commente l'écologiste Sandrine Rousseau. La ministre "insulte les homosexuels à la télévision. C'est grave, dangereux et interdit", s'indigne la militante Caroline De Haas. Très critiquée sur les réseaux sociaux, Caroline Cayeux fait ensuite marche arrière, un peu plus tard dans la journée, dans un message publié sur Twitter : "Mes propos ont blessé nombre d'entre vous, écrit-elle. Je les regrette profondément, ils étaient naturellement inappropriés. L'égalité des droits doit toujours être une priorité de notre action."
3Des associations portent plainte
Plusieurs associations de lutte contre l'homophobie déposent plainte, mercredi 13 juillet, à Paris pour "'injure publique envers un groupe de personnes en raison de leur orientation sexuelle par une personne dépositaire de l'autorité publique". Dix ans après le vote du mariage pour tous, "ces propos sont outrageants pour les personnes homosexuelles", estime Etienne Deshoulières, avocat de ces associations.
"On ne peut pas avoir un gouvernement qui prétend lutter contre les discriminations que nous subissons et une ministre qui s'autorise à dire ça."
Terrence Khatchadourian, secrétaire général de Stop Homophobie
sur franceinfo
Les propos de Caroline Cayeux sèment aussi le trouble au sein du gouvernement. Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, evoque ainsi des "propos anachroniques", et Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, déclare sur LCI qu'il fait, lui aussi, "partie de ces gens-là".
4La ministre présente ses excuses
Caroline Cayeux revient jeudi sur ses propos dans un entretien au Parisien. Et le ton, cette fois-ci, est bien différent de celui employé sur Public Sénat. La ministre y dit "regretter" ses propos "stupides" de 2013. "Les propos mentionnés remontent à dix ans", ajoute-t-elle. "Et si je ne peux nier les avoir tenus, évidemment que je ne les utiliserais plus et les regrette. Je comprends que ces propos maladroits aient pu autant blesser."
"Je tiens ici à renouveler toutes mes excuses les plus sincères car ils ne reflètent pas du tout ma pensée".
Caroline Cayeux, ministre des Collectivités territoriales
dans "Le Parisien"
La ministre revient sur la plainte déposée par plusieurs associations, indiquant qu'elle leur a "écrit un courrier d'excuses" : "Je veux qu'elles sachent qu'elles me trouveront toujours à leurs côtés dans les combats qu'elles mènent contre les discriminations et pour l'égalité des droits." Interrogée également sur son expression "parmi ces gens-là", Caroline Cayeux assure mesurer "combien cette expression a été choquante et douloureuse pour de nombreuses personnes".
5Elisabeth Borne défend sa ministre
Vendredi, en marge d'un déplacement dans le Calvados, Elisabeth Borne est interpellée au sujet de sa ministre des Collectivités territoriales. "Caroline Cayeux a tenu il y a plusieurs années des propos qui étaient naturellement choquants. Quand elle a voulu s'en expliquer, elle a manifestement tenu des propos maladroits", estime-t-elle.
"Je pense que les choses sont désormais claires et Caroline Cayeux, comme le reste du gouvernement, est au travail et concentrée sur sa mission."
Elisabeth Borne, Première ministre
en déplacement dans le Calvados
"Je pense qu'elle a eu l'occasion de s'expliquer dans une interview [au Parisien] pour présenter ses excuses aux personnes qui ont pu être choquées", poursuit Elisabeth Borne. Selon la Première ministre, Caroline Cayeux a pu "réaffirmer qu'elle partageait totalement les valeurs progressistes que porte le président, que je porte et que porte mon gouvernement, et qu'elle sera très vigilante à l'avenir au soutien qui peut être apporté à toutes les associations qui luttent contre les discriminations, et notamment contre l'homophobie".
Au sein du gouvernement, toutefois, la température a du mal à baisser. La secrétaire d'Etat chargée de l'Economie sociale, Marlène Schiappa, dénonce sur France Inter des propos "bien évidemment très blessants". Clément Beaune affirme sur franceinfo en avoir discuté avec Caroline Cayeux elle-même : "J'ai pensé très important de ne pas le cacher, de le dire, en privé comme en public, parce qu'on parle de sujets fondamentaux."
6Une tribune de la majorité remet en cause son maintien au gouvernement
Malgré les appels d'Elisabeth Borne à clore le débat, l'affaire pourrait ne pas en rester là. Une centaine de personnalités de tous horizons, y compris de la majorité présidentielle, ont dénoncé les "propos homophobes" de la ministre chargée des Collectivités territoriales, Caroline Cayeux, dans une tribune publiée par le Journal du Dimanche (éditions abonnés), samedi. Parmi les signataires figurent entre autres, sur le plan politique, l'ancien Premier ministre Manuel Valls, les députés de la majorité Joël Giraud, David Valence, Raphaël Gérard ou encore Quentin Bataillon.
"La question est de savoir si le gouvernement, dans son devoir de solidarité, valide la position d'un de ses membres, et si la majorité souscrit à son attitude", soulignent ces personnalités. "Ses propos meurtrissent personnellement beaucoup d'entre nous, mais surtout ils mettent à mal nos efforts quotidiens pour faire respecter les principes républicains dans nos territoires", poursuivent les signataires de la tribune, estimant que les "regrets" de Caroline Cayeux n'ont pas la "force de la sincérité".
Un conseiller de premier plan assure à franceinfo qu'une dizaine de ministres actuels sont scandalisés, en coulisses, par l'affaire Caroline Cayeux et soutiennent cette tribune. Toujours selon cette source, Matignon avait relu l'interview accordée au Parisien par la ministre. Autant dire que l'affaire est suivie de près.
Patrick Juvet, connu pour son tube "Où sont les femmes ?", est mort à l'âge de 70 ans
Son agent Yann Ydoux l'a annoncé à l'AFP jeudi. Le corps de l'artiste a été retrouvé dans un appartement à Barcelone.
Le chanteur suisse Patrick Juvet, devenu célèbre dans les années 1970 pour son tube disco "Où sont les femmes ?", est mort à l'âge de 70 ans, a annoncé à l'AFP jeudi 1er avril son agent, Yann Ydoux. Le corps de l'artiste a été retrouvé dans un appartement à Barcelone. Les causes du décès ne sont pas encore établies. "Il y aura une autopsie, je l'avais eu au téléphone il y a trois jours, je l'avais trouvé bien", a expliqué Yann Ydoux.
Ricky Martin dévoile une rare photo de sa fille, Lucia… et elle a bien grandi !
Ce vendredi 24 décembre, Ricky Martin célébrait ses 50 ans. Un jour particulier pour le chanteur puisque c'était également l'anniversaire de sa fille, Lucia, qui a soufflé sa 3ème bougie.
Un bonheur sans nuage. Ce vendredi 24 décembre, Ricky Martin célébrait non seulement son 50ème anniversaire mais également les trois ans de sa petite Lucia. À cette occasion, Jwan Yosef, le mari du chanteur, a publié de rares clichés de la petite fille sur Instagram pour le plus grand plaisir de leurs fans, surpris de voir à quel point la fillette avait grandi. Et pour cause, si son visage n’apparaît jamais, les internautes ont été ravis d’apercevoir la silhouette de Lucia qui, du haut de ses trois ans, arbore déjà une magnifique chevelure blonde digne de Raiponce.
En légende de différents clichés où apparaissent deux des grands amours de sa vie, l’artiste suédois a rendu hommage à son époux. « Aujourd'hui, c'est une double joie, mon mari le plus incroyable, Ricky Martin, a 50 ans et ma fille Lucia a 3 ans », s’est-il ému. Et d’ajouter, non sans émotion : « Tu as été un rayon de de soleil au cours des 5 dernières décennies et voici encore 50 ans de lumière complète. Je t'aime pour toujours hayati. » Depuis l’arrivée des jumeaux Valentino et Matteo, nés en août 2008, Ricky Martin rêvait d'agrandir sa famille. Depuis la naissance de la petite Lucia en décembre 2018 et de son petit frère, né en octobre 2019, le couple semble nager dans le bonheur. Une jolie revanche pour le chanteur qui a eu toutes les peines du monde à faire son coming-out.
Superbe album, où Sylvie Vartan réinterprète quelques-uns de ses grands succès en version acoustique. Cela donne un ton intimiste aux titres que nous connaissions, et qui nous permet de redécouvrir les chansons de cette grande dame sous un autre angle. Les chansons n'ont pas vieilli et la voix de l'interprète a mûri. N'hésitez pas si vous aimez Sylvie... De plus, vous pouvez écoutez 30 secondes de chaque titre comme cela vous saurez si ces nouveaux arrangements vous plaisent... ou pas...
Note : 10/10
Chansons connues de Sylvie Vartan reprises avec d'autres arrangements , concerts avec bonus et duos avec d'autres chanteurs Mon préféré est "Fille de l'Est" avec Patricia KAAS : belle orchestration, belles voix , une vraie réussite ainsi que celui de Etienne DAHO avec son arrangement et son rythme et le 3° avec David Hallyday ,étonnant de justesse…
Un concert + bonus, des live's , des duos avec Patricia Kaas (Une fille de l'Est) d'une grande beauté, une reprise avec Etienne Daho très réussie et celui avec son fils David Hallyday, composé pour son père mais que Sylvie reprend avec aisance...
Le reste sont des chanson connues , reprises quelquefois un peu manières et quelques inédits Sylvie Vartan est meilleure sur les mélodies que sur des tubes américains qui lui cassent la voix et brisent son vibrato très personnel . Ensemble de l'inattendu et quelques défauts mais surtout bon quand elle sort de son éternel répertoire !