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  • Emmanuelle Mottaz… Ce N'Est Qu'Un Voyou & Mon Premier Chagrin D'Amour [Vinyle 45 Tours] - [Vinyl 7'']

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    Pour ma part, Ce Single de cet artiste reste Le Titre de la maturité et de l'immense Talent de cet Artiste à part entière qu'est Emmanuelle [Mottaz] de son vrai nom.

    Emmanuelle Mottaz Une Artiste Trop Rare Pour Les Nostalgiques Des Années 80'S; Rarissime Et Cultissime !

    Ce nouveau titre n'a pas rencontré un succès National ni même Européen estimé par ses pères qu'elle mérité mais par contre et tout de même un superbe et magnifique accueil de son public ainsi que de ses fans et de très belles critiques constructives qui va aboutir;

    Rentré au TOP 50 à l'époque mais pas très bien classé en France seulement quelques semaines ni même dans les pays Francophones et Frontaliers (Belgique, Suisse, Luxembourg) là ou elle avait connu bien mieux.

    Néanmoins Ce 45 Tours est un Vinyle à posséder et à consommer sans aucune modération pour les Mélomanes, les Fans et les passionnés exagérés de musique mais aussi pour les dilettantes et les autres.

    Durant des années j'ai conservé ma collection de disques vinyles.

    Beaucoup d'amis se sont un peu moqués de moi mais finalement ces vieux disques en plastique provenant de l'éthylène sont redevenus très à la mode.

    Je conseille à tous les musicomanes et les mélos-mania qui aiment la musique autant que moi de posséder une platine de disques vinyles ;

    Et puis... Très honnêtement, la magie opère d'avantage avec le bruit des sillons et du saphir sur la platine de tourne-disques : Un Bijou qui n'a pas de Prix ainsi qu'une pépite à l'état brut !

    Enjoy Yourself Emmanuelle Mottaz… Ce N'Est Qu'Un Voyou & Mon Premier Chagrin D'Amour…
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  • Patrick Juvet est mort à l'âge de 70 ans "Ou Sont Les Femmes ?"... Il Y Aura Une Autopsie Pour Déterminer Les Causes Du Décès !

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    Patrick Juvet, connu pour son tube "Où sont les femmes ?", est mort à l'âge de 70 ans

    Son agent Yann Ydoux l'a annoncé à l'AFP jeudi. Le corps de l'artiste a été retrouvé dans un appartement à Barcelone. 

    Le chanteur suisse Patrick Juvet, devenu célèbre dans les années 1970 pour son tube disco "Où sont les femmes ?", est mort à l'âge de 70 ans, a annoncé à l'AFP jeudi 1er avril son agent, Yann Ydoux. Le corps de l'artiste a été retrouvé dans un appartement à Barcelone. Les causes du décès ne sont pas encore établies. "Il y aura une autopsie, je l'avais eu au téléphone il y a trois jours, je l'avais trouvé bien", a expliqué Yann Ydoux. 

  • "Stopper Amazon avant qu’il ne soit trop tard" : l'appel de plus d'une centaine d'ONG, de syndicalistes, de citoyens et d'élus

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    Entrepôt Amazon à Osterweddingen (Allemagne), en septembre 2020 (PICTURE ALLIANCE VIA GETTY IMAGES)

    "Stopper Amazon avant qu’il ne soit trop tard" : l'appel de plus d'une centaine d'ONG, de syndicalistes, de citoyens et d'élus

    Les 120 signataires de la tribune que publie franceinfo font le constat d'une "crise sans précédent qui a une nouvelle fois révélé les profondes inégalités de notre société". Ils demandent l'instauration d'une taxe exceptionnelle sur le chiffre d’affaires d’Amazon.

    Radio France

    Pour eux, Amazon apparaît comme "le grand gagnant de la crise" du Covid-19 et du confinement. Pendant que "les premiers de corvées risquent leurs vies au quotidien" et alors que "des dizaines de milliers de personnes ont perdu ou vont perdre leur emploi, et qu'un million de personnes supplémentaires sont passées sous le seuil de pauvreté en France", le géant du e-commerce a vu ses ventes "exploser" en 2020, et la fortune de son PDG Jeff Bezos dépasser les 200 milliards de dollars. Les premiers signataires de la tribune publiée par franceinfo, lundi 16 novembre, sont des responsables de la CGT, FSU, Attac, Greenpeace, Agir pour l'environnement, Confédération paysanne, Amis de la Terre, mais aussi des libraires ou des éditeurs, des maires, députés, sénateurs ou conseillers municipaux FI, PCF, EELV, PS. Ils appellent à "stopper Amazon". "La crise du Covid devrait nous servir à repenser en profondeur nos modes de consommation et de vie sociale, pas à nous enfoncer dans un monde de surconsommation prédateur", écrivent-ils.



    Nous affrontons une crise sans précédent qui a une nouvelle fois révélé les profondes inégalités de notre société. Les "premiers de corvées", très majoritairement des femmes, risquent leurs vies au quotidien, des dizaines de milliers de personnes ont perdu ou vont perdre leur emploi et un million de personnes supplémentaires sont passées sous le seuil de pauvreté en France.

    Mais tout le monde n’est pas affecté de la même manière. Amazon, le géant du e-commerce, apparaît comme le grand gagnant de la crise. Depuis le début de l’année 2020, ses ventes ont explosé et la fortune de Jeff Bezos a dépassé les 200 milliards de dollars.

    "Des gens cloîtrés chez eux, qui commandent nourriture, vêtements ou produits électroniques sur le site d’Amazon, regardent Amazon Video ou écoutent Amazon Music, c’est la situation rêvée pour Jeff Bezos."

    Les signataires de la tribune 

    à franceinfo

    Et tant pis si cela se fait au prix de 20 000 salariés contaminés par le Covid, d’une explosion du nombre de produits importés, du recours à des modes de transports polluants qui se conjuguent à des dérogations au temps de conduite des chauffeurs routiers prises par décret, de la destruction de milliers d’emplois dans les commerces de proximité, d’une évasion fiscale massive, ou de l’artificialisation des terres pour construire 19 nouveaux entrepôts en France.

    Ce développement accéléré se fait aux dépens des engagements climatiques de notre pays. En permettant de tout acheter "en un clic", Amazon favorise en réalité la multiplication d'achats superflus et suremballés, consommateurs de ressources et émetteurs de CO2.

    Dans le même temps chez Amazon, les revendications salariales sont balayées d’un revers de main, les demandes de primes exceptionnelles liées à l’augmentation de l’activité sont refusées (alors qu’elles existaient lors du premier confinement), tout comme le maintien du salaire pour celles et ceux qui doivent être confinés.

    "Un monde d’après pire qu’avant"

    Avec le second confinement et la fermeture de nombreux petits commerces, Amazon se frotte une nouvelle fois les mains. Pire, Emmanuel Macron lui déroule le tapis rouge ! Non seulement il se refuse à stopper les projets en cours d’entrepôts, centres de tri et agences de livraison, mais il a décidé d’interdire à tout le monde de vendre des produits non essentiels sauf... aux géants de la vente en ligne !

    En faisant ce choix, le président dessine un monde d’après pire qu’avant. Celui d’un capitalisme sécuritaire dominé par les GAFA, ces géants du e-commerce et de la vie numérique. Celui d’une multinationale en train d’asseoir son monopole dans la vente de milliards de produits en détruisant la vie sociale locale, une multinationale qui détruit 4,5 emplois lorsqu’elle en crée un, qui remplace progressivement ses salariés par des robots et qui a recours à des milliers de travailleurs précaires pour livrer ses produits. Conscients de ces dangers, les membres de la Convention citoyenne pour le climat ont proposé un moratoire sur la construction de nouvelles surfaces commerciales, mais Emmanuel Macron et son gouvernement font tout pour que les entrepôts de e-commerce en soient exclus.

    Les faveurs accordées par le Président au géant de Seattle ne sont pas nouvelles mais, avec la crise et le confinement, Amazon menace la survie même de l’ensemble du secteur du commerce. 

    "Si elle n’est pas stoppée, l’expansion d’Amazon pourrait conduire au doublement de sa part de marché et provoquer la destruction de 100 000 emplois partout en France."

    Les signataires de la tribune 

    à franceinfo

    Elle se traduirait également par la distribution de 2 milliards de produits supplémentaires par an et nous enfoncerait encore plus dans le chaos climatique.

    La crise du Covid devrait nous servir à repenser en profondeur nos modes de consommation et de vie sociale, pas à nous enfoncer dans un monde de surconsommation prédateur. D’où l’importance d’un moratoire pour nous permettre de réfléchir à des alternatives en matière d’emploi et de développement de la vie locale compatibles avec les enjeux climatiques et sanitaires. Le vote de la "loi CCC" (Convention citoyenne pour le climat) est la dernière opportunité pour stopper cette expansion avant que les dégâts ne soient irréversibles.

    Pour faire face à l’urgence, une taxe exceptionnelle sur le chiffre d’affaires d’Amazon et des autres profiteurs de la crise est également indispensable. Elle permettrait dans l’immédiat de financer les mesures de préservation de l’emploi et le fonds de solidarité pour les commerces de proximité.

    La fronde qui monte partout en France doit encore s’amplifier, car le monde rêvé par Amazon est en totale contradiction avec la profonde aspiration à des vies décentes sur une planète vivable. C’est la raison pour laquelle nous nous mobiliserons d’ici au 27 novembre prochain, date du “Black Friday”, pour montrer l’urgence de stopper l’expansion du géant du e-commerce avant qu’il ne soit trop tard.


    Les signataires

    Angaut Jean-Christophe, philosophe et traducteur, Aubry Manon, députée européenne, Autain Clémentine, députée LFI de Seine-Saint-Denis, Azam Geneviève, essayiste, Baujard Jacques et Giacomoni Fred, librairie Quilombo à Paris, Bayou Julien, secrétaire national d'EELV, Benbassa Esther, sénatrice écologiste de Paris, Benguigui Pia, présidente du Réseau français des étudiants pour le développement durable (Refedd), Bernalicis Ugo, député LFI du Nord, Blanchard Luc, adjoint à la mairie du Meux (60), trésorier régionale d'EELV Picardie , Bompard Manuel, député européen (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Bruneel Alain, député Gauche démocrate et républicaine du Nord, Bossuyt Arnaud, documentaliste, Snac-FSU, Bousquet Alain, économiste, Caillaud Mathieu, conseiller municipale délégué LFI Saint-André-de-Cubzac (33), Bénéteau Chloë, librairie Floury Frères, Toulouse, Camboulives Bernard, collectif En commun pour Belfort, Cervantes Descubes Evelyne, Conseillère municipale à la mairie de Bordeaux, Casenave-Camgaston Alexandra, librairie des Editeurs associés, Cassen Bernard, ancien directeur général du "Monde diplomatique", Chaibi Leïla, députée européenne (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Chamoux Émilie, conseillère municipale d'opposition, Nevers (58), Chaineaud Christel, ingénieur d'études et docteur en histoire du droit, Chassaigne André, président du groupe Gauche démocrate et républicaine, député du Puy-de-Dôme, Chauche Florian, conseiller municipal à Belfort, Clinckemaillie Dominique, conseillère municipale EELV à Beauvais (60), Chauvin-Degenne Vanessa, scénariste et réalisatrice, De Poorter Jacqueline, conseillère municipale à Gentelles (80), Coubard Etienne, porte-parole d'ANV-COP21, Damasio Alain, écrivain, Dharréville Pierre, député Gauche démocrate et républicaine des Bouches-du-Rhône, de Ronne Luc, président d'ActionAid France, Deltombe Camille, éditrice aux Editions de l'Atelier, Deltour Antoine, lanceur d'alerte LuxLeaks, Dossus Thomas, sénateur EELV du Rhône, Dubois Clémence, responsable France pour 350.org, Dufrègne Jean-Paul, député Gauche démocrate et républicaine de l’Allier, Duteil Simon, co-délégué de l'Union syndicale Solidaires, Etcheverria Magali, Bizi !, Faburel Guillaume, géographe, université Lyon 2, Ferrari Sylvie, maître de conférences en économie, Fiat Caroline, députée LFI de Meurthe-et-Moselle, Flandin Maya, directrice Librairie Vivement dimanche (Lyon), Flipo Fabrice, philosophe, Fournié-Turquin Brigitte, conseillère départementale EELV de l'Aisne , Gaïji Khaled, président des Amis de la Terre, George Susan, présidente du Transnational Institute, Girod Nicolas, porte-parole de la Confédération paysanne, Godard Stéphane, conseiller municipal de Montataire (60), Goodall Glyn, adjoint au maire, Saint-Ciers-sur-Gironde (33), Guignard Nicoline, En commun pour Belfort, Hamard Juliette, En commun pour Belfort, Harribey Jean-Marie, économiste, Henneguelle Anaïs, maîtresse de conférences en économie, université de Rennes 2, Heren Élodie, conseillère municipale EELV, Molliens-au-Bois (80), Hermann Marie, éditrice, Éditions Hors d'atteinte, Julliard Jean-François, directeur général de Greenpeace France, Jumel Sébastien, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Maritime, Kerckhove Stéphen, délégué général d'Agir pour l'Environnement, Lachaud Bastien, député LFI de Seine-Saint-Denis, Larive Michel, député LFI de l'Ariège, Larrère Mathilde, historienne, Latrille Guillaume, élu d’opposition à Villenave-d’Ornon (33), Lecoq Jean-Paul, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Maritime, Marinopoulos Sophie, cofondatrice des éditions Les Liens qui libèrent, Marolleau Jean-Louis, secrétaire exécutif réseau Foi & Justice Afrique-Europe, antenne France., Martinez Philippe, secrétaire général de la CGT, Massiah Gustave, militant altermondialiste, Menanteau Cécile et Schiano de Colella Géraldine, cogérantes de la librairie Les Bien-Aimés, Nantes, Mettai Gil, secrétaire régional EELV Picardie, Michaud Fabrice, secrétaire général de la fédération CGT Transports, Michel Stephanie, conseillère municipale de Fontenay-sous-Bois (94), Moroni Tatiana et Guichon Amandine, libraires, Mélenchon Jean-Luc, député LFI de Marseille, Ngo Philippe, éditions Moltogone, Obono Danièle, députée LFI de Paris, Olivier Maneiro, conseiller municipal LFI à Saint-Estèphe, Omarjee Younous, député européen (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Panot Mathilde, députée LFI du Val-de-Marne, Pelletier Anne-Sophie, députée européenne (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Perrin Emmanuel, conseiller municipal de Creil (Oise), Peu Stéphane, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Saint-Denis, Piolle Eric, maire EELV de Grenoble, Pires-Beaune Christine, députée PS du Puy-de-Dôme , Pochon Marie, secrétaire générale Notre Affaire à Tous, Poncet Monge Raymonde, sénatrice EÉLV, Potier Dominique, député PS de Meurthe-et-Moselle, Potier Julie, directrice générale de Bio Consom'acteurs, Poulain Paul, Emancipation collective, Prud'homme Loïc, député LFI de la Gironde, Quatennens Adrien, député LFI du Nord, Quintin Guillaume, secrétaire national du Parti de Gauche, conseiller municipal de Guerville, Regnaud-Nassar Mathilde, conseillère municipale En commun pour Belfort, Ressiguier Muriel, LFI députée de l'Hérault, Ribeiro Alexandre, conseiller municipal du collectif citoyen Cenon en commun à Cenon (33), Roby Agathe, conseillère municipale Archipel Citoyen à Toulouse, Romaggi Magali, co-animatrice du groupe Annecy Insoumise, La France insoumise, Roussel Fabien, député Gauche démocrate et républicaine du Nord, Roy Carine, conseillère municipale à Arnos (64), Rubin Sabine, députée LFI de Seine-Saint-Denis, Ruffin François, député LFI de la Somme, Salmon Daniel, sénateur EELV d'Ille-et-Vilaine, Schmitt René, conseiller municipal En commun pour Belfort, Seron Nina, conseillère municipale de Vitry-sur-Seine (94), Sterdyniak Henri, économiste, Les Economistes atterrés, Taurine Bénédicte, députée LFI de l'Ariège, Testart Jacques, biologiste, essayiste, Teste Benoit, secrétaire général de la FSU, Therouin Emilie, conseillère municipale d'opposition à Amiens, Thomas Pierre, président du Modef, Toussaint Marie, députée européenne (group des Verts-Alliance libre européenne), Trapp Karel, conseiller municipal En commun pour Belfort, Troadec Pascal, maire-adjoint de Grigny (91), Trouvé Aurélie, Pradeau Raphaël et Combes Maxime, porte-paroles d'Attac France, Trubert Henri, cofondateur des éditions Les Liens qui libèrent, Vernier Jean-Jacques, président du collectif En commun pour Belfort, Verret François, ingénieur agronome, Vignot Anne, maire EELV de Besançon, Wulfranc Hubert, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Maritime, Zafari Sophie, syndicaliste FSU

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  • Des fraudes "massives" au chômage partiel ont été menées depuis l'étranger

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    Des fraudes "massives" au chômage partiel ont été menées depuis l'étranger

    Le parquet de Paris a annoncé vendredi enquêter sur des fraudes "massives" au chômage partiel à partir du confinement, impliquant des "flux financiers internationaux" qui ont occasionné "plus d'1,7 million d'euros" de préjudice.

    Selon les premières investigations, "les demandes frauduleuses de versement d'indemnités se faisaient par télédéclaration en usurpant la raison sociale et le numéro d'identification SIRET d'entreprises existantes qui ne demandaient pas à bénéficier des aides à l'activité partielle", explique dans un communiqué le parquet.

    Ce dernier s'est saisi lundi, au titre de sa compétence nationale en matière de lutte contre la criminalité organisée de très grande complexité (dite Junalco), de deux enquêtes ouvertes plus tôt par les parquets de Toulouse et Limoges pour "escroqueries en bande organisée aux prestations versées pour les salariés en situation de chômage partiel" et "blanchiment en bande organisée" de ces escroqueries.

    Lire aussi : Fraude au chômage partiel: «Entre l'erreur et les faux, la réponse sera graduée»

    6 millions d'euros suspendus

    Ces enquêtes ont été initiées "après la découverte de similitudes entre de nombreuses demandes d'autorisation d'activité partielle déposées par des entreprises".

    Selon une source proche du dossier, les enquêteurs soupçonnent "une organisation criminelle d'avoir monté une fraude depuis l'étranger".

    "Plus de 1.740 opérations frauduleuses sur tout le territoire national au nom de 1.069 sociétés différentes demandant des versements de fonds sur plus de 170 comptes bancaires différents" ont déjà été identifiées, détaille le parquet.

    Selon lui, plus de 1,7 million d'euros ont été indûment versés par l'Agence de Services et de Paiement (ASP), chargée de gérer pour le compte du Ministère de l'Emploi l'indemnisation de l'activité partielle.

    Toutefois, "le versement de plus de 6 millions d'euros a pu être suspendu dès la découverte des infractions", précise-t-il.

    "De nombreuses investigations, destinées notamment à mettre au jour les flux financiers internationaux issus de ces escroqueries, restent à effectuer", souligne le parquet, observant qu'elles nécessitaient "une forte coopération internationale".

    Dès le confinement et pour pallier l'arrêt d'activité en découlant, le gouvernement a élargi la possibilité de recourir au chômage partiel en France. Selon le ministère du Travail, 7,2 millions de Français ont été en chômage partiel un ou plusieurs jours par semaine en mars, 8,7 millions en avril et 7,8 millions en mai.

    Mi-juin, le gouvernement indiquait que depuis le début du confinement et de l'ouverture du dispositif, pas moins de 17 milliards d'euros avaient été dépensés par l'Etat. Et 31 milliards d'euros ont été inscrits dans le dernier budget rectificatif pour payer la facture.

    Lire aussi : Fraude au chômage partiel : 10.000 entreprises contrôlées, 50.000 d'ici la fin de l'été

    Pôle Emploi, Crise Sanitaire, Chômage Partiel, Fraude à l'assurance chômage, europe, UE, Fait-divers, Presse, Fraudes à Pôle Emploi

  • Fin du 100% télétravail : ce qu'il faut retenir du nouveau protocole sanitaire si vous revenez en présentiel aujourd'hui

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    Fin du 100% télétravail : ce qu'il faut retenir du nouveau protocole sanitaire si vous revenez en présentiel aujourd'hui

    Le retour au bureau est possible à partir de mercredi, mais il reste encadré par des règles sanitaires strictes.

    C'est le début du retour au bureau. Depuis le mercredi 9 juin et la nouvelle phase de déconfinement, les salariés peuvent revenir sur leur lieu de travail, délaissé depuis de nombreux mois, et saluer de vive voix leurs collègues. Afin de faciliter cette rentrée, le protocole sanitaire pour lutter contre la propagation du Covid-19 s'allège. Mais les gestes barrières restent de rigueur, rappelle le ministère du Travail dans sa nouvelle version du protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise.

    >> Déconfinement : retrouvez toutes les informations sur l'épidémie de Covid-19 dans notre direct

    Pour réussir votre retour en présentiel, franceinfo fait le point sur les nouvelles régles en vigueur à compter du 9 juin.

    Le télétravail reste la règle

    Travailler depuis chez soi reste "une des mesures les plus efficaces pour prévenir le risque d’infection au Covid-19", rappelle en préambule le ministère du Travail dans son protocole sanitaire. Cependant, les règles s'assouplissent et le "100% télétravail" n'est plus obligatoire afin de permettre un retour progressif au bureau. Pour cela, le ministère a laissé la main aux entreprises, en concertation avec leurs partenaires sociaux, pour décider du nombre minimum de jours télétravaillés pour les activités qui le permettent.

    Interrogée mercredi 9 juin sur franceinfo, Elisabeth Borne, la ministre du Travail, a d'ailleurs réitéré son invitation à toutes les entreprises du secteur privé de négocier un accord sur le télétravail avec leurs salariés. N'hésitez pas à vous renseigner auprès de votre service des ressources humaines pour connaître le rythme de télétravail possible dans votre entreprise.

    Pour les travailleurs de la fonction publique, la règle est de trois jours de télétravail par semaine jusqu'au 1er juillet 2021, date à laquelle le nombre passera à deux jours si la situation sanitaire le permet. A compter du 1er septembre 2021, le régime de droit commun s'appliquera ainsi que le nouvel accord-cadre télétravail s'il est signé, précise le site Service-public.fr.

    Les personnes vulnérables continuent de travailler depuis leur domicile

    Si vous faites partie des personnes vulnérables identifiées dans le décret 2020-1365 du 10 novembre 2020, votre employeur doit vous proposer de télétravailler quand cela est possible. C'est le cas des plus de 65 ans, des personnes avec des antécédents cardiovasculaires, atteintes de diabète, d'immunodépression ou d'une maladie rare, mais aussi des femmes entrant dans leur troisième trimestre de grossesse.

    En cas d'impossibilité de travailler à domicile, l'employeur doit assurer la sécurité de ses salariés vulnérables en mettant notamment à leur disposition un bureau individuel quand cela est possible, en adaptant leurs horaires de travail afin d'éviter un trop grand nombre de contacts et en assurant une désinfection régulière de leur poste de travail au moins en début et en fin de vacation. 

    Les règles sanitaires doivent être respectées

    La pandémie étant toujours d'actualité les règles sanitaires le sont aussi. L'employeur est tenu de veiller à la sécurité sanitaire de ses salariés en assurant le nettoyage et la ventilation ou l'aération des locaux et en évitant au maximum les contacts rapprochés. Dès l'entrée dans votre entreprise, un sens unique de circulation doit être mis en place avec un marquage lisible au sol pour éviter les croisements et les retours en arrière. Les horaires d'arrivée et de départ peuvent être également adaptés, pensez à vérifier si c'est le cas dans votre entreprise. Si vous devez participer à des réunions, le nombre maximum de personnes à l'intérieur de la salle doit être indiqué à l'entrée de celle-ci. 

    Le masque n'est pas obligatoire dans les bureaux individuels 

    Le port du masque est systématique au sein des entreprises et dans les lieux collectifs clos. Mais si vous travaillez seul dans un bureau, vous pouvez l'enlever. Gardez-le toutefois à portée de main au cas où une personne entre dans votre bureau.

    Pour les salariés travaillant dans un atelier, il est possible de retirer le masque si les locaux sont ventilés ou aérés, qu'une distance d'au moins deux mètres est respectée entre les personnes présentes et qu'elles portent une visière.

    En extérieur, le port du masque est nécessaire en cas de regroupement ou d’incapacité de respecter la distance de deux mètres entre les personnes. Si vous devez vous déplacer à plusieurs dans un véhicule, préalablement désinfecté, alors le masque pour tous est de rigueur.

    Les open spaces sont soumis à certaines mesures

    Le ministère du Travail invite aussi à privilégier quand cela est possible les bureaux ou pièces à une personne. A défaut, dans les bureaux partagés, il est demandé d'éviter le face-à-face et de veiller à une distance physique d’au moins un mètre entre les personnes présentes. L'idéal est la mise en place de dispositifs de séparation et une aération ou ventilation régulière.

    Pour les espaces de travail habituellement en open flex, il est conseillé d'avoir un poste fixe dédié et d'éviter de partager les outils de travail comme le clavier ou la souris. Pensez à les désinfecter régulièrement s'il y a du passage à votre poste. Quant aux portes, hormis les portes coupe-feux, elles doivent rester ouvertes dans la mesure du possible. 

    Les règles à la cantine s'assouplissent 

    Ce n'est pas encore le retour des grandes tablées à la cantine, dont la capacité d'accueil est augmentée à 50% de leur jauge. Mais les tables de six personnes sont à nouveau autorisées, avec une distance de deux mètres entre chaque table sauf si elles sont séparées par une paroi, détaille la fiche d'organisation des restaurants d'entreprise éditée par le ministère du Travail.

    Par ailleurs, il faudra encore patienter pour le retour des salad-bar car les offres alimentaires en vrac sont toujours proscrites. Et si vous souhaitez déjeuner seul, votre employeur doit vous donner la possibilité de manger dans votre bureau s'il est individuel ou dans un local aménagé à cet effet. 

    Ce retour au bureau est aussi synonyme de retrouvailles avec les collègues autour de la machine à café ou dans tout autre lieu dédié à la pause. Ce moment de convivialité ne doit pas vous faire oublier les gestes barrières et si l'envie vous prend d'organiser ou de participer à un pot, le ministère recommande de le faire en extérieur et avec 25 personnes maximum.

  • Gaspard Ulliel, acteur aux deux César, est mort à 37 ans après un accident de ski en Savoie

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    Gaspard Ulliel, acteur aux deux César, est mort à 37 ans après un accident de ski en Savoie

    Victime d’un accident de ski mardi, l'acteur et mannequin Gaspard Ulliel est mort mercredi, annonce son agent. Retour sur une carrière exemplaire.

    Gaspard Ulliel est mort après un accident de ski, mercredi 19 janvier, a annoncé son agent. L'acteur avait encore une belle carrière devant lui quand ce drame est survenu en Savoie, mardi, alors qu'il avait 37 ans. 

    Gaspard Ulliel a connu une ascension fulgurante, jouant rapidement aux côtés d’Emmanuelle Béart, Audrey Tautou, Mélanie Laurent, Nicole Garcia, Isabelle Huppert, Olivier Gourmet ou Gérard Depardieu, devant la caméra d’André Téchiné, Bertrand Bonello ou Xavier Dolan. 

    Meilleurs espoirs

    Né en 1984 à Boulogne Billancourt (Hauts-de-Seine) d’une mère styliste et d’un père designer, Gaspard Ulliel s’est rapidement dirigé vers une carrière d’acteur, d’abord dans des petits rôles, mais côtoyant Sandrine Bonnaire (la série Une femme en blanc) ou Francis Huster (Julien l’apprenti). C’est Michel Blanc qui le découvre et lui donne un premier rôle plus important en 2002 dans Embrassez qui vous voudrez, auprès de Jacques Dutronc, Charlotte Rampling et Lou Doillon. Son talent lui vaut une première nomination aux César comme meilleur espoir masculin.

    Une performance renouvelée, dans Les Egarés en 2003, d’André Téchniné, avec Emmanuelle Béart pour laquelle il décrochera une nouvelle nomination. La troisième sera la bonne, grâce à Un long dimanche de fiançailles, de Jean-Pierre Jeunet, avec Audrey Tautou. C’est la porte ouverte à un premier rôle dans Le Dernier Jour, de Rodolphe Marconi. Nicole Garcia, Mélanie Laurent, Alysson Paradis et Christophe Malavoy sont ses partenaires, mais le film ne rencontre pas son public.

    Une carrière à l'international

    Qu’à cela ne tienne, Gaspard Ulliel est de plus en plus demandé, comme par Gus van Sant qui le fait tourner dans un des fragments du film à sketches Paris je t’aime (2006). Il s’ouvre alors à des films plus grand public, comme Jacquou le croquant (2007) de Laurent Boutonnat, avec Marie-Josée Croze, Albert Dupontel, Tchéky Karyo et Olivier Gourmet. Adapté de la célèbre série télévisée éponyme des années 1970, le film reçoit un accueil critique et public mitigé.

    Plusieurs coproductions internationales font appel à lui, notamment Hannibal Lecter : Les Origines du mal (2007), qui évoque la jeunesse du célèbre cannibale, joué par Anthony Hopkins dans les deux premiers films de la franchise. Mais il revient à une veine plus confidentielle avec Un barrage contre le Pacifique (2009) de Rithy Panh où il donne la réplique à Isabelle Huppert. Puis dans un genre plus commercial, il est au côté de Jean Reno la même année dans le film d’action Le Premier Cercle.

    César du meilleur acteur

    Bertrand Tavernier lui offre un de ses plus beaux rôles dans La Princesse de Montpensier en 2010, où il incarne le duc de Guise et où il retrouve Mélanie Thierry, dans un film qui rassemble une critique unanime. L’acteur ne cesse de tourner, notamment dans Saint-Laurent de Bertrand Bonello, où il est le grand couturier, le film étant également acclamé par la critique, mais moins par le public.

    C’est le réalisateur québécois Xavier Dolan qui lui offre son César du meilleur acteur pour sa performance dans Juste la fin du monde, où il est entouré de Nathalie Baye, Marion Cotillard, Léa Seydoux et Vincent Cassel.

    On le voit la même année dans le formidable La Danseuse, de Stéphanie Di Giusto, sur la chorégraphe américaine Loïe Fuller qu’interprète la chanteuse Soko et où il retrouve Mélanie Thierry. Isabelle Huppert est à nouveau sa partenaire dans Eva en 2017, dirigé par Benoît Jacquot et la même année, il donne la réplique à Gérard Depardieu dans Les Confins du monde de Guillaume Nicloux. Ses dernières apparitions datent de 2019, comme membre du jury du 45e Festival du cinéma américain de Deauville, présidé par Catherine Deneuve.

    Mannequinat

    Parallèlement à sa brillante carrière d’acteur, Gaspard Ulliel a été régulièrement mannequin sur les défilés de la Fashion Week de Paris. Il était également l’ambassadeur à l’image du parfum "Bleu" de Chanel dans une publicité tournée par Martin Scorsese à New York. Il a aussi participe à la promotion des sacs Longchamp au côté de Kate Moss.

    Acteur élégant, reconnu et apprécié par ses pairs, Gaspard Ulliel confiait dans le magazine Grazia en 2019, avoir "réalisé en mettant les rôles les uns à côté des autres qu'ils racontaient plein de choses sur mon parcours intime, mon évolution en tant qu'homme".

  • L'acteur Gaspard Ulliel dans un état grave après un accident de ski en Savoie

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    L'acteur Gaspard Ulliel dans un état très grave après un accident de ski survenu en Savoie.

    Le comédien était inconscient à l'arrivée des secours. Il a subi un important traumatisme crânien.

    L'acteur Gaspard Ulliel est hospitalisé au CHU de Grenoble (Isère) dans un état grave, après une chute à ski survenue mardi à 16 heures dans la station savoyarde de La Rosière, a appris franceinfo de source proche du dossier mercredi 19 janvier, confirmant une information de BFMTV.

    Le comédien âgé de 37 ans a été retrouvé inconscient sur le domaine skiable avec un important traumatisme crânien. Ce sont les secours de la CRS Alpes qui sont intervenus. Il a été pris en charge pendant 1h15 sur place avant de pouvoir être évacué à l'hôpital, selon les informations de France Bleu Pays de Savoie.

    Une enquête ouverte

    Selon les premiers éléments de l'enquête ouverte par le parquet d'Albertville, Gaspard Ulliel évoluait sur une piste bleue quand il est entré en collision avec un autre skieur à un croisement avec une autre piste bleue. Selon le directeur de l'office de tourisme à France Bleu Pays de Savoie, le comédien a alors chuté. Mercredi matin il se trouvait toujours au bloc de l'hôpital. L'autre skieur lui n'a pas été hospitalisé.

  • Laurent Ournac raconte son combat contre l'obésité et avoue avoir "honte de contourner les règles"

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    Laurent Ournac raconte son combat contre l'obésité et avoue avoir "honte de contourner les règles"

    Laurent Ournac ne se confie que très rarement au sujet de sa perte de poids et de la difficulté à le maintenir. Mais ce 24 juillet, ce dernier a avoué avoir honte d’avoir repris quelques kilos…

    C’est en 2015 que Laurent Ournac a révélé sa nouvelle silhouette au grand public. Amaigrie grâce à une intervention chirurgicale pour une réduction de l’estomac, la vie de l’acteur a changé du tout au tout en seulement quelques heures. Mais ce qu’il n’avait pas vraiment prévu, c’est la difficulté quotidienne à laquelle il doit désormais faire face pour maintenir son poids.

    Car oui, perdre du poids grâce à une chirurgie peut changer la vie dans le bon sens, mais malheureusement ce n’est pas magique, et les efforts pour entretenir sa nouvelle silhouette sont indispensables. C’est d’ailleurs à ce sujet que Laurent Ournac s’est confié à nos confrères de Voici.

    "Culpabilité et honte"

    S’il était très fier de sa perte de poids spectaculaire, aujourd’hui l’acteur de Camping Paradis avoue être déçu de s’être un peu laissé aller, « J’ai repris un peu de poids ». Malgré tout, Laurent Ournac « ne lâche pas », mais doit faire face à un fort sentiment de « culpabilité » et de « honte » face aux médecins l’ayant opéré, et qu’il va devoir retourner voir d’ici peu… Et le comédien n’est pas dupe, ce poids repris, il ne pourra pas le reperdre en un claquement de doigts, « Tu peux être tenté de refaire des régimes soi-disant miracle pour maigrir vite avant les rendez-vous bilan. Sauf qu’on sait bien qu’après, on regrossit encore plus… ».

    "On contourne les règles"

    Mais le jeune papa ne compte tout de même pas baisser les bras, et compte bien garder sa silhouette amincie malgré le « long parcours » lui restant à accomplir. Lors de son entretien, Laurent Ournac avoue s’être fait prendre au jeu de la perte de poids rapide, "Les deux premières années, on est hyper content, on atteint assez vite un poids idéal alors on contourne un peu les règles du protocole et on regrossit ». Heureusement, le comédien peut compter sur plusieurs soutiens pour continuer de se battre, "C’est là qu’il faut faire attention à ne pas rebasculer dans ses vieux réflexes, parce que la maladie est toujours là et la bataille est rude. Ma nutritionniste dit que c’est comme une partie de cartes dans laquelle les obèses n’auraient ni les jokers ni les as…".

    À voir aussi : Mimie Mathy, Laurent Ournac, Ingrid Chauvin : leurs énormissimes salaires révélés 

    O.M