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politique

  • L’homme qui avait menacé Eric Zemmour dans la rue condamné à trois mois de prison avec sursis

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    L’homme qui avait menacé Eric Zemmour dans la rue condamné à trois mois de prison avec sursis

    L’homme s'était filmé en train d'insulter l'éditorialiste alors que celui-ci marchait tranquillement dans la rue.

    En plein confinement, le 30 avril dernier, un homme s’était filmé dans les rues de Paris alors qu’il insultait Eric Zemmour. Il a été condamné, ce mercredi 9 septembre, pour « menaces réitérées de crimes » à trois mois de prison avec sursis et cinq ans de mise à l’épreuve par le tribunal correctionnel de la ville de Paris.

    Selon Le Parisien, le jeune homme est également tenu de travailler, d’effectuer un stage de citoyenneté et est interdit d’entrer directement ou indirectement en contact avec Eric Zemmour.

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    Alors que le journaliste marchait seul dans les rues de la capitale, l’homme de 28 ans s’était filmé en train de l’insulter, de le menacer, et de crier « un petit doigt dans le cul Eric ». Il avait ensuite posté la vidéo sur Snapchat. Dans une seconde vidéo, il avait également affirmé avoir craché sur l’éditorialiste. Une déclaration sur laquelle il était revenu par la suite.

    Le prévenu s’est, durant son procès, dit surpris par la diffusion à grande échelle de la vidéo. Il a également dit regretter son geste : « j’ai réagi comme un gamin. J’ai fait une bêtise ». Eric Zemmour a quant à lui confié, dans sa déposition, avoir « senti le souffle » de son agresseur sur sa nuque.

    L’avocat de Zemmour a quant à lui dénoncé la volonté « d’humilier et de rabaisser » son client. Il a aussi ajouté que, suite à cette vidéo, d’autres individus auraient pu avoir envie « d’aller beaucoup plus loin ».

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  • Taxe Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon) : Washington annonce des sanctions contre la France mais les gèle

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    Taxe Gafa (Google, Amazon, Apple & Facebook) : Washington annonce des sanctions contre la France mais les gèle.

    La taxe Gafa connaît un énième rebondissement. L'administration Trump a annoncé vendredi des mesures de rétorsion visant des produits français représentant 1,3 milliard de dollars pour punir Paris d'avoir instauré une taxe sur les géants technologiques américains, mais a gelé leur application pour permettre de trouver une résolution négociée au conflit.

    Lire aussi Phébé ? Les Gafa, nouvel ennemi public n° 1

    « Le bureau du représentant américain au commerce a décidé aujourd'hui d'imposer des droits de douane supplémentaires de 25 % sur les produits français d'une valeur commerciale de 1,3 milliard de dollars en réponse à l'adoption par la France d'une taxe sur les services numériques qui cible injustement les entreprises de technologie numérique américaines », ont indiqué les services de Robert Lighthizer, précisant que les droits de douane supplémentaires comprenaient les cosmétiques et les sacs à main.

    Suspension pendant 180 jours

    Mais « afin de laisser plus de temps pour tenter de résoudre ce problème, notamment par le biais de discussions en cours au sein de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), et en reconnaissance de l'accord de la France de retarder la perception de sa taxe jusqu'à la fin de l'année, le représentant au commerce a décidé de suspendre l'application de ces droits de douane supplémentaires pendant 180 jours », selon l'administration américaine.

    Lire aussi Lire aussi TRIBUNE. Pourquoi la « taxe Gafa » n'est pas satisfaisante

  • Ma consœur Ruth Elkrief annonce l'arrêt de son émission quotidienne sur BFMTV

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    Clap de fin pour 19h Ruth Elkrief sur BFMTV. La journaliste politique annonce dans le Journal du dimanche qu'elle arrête sa quotidienne sur la chaîne info et dévoile ses nouveaux projets.

    Une page se tourne pour Ruth Elkrief. Dans une interview accordée au Journal du dimanche paru ce 5 juillet, la journaliste politique, véritable pilier de BFMTV, dévoile qu'elle ne présentera plus sa tranche d'information quotidienne à 19 heures à la rentrée.

    "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps"

    Pas question toutefois pour Ruth Elkrief de quitter BFMTV, dont elle présenta le premier journal en 2005. Elle veut juste "s'éloigner un peu de l’info en continu pour privilégier l’approfondissement, la réflexion". A la rentrée, la journaliste aura "plusieurs missions", dont "la préparation de l’élection présidentielle" et, surtout, "une grande interview hebdomadaire".

    Cette dernière, d'une durée d'une heure, sera diffusée "le samedi vers 13 heures puis dans la soirée". L'interview elle-même sera enregistrée "hors studio, en situation, et inclura des images". Quant à l'invité, il n'appartiendra pas forcément au giron politique, il s'agira plus largement de "quelqu’un au cœur de l’actualité de la semaine", précise Ruth Elkrief, qui veut "moins travailler sur le petit jeu politicien que sur la politique au sens noble".

    Alors que le groupe NextRadioTV est en plein conflit social avec des suppressions de postes annoncées et un mouvement de grève inédit qui a perturbé l'antenne de BFMTV en plein second tour des élections municipales, Ruth Elkrief assure qu'elle n'est pas mise à l'écart par sa direction et que cette décision est entièrement la sienne. "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps, d’approfondir plutôt que de seulement courir après l’actualité, même si j’adore l’info", affirme-t-elle, expliquant : "C’est une forme de réinvention, un nouveau défi. J’aurai plus de temps, plus de recul, plus de distance ;

    sincèrement, ça me manquait."

  • Coronavirus : Emmanuel Macron appelle les Français à la vigilance et à l’unité

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    Coronavirus : Emmanuel Macron appelle les Français à la vigilance et à l’unité

    PANDEMIE - Lors d’une cérémonie à Bormes-les-Mimosas, le chef de l’Etat a appelé à prendre pour modèle l’esprit ayant conduit à la libération de la France il y a 76 ans

    Les autorités ne cessent d’alerter les Français sur l’effort collectif à faire pour éviter une 2e vague de contaminations. A son tour, le président a profité de sa participation, comme chaque année depuis trois ans, à la cérémonie d’anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas dans le Var pour alerter l’opinion. Emmanuel Macron a ainsi appelé lundi les Français à faire preuve de vigilance « face à un virus qui réaccélère » et « d’unité », en dressant un parallèle avec l’esprit ayant conduit à la libération de la France il y a 76 ans.

    Ne pas isoler les personnes vulnérables

    « A l’heure où notre pays, comme beaucoup d’autres, traverse une crise inédite, la crise sanitaire exige que nous nous protégions tous mutuellement, que nous soyons chacun responsable de tous », a déclaré le chef de l’Etat dans la commune sur laquelle se trouve le fort de Brégançon, la propriété de l’Etat où il passe ses vacances. « Nous aurons, dans les prochaines semaines, à continuer à affronter une crise sanitaire qui prend une forme différente (…) Il faut redoubler d’attention pour les personnes vulnérables (…), mais sans les isoler », selon le chef de l’Etat.

    Au cours de son allocution devant les élus et des anciens combattants, il a mis en avant des analogies entre la situation actuelle et celle ayant mené au débarquement des Alliés en Provence en août 1944 et à la victoire sur les Nazis. Il a notamment loué cette « unité, cette capacité d’agir ensemble, de donner de son temps » dont ont fait preuve les combattants de cette époque mais aussi « le pays » depuis le début de la crise du Covid-19. « C’est ce que nous aurons à continuer de relever dans les semaines et les mois qui viennent, devant la reprise de l’épidémie, face aux difficultés économiques, sociales, face aux crises internationales que notre pays aura immanquablement » à affronter, a-t-il ajouté.

    Retour sur la polémique mémorielle

    Au cours de son allocution, Emmanuel Macron est également revenu brièvement sur la polémique mémorielle qui a éclaté au début de l’été après la mort de George Floyd aux Etats-Unis. « Notre histoire est un bloc », a déclaré le président. « On en apprend toujours, nos historiens continuent de révéler la vérité, de mieux comprendre, l’historiographie poursuit son chemin. Mais ne cherchons pas à déboulonner des statues et à effacer des noms ».

    Emmanuel Macron doit séjourner jusqu’à la fin de la semaine au fort de Brégançon, où il recevra jeudi la chancelière allemande Angela Merkel avant de regagner l’Elysée. Il présidera lundi le Conseil des ministres de rentrée au cours duquel sera présenté le plan de relance.

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    20 Minutes avec AFP

  • Électricité: vers une hausse de 1,55% des tarifs réglementés

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    Les tarifs réglementés de l'électricité devraient augmenter de 1,55% au 1er août. Le régulateur de l'énergie (CRE) l'a proposé au gouvernement, qui doit entériner cette hausse, aprés celle de 2,4% en février.

    Près de 24 millions d'abonnés résidentiels (les particuliers) sont encore dépendants des tarifs réglementés de l'électricité, fixés par l'État sur proposition du régulateur, la CRE (Commission de régulation de l'énergie).

    Celle-ci a proposé aux ministres chargés de l'énergie et de l'économie une hausse des tarifs réglementés de vente d'électricité de 1,55% TTC au 1er août 2020 "qui prend en compte l'évolution annuelle des tarifs des réseaux publics de transport et de distribution d'électricité".

    Deux ministres sont concernés par la validation

    Cette évolution en France continentale est de 1,54% pour les tarifs "bleus" résidentiels et de 1,58% pour les professionnels, détaille la CRE dans une délibération. Il appartient donc désormais à la ministre de la Transition écologique et solidaire Barbara Pompili et au ministre de l'Economie Bruno Le Maire d'entériner cette proposition de hausse de tarifs sous trois mois.

    En 2019, les tarifs ont connu deux hausses successives

    L'an dernier, les tarifs de l'électricité avaient connu une hausse historique de 5,9% au 1er juin puis de 1,23% en août. Cette année, ils avaient encore augmenté de 2,4% en février.

    Ces tarifs réglementés de vente (TRV) fixés par l'Etat sont commercialisés uniquement par l'opérateur historique EDF ainsi que par les entreprises locales de distribution dans certaines villes. Fin 2019, la France comptait 23,9 millions de sites résidentiels aux tarifs réglementés, soit une large majorité. Un peu plus de 9 millions souscrivaient aux offres de marché, dont les tarifs sont fixés librement par les fournisseurs.

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  • Gouvernement Castex : Jeune et fidèle d’Emmanuel Macron, Gabriel Attal succède à Sibeth Ndiaye comme porte-parole

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    REMANIEMENT Gabriel Attal a été nommé lundi porte-parole du gouvernement Castex, dont il est le benjamin

    Gabriel Attal à l'Assemblée nationale, le 16 juin 2020. — Stéphane de Sakutin / AFP

    Issu des rangs socialistes avant d’être « Marcheur » historique et proche d’Emmanuel Macron, le député des Hauts-de-Seine Gabriel Attal a connu une ascension express, jusqu’à être nommé lundi, à 31 ans, porte-parole du gouvernement, dont il est le benjamin. Il succède à Sibeth Ndiaye. Avant lui, François Baroin était devenu en 1995 secrétaire d’Etat et porte-parole du gouvernement Juppé un mois avant de fêter ses 30 ans.

    Très à l’aise sur les plateaux télés, l’élu au débit mitraillette, qui était chargé de mettre en place le service national universel (SNU) auprès du ministre de l’Education, fait partie des ex-jeunes pousses socialistes ayant suivi Emmanuel Macron lors de la création de son mouvement, et pendant sa campagne victorieuse de 2017.

  • La Croatie vote à des législatives serrées dans l’ombre du Coronavirus

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    Les Croates votent ce dimanche pour confier le gouvernail à un nouveau gouvernement qui devra affronter les retombées économiques du coronavirus au moment où un regain de contaminations met les conservateurs sortants sous pression...

     

    Des milliers de Croates s’apprêtent à se rendre aux urnes, ce dimanche, à l’occasion des élections législatives. Le scrutin s’annonce serré entre le HDZ au pouvoir qui affronte une coalition de centre-gauche, avec en embuscade un chanteur folk nationaliste.

    Ni le HDZ du Premier ministre Andrej Plenkovic ni la coalition « Restart » emmenée par les sociaux-démocrates (SDP) de Davor Bernardic ne semblent pouvoir remporter la majorité absolue des 151 sièges de députés, d’après les sondages. Le « Mouvement patriotique » de Miroslav Skoro, chanteur populaire et populiste, pourrait donc se retrouver en position d’arbitre.

    Les incertitudes sur l’avenir dominent alors que l’économie croate, ultra-dépendante du tourisme, devrait reculer de près de 10 %. La pire contraction depuis des décennies faisant suite à la pandémie de coronavirus.

    « Le nouveau gouvernement devra de fait (….) travailler sur l’économie car l’automne est là », dit Vesna Trnokop, économiste de 60 ans. « Tout le monde a peur de ce qu’il va se passer à l’automne ».

    Stabilité ou changement ?

    Andrej Plenkovic, 50 ans espère que les temps moroses qui s’annoncent inciteront les électeurs à rester fidèles à un parti au pouvoir depuis 2016. « Il faut faire des choix sérieux et non du charlatanisme », dit le Premier ministre. « La Croatie n’a pas besoin d’expérimentations comme avec Bernardic ou Skoro ».

    Le parti au pouvoir a aussi mis en avant sa maîtrise relative de la crise sanitaire. Avec environ 110 morts et 3 000 contaminés, le pays des Balkans membre de l’Union européenne a évité les scénarios explosifs vus ailleurs.Mais depuis deux semaines, après des bilans quasi nuls voire nuls, quelques dizaines de contaminations sont recensées quotidiennement comme au pic initial.

    Davor Bernardic, 40 ans, a accusé le gouvernement d’avoir « délibérément mis la Croatie en danger » en décidant de tenir les élections pendant la pandémie.

    L’arrestation récente d’une ancienne ponte du HDZ soupçonnée d’abus de pouvoir et de pots-de-vin risque aussi de nuire aux chances du parti alors que plusieurs ministres ont dû démissionner à cause de suspicions de corruption.Miroslav Skoro, qui pourrait séduire l’aile droite du parti conservateur déçue par les politiques modérées d’Andrej Plenkovic, affirme quant à lui être « le seul garant du changement ».

    Le chanteur de 57 ans, qui avait raflé 20 % des voix à la dernière présidentielle, renvoie dos à dos le SDP et le HDZ, « garantie d’une mauvaise gouvernance ». Le parti conservateur, et dans une moindre mesure le SDP, dominent la vie politique croate depuis l’indépendance en 1991.

    Emigration massive

    Une enquête publiée vendredi par Nova TV met les conservateurs et le centre gauche au coude à coude, avec respectivement 52 et 51 sièges. En troisième position, figure le « Mouvement patriotique » crédité de 18 sièges, suivi par le parti ultra-conservateur Most (pont) et Mozemo (On peut le faire !) une coalition réunissant les verts et des partis de gauche, avec neuf et six sièges.

    Ni les conservateurs ni le centre-gauche ne sont pressés de forger une alliance avec le candidat nationaliste, qui est accusé par le SDP de remarques sexistes et de nostalgie pour le passé oustachi pronazi de la Croatie. Mais d’après les analystes, le HDZ pourrait n’avoir d’autre choix s’il veut former le prochain gouvernement.

    En attendant, de nombreux Croates veulent que les choses bougent dans un pays qui subit une émigration massive due aux salaires modestes et à la corruption. « Ces élections sont très importantes » dit Branka Tekavec, enseignante retraitée de 76 ans. « Beaucoup de choses doivent changer. On ne se focalise pas assez sur les Croates qui partent, sur le chômage et la faiblesse des salaires des jeunes ».

    Environ 3,8 millions d’électeurs sont appelés aux urnes entre 05 h et 17 h GMT. Les résultats sont attendus tard dans la soirée.

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  • Ma Consœur Ruth Elkrief annonce l'arrêt de son émission quotidienne sur BFMTV

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    Clap de fin pour 19h Ruth Elkrief sur BFMTV. La journaliste politique annonce dans le Journal du dimanche qu'elle arrête sa quotidienne sur la chaîne info et dévoile ses nouveaux projets.

    Une page se tourne pour Ruth Elkrief. Dans une interview accordée au Journal du dimanche paru ce 5 juillet, la journaliste politique, véritable pilier de BFMTV, dévoile qu'elle ne présentera plus sa tranche d'information quotidienne à 19 heures à la rentrée.

    "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps"

    Pas question toutefois pour Ruth Elkrief de quitter BFMTV, dont elle présenta le premier journal en 2005. Elle veut juste "s'éloigner un peu de l’info en continu pour privilégier l’approfondissement, la réflexion". A la rentrée, la journaliste aura "plusieurs missions", dont "la préparation de l’élection présidentielle" et, surtout, "une grande interview hebdomadaire".

    Cette dernière, d'une durée d'une heure, sera diffusée "le samedi vers 13 heures puis dans la soirée". L'interview elle-même sera enregistrée "hors studio, en situation, et inclura des images". Quant à l'invité, il n'appartiendra pas forcément au giron politique, il s'agira plus largement de "quelqu’un au cœur de l’actualité de la semaine", précise Ruth Elkrief, qui veut "moins travailler sur le petit jeu politicien que sur la politique au sens noble".

    Alors que le groupe NextRadioTV est en plein conflit social avec des suppressions de postes annoncées et un mouvement de grève inédit qui a perturbé l'antenne de BFMTV en plein second tour des élections municipales, Ruth Elkrief assure qu'elle n'est pas mise à l'écart par sa direction et que cette décision est entièrement la sienne. "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps, d’approfondir plutôt que de seulement courir après l’actualité, même si j’adore l’info", affirme-t-elle, expliquant : "C’est une forme de réinvention, un nouveau défi. J’aurai plus de temps, plus de recul, plus de distance ;

    sincèrement, ça me manquait."

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