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  • L'univers du Chanteur Christophe vendu aux enchères

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    L'univers de Christophe vendu aux enchères

    Le chanteur Christophe, décédé en avril, vivait dans une caverne aux trésors: les objets qui l'entouraient, des juke-boxes aux peintures érotiques, ont fait l'objet d'une vente aux enchères samedi à Paris.

    Une belle bataille a notamment eu lieu autour d'une guitare ayant appartenu à l'artiste, peinte à son effigie par Enki Bilal: pour une offre à 4.000 euros, l'instrument a finalement été adjugé à 25.000 euros.

    La maison de vente aux enchères Cornette de Saint-Cyr s'est chargée de l'évènement, à huis clos, par téléphone et internet, confinement oblige.

    L'appartement parisien de Christophe était un véritable musée de collectionneur. Furent ainsi proposés à la vente ses pin-ups en tôle sérigraphiée, ses tableaux - caricatures politiques ou représentations de prostituées -, ses modèles réduits de voitures américaines, postes de radio vintage des années 1940 ou encore juke-boxes d'avant et d'après-guerre, table de poker, flippers, etc. 

    Les fans et les autres pouvaient aussi acquérir ses vêtements de scène, entre marinières et blousons de cuir, des éléments de son studio d'enregistrement - des synthés à la console de mixage - mais aussi le disque d'or de son tube "Aline".

    D'autres objets plus rares figuraient dans le catalogue, comme une statuette de vierge noire, une boîte de boules de pétanque - marquées du nom du musicien - ou encore ce "pot de fleur fétichiste", ainsi présenté par la maison de vente, soit un vase en bronze en forme de bottine à lacets.

    Daniel Bevilacqua, de son vrai nom, est décédé le 16 avril à 74 ans "des suites d'un emphysème", une maladie pulmonaire, avait annoncé à l'AFP le jour de son décès son épouse Véronique. 

    Quelques mois plus tard, elle a confessé que le chanteur avait succombé des suites du Covid-19. 

    "Je n'ai jamais voulu cacher le Covid, c'est juste que je ne le savais pas. Lorsqu'il est arrivé à l'hôpital, c'était pour sa crise d'emphysème", avait-elle confié sur RTL.

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  • États-Unis : Joe Biden vainqueur, mais…

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    États-Unis : Joe Biden vainqueur, mais…

    Ce n'est pas tout à fait le scénario dont il rêvait et auquel il s'était préparé. Certes, à près de 78 ans, Joe Biden a enfin été élu président. Mais il espérait un raz de marée démocrate qui aurait remisé le trumpisme aux oubliettes, lui aurait donné le contrôle du Sénat et lui aurait permis de lancer de grandes réformes. Au lieu de ça, il se retrouve avec un pays coupé en deux, divisé comme jamais, un Parti démocrate affaibli qui a perdu des voix chez les Noirs et les Latinos, et probablement une situation de cohabitation très inconfortable. En effet, il faudrait que les démocrates s'emparent de deux sièges au Sénat ? scénario hautement improbable ? pour parvenir à une simple égalité à la chambre haute 50-50.

    Lire aussi Joe Biden, anti-Trump et « réconciliateur en chef »

    Pour le moment, Joe Biden n'a aucun pouvoir sur ce qui va se passer d'ici à l'investiture le 20 janvier. Est-ce que Donald Trump va concéder sa victoire ? Va-t-il y avoir une passation de pouvoir en douceur ? Donald Trump ne semble guère enclin à laisser la place gracieusement à son successeur. Il a dépêché des armadas d'avocats pour essayer de contester les élections dans une demi-douzaine d'États. Vendredi soir, il a tweeté : « Joe Biden ne devrait pas revendiquer faussement la présidence. Je peux le faire aussi. La bataille juridique commence seulement. » Ensuite, dans les deux mois qui lui restent à la Maison-Blanche Donald Trump pourra agir à peu près comme il l'entend. Il risque d'octroyer des contrats à des proches, d'accorder des grâces à des multiples conseillers sous le coup de la justice, et surtout de faire passer toutes sortes de mesures de dernière minute. Ces derniers temps, par exemple, l'administration Trump a imposé de multiples sanctions contre l'Iran qui rendent plus difficile un retour à des négociations futures.

    Un opposant en chef nomme Mitch McConnell

    Une fois en place, Joe Biden va devoir gérer une multitude de crises allant de la pandémie de Covid à la récession économique? Surtout, il va être confronté probablement à un Sénat républicain qui va avoir un droit de veto. Il a face à lui l'homme le plus puissant de Washington, Mitch McConnell, le chef de file des républicains. Si l'on en juge par la présidence Obama, ce dernier va faire de l'obstruction systématique bloquant les nominations et toutes les réformes. En 2008, par exemple, alors que le pays était en pleine crise économique, les républicains avaient freiné tant qu'ils pouvaient le plan de relance de Barack Obama l'obligeant à réduire son montant.

    Les républicains ont déjà commencé. Après avoir laissé le président Trump creuser le déficit, ils se positionnent en chantres de la rigueur fiscale et freinent des quatre fers pour le nouveau plan de relance.

    L'équipe Biden va donc devoir sélectionner des membres de son administration assez modérés pour avoir une chance de plaire à Mitch McConnell et d'être confirmés au Sénat. Ce qui va faire enrager l'aile gauche démocrate. Des Elizabeth Warren ou Bernie Sanders ? jugés beaucoup trop à gauche ? n'ont aucune chance d'être acceptés. Et même Susan Rice, l'ex-conseillère à la Sécurité nationale de Barack Obama pressentie pour prendre la tête du Département d'État risque d'être rejetée, car les républicains lui en veulent pour l'attaque terroriste en Libye contre le consulat américain à Benghazi.

    Lire aussi Philippe Labro ? « Good luck, Mister President ! »

    Finis aussi les rêves d'une présidence à la Franklin Roosevelt, le président qui avait profité de la grande crise de 1929 pour instaurer des réformes profondes. Oubliés ses grands projets en matière d'infrastructures, de lutte contre le réchauffement climatique?

    Comment va-t-il s'y prendre pour faire voter des hausses d'impôts sur les hauts salaires, réformer la Santé, imposer un congé maternité de douze semaines, et surtout lancer un plan de relance pour sauver l'économie ?

    Le seul aspect positif pour les démocrates c'est que Joe Biden et McConnell, qui ont à peu près le même âge, se connaissent et ont forgé des liens sur les bancs du Sénat. McConnell est le seul républicain à avoir assisté à l'enterrement de Beau, le fils de Biden, en 2015. Et il a évité d'attaquer le démocrate sur les affaires douteuses de son autre fils Hunter pendant la campagne. Peut-être vont-ils pouvoir trouver quelques terrains d'entente sur la baisse du prix des médicaments, par exemple, ou sur la nécessité d'injecter de nouvelles aides pour aider l'économie.

    Au pire, si les républicains bloquent tout, Joe Biden pourra toujours imiter Donald Trump et agir par décret et nommer des ministres sans l'aval du Sénat. Mais le plus gros blocage risque de venir de la branche judiciaire qui décide in fine dans ce pays de toutes les réformes. Plus de 220 juges conservateurs ont été nommés à des cours d'appel sous Donald Trump. Et la Cour suprême est dominée aujourd'hui largement par six juges conservateurs contre trois démocrates. Dans son discours vendredi, Joe Biden a appelé à un retour à la civilité en politique. « Il est temps que notre nation se rassemble et se réconcilie. Ça ne va pas être facile mais nous devons essayer. »

  • Communautarisme, insécurité : Bernard Cazeneuve s’inquiète pour la France

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    Communautarisme, insécurité : Bernard Cazeneuve s’inquiète pour la France

    L’ancien ministre de l’Intérieur a accordé une longue interview au Parisien. Bernard Cazeneuve est revenu sur la crise qu’a provoqué l’attentat de Charlie Hebdo. Il a aussi confié que la société a empiré depuis 2011…

    Alors que le procès historique sur les attentats de Charlie Hebdo, de l’Hyper Cacher et de Montrouge commencera mercredi prochain, Bernard Cazeneuve est revenu sur cette crise qui a frappé le pays en 2015. Cet ancien ministre de l’Intérieur a accordé une interview au Parisien ce dimanche 30 août. Il a par ailleurs confié son point de vue concernant l’insécurité qui règne en France. Selon lui, « la violence s'est nouée au cœur de la société, la culture de la confrontation a prospéré, les fractures sont plus profondes désormais qu'à l'époque, le communautarisme a progressé et l'esprit républicain s'est affaissé ». Bernard Cazeneuve s’est dit préoccupé par « tout ce qui contribue à ruiner la confiance » des Français. 

    Les réseaux sociaux, cause de tous les maux ? 

    Le membre du Parti socialiste a délimité la principale cause de ces problèmes grandissants dans la société française : les réseaux sociaux. D’après lui, ils seraient devenus « le vecteur d'expression de toutes les pulsions et parfois des instincts les plus vils ». Il a poursuivi dans Le Parisien : « On peut y insulter son prochain à chaque instant, y détruire des réputations ou des personnes, avec le sentiment narcissique d'avoir administré une correction, ou pire encore d'avoir contribué à une révolution utile. » Bernard Cazeneuve en a profité pour critiquer l’usage de ces plateformes par les hommes et femmes politiques :  « Nombreux sont ceux qui se sont emparés des réseaux sociaux pour en faire un outil de communication où l'outrance domine et où, à longueur de journée, les phrases les plus brèves sont débitées, au service des idées les plus courtes. » 

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    Défiance envers les policiers, communautarisme… 

    Mais Bernard Cazeneuve est particulièrement inquiet des politiques qui comparent les policiers à des « barbares ». « Quand certains soutiennent que le racisme est dans l'ADN de la police, ils sapent l'autorité de l'Etat et la nécessaire confiance dans les institutions », a-t-il ajouté. Il redouterait même « des risques d'embrasement et la possibilité de continuer à faire Nation autour du Pacte républicain ». En effet, l’ex-ministre a glissé au quotidien que le rapport entre la police et la population s’est « incontestablement » abîmé. Il a développé : « Il faut d'abord être intraitable quant au respect par la police des principes déontologiques auxquels elle doit se conformer et sanctionner sévèrement tous les policiers qui manquent à leurs obligations. » Bernard Cazeneuve a d’ailleurs trouvé que l’actuel ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, était souvent « derrière » les forces de l’ordre alors qu’il devrait, selon lui, les diriger, leur « montrer la direction et le chemin ». 

    Enfin, Bernard Cazeneuve n’a pas détourné les yeux concernant la montée du communautarisme qui s’apparente à un « affaissement de la pensée républicaine ». Il a rappelé que « l'adhésion à des valeurs communes, par-delà les appartenances et les croyances de chacun », a permis au pays de faire Nation. Sa remise en cause serait d’ailleurs « un poison lent et funeste », a-t-il affirmé, pointant du doigt « ceux qui l'ont oublié notamment au sein de la gauche ». Sa propre famille politique.

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  • Facebook pourrait interdire les publicités politiques avant la présidentielle US, selon Bloomberg

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    Facebook pourrait interdire les publicités politiques avant la présidentielle US, selon Bloomberg

    (Reuters) - Facebook envisage d'interdire les publicités à caractère politique sur ses réseaux sociaux avant la tenue de l'élection présidentielle américaine en novembre, rapporte vendredi Bloomberg, citant une source proche du dossier.

    Cette possible interdiction est toujours en discussion et n'a pas encore été finalisée, ajoute l'agence.

    Un porte-parole de Facebook a indiqué que le groupe ne souhaitait pas faire de commentaires.

    Le groupe de réseaux sociaux, qui détient Instagram et Whatsapp, fait l'objet de critiques répétées sur sa gestion des publicités à caractère politique et est accusé d'être un vecteur de propagation des "fake news".

    L'an dernier, son concurrent Twitter a interdit les publicités à caractère politique mais Facebook s'est refusé à faire de même, disant ne pas vouloir étouffer le discours politique.

    L'équipe de campagne de Joe Biden, qui brigue la présidence des Etats-Unis pour le camp démocrate, n'était pas joignable dans l'immédiat pour un commentaire.

    Le mois dernier, l'ancien vice-président des Etats-Unis avait publié une lettre ouverte au directeur général de Facebook, Mark Zuckerberg, pour l'inviter à instaurer un système de vérification des informations dans les publicités politiques qui seront diffusées au cours des deux semaines précédant l'élection du 3 novembre.

    L'équipe de campagne du président républicain Donald Trump n'a pas répondu dans l'immédiat à une demande de commentaires.

    (Neha Malara et Elizabeth Culliford, Blandine Hénault pour la version française)

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  • L’homme qui avait menacé Eric Zemmour dans la rue condamné à trois mois de prison avec sursis

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    L’homme qui avait menacé Eric Zemmour dans la rue condamné à trois mois de prison avec sursis

    L’homme s'était filmé en train d'insulter l'éditorialiste alors que celui-ci marchait tranquillement dans la rue.

    En plein confinement, le 30 avril dernier, un homme s’était filmé dans les rues de Paris alors qu’il insultait Eric Zemmour. Il a été condamné, ce mercredi 9 septembre, pour « menaces réitérées de crimes » à trois mois de prison avec sursis et cinq ans de mise à l’épreuve par le tribunal correctionnel de la ville de Paris.

    Selon Le Parisien, le jeune homme est également tenu de travailler, d’effectuer un stage de citoyenneté et est interdit d’entrer directement ou indirectement en contact avec Eric Zemmour.

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    Alors que le journaliste marchait seul dans les rues de la capitale, l’homme de 28 ans s’était filmé en train de l’insulter, de le menacer, et de crier « un petit doigt dans le cul Eric ». Il avait ensuite posté la vidéo sur Snapchat. Dans une seconde vidéo, il avait également affirmé avoir craché sur l’éditorialiste. Une déclaration sur laquelle il était revenu par la suite.

    Le prévenu s’est, durant son procès, dit surpris par la diffusion à grande échelle de la vidéo. Il a également dit regretter son geste : « j’ai réagi comme un gamin. J’ai fait une bêtise ». Eric Zemmour a quant à lui confié, dans sa déposition, avoir « senti le souffle » de son agresseur sur sa nuque.

    L’avocat de Zemmour a quant à lui dénoncé la volonté « d’humilier et de rabaisser » son client. Il a aussi ajouté que, suite à cette vidéo, d’autres individus auraient pu avoir envie « d’aller beaucoup plus loin ».

    Eric Zemmour, paris, valeurs actuelles, fait divers, politique, livres, journalisme, justice, racisme anti-blancs,  Université Paris Diderot - Université de Paris, Rue Thomas Mann, Paris, France

  • “On va te violer dans une cave” : Mila menacée pendant ses vacances

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    “On va te violer dans une cave” : Mila menacée pendant ses vacances

    La jeune fille qui avait osé critiquer la religion musulmane et avait été cyberharcelée par la suite a été reconnue lors d’un voyage à Malte.

    Mila et la quiétude, ce n’est pas encore pour maintenant. Selon une information du Canard enchaîné reprise par Marianne, la jeune lycéenne déscolarisée depuis le début de l’année, était en séjour linguistique à Malte au mois d’août. Mais ses vacances ne se sont pas déroulées comme prévu. La jeune adolescente a été une nouvelle fois harcelée, menacée de mort et de viol sur l’île où elle a été reconnue. Le 15 août, dans un restaurant, un homme lui a demandé si elle était Mila. Vérification faite, il s’en est violemment pris à elle dans un premier temps : « On va te violer dans une cave », et lui assénant : « On va violer ta mère ».
     
    Selon la jeune fille, les insultes auraient été proférées « au nom d’Allah ». L’homme l’a également menacée de mort : « Que je ne te revoie pas, sinon je vais t’étrangler ». D’après le Canard enchainé, il aurait également menacé de dévoiler le lieu où elle était en vacances sur les réseaux sociaux.

    Un an avec sursis

    Alerté, le responsable du séjour linguistique auquel elle participait a prévenu la police. L’homme habite en France et a été arrêté le lendemain des faits. Il a été condamné à un an de prison avec sursis.
     
    En juillet, l’avocat de la jeune fille révélait qu’elle avait reçu plus de 30 000 menaces de morts depuis sa sortie sur l’islam. Parmi elles, de violentes diatribes comme : « Je vais t’égorger, je vais te sortir tes tripes et te les faire manger puis je te violerai ensuite », toujours « au nom du Prophète ». En juin, un mineur avait été interpellé pour « menaces de mort »« usurpation d'identité d'un tiers » et « envoi réitéré de messages malveillants ». Il avait déclaré aux enquêteurs « assumer totalement » ses propos et avoir fait « le boulot que les juges et la police ne font pas… ou trop lentement ». Déscolarisée puisque l’Education nationale n’a pas trouvé de structure garantissant sa scolarité, la jeune Mila est désormais dans un internat.

    Mila menacée pendant ses vacances, Mila, homosexualité, valeurs actuelles, homophobie, islam, fait divers, Il-Kalanka Bay, Malte

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  • “J’ai tout donné à la macronie” : déçue de ne pas être ministre, Aurore Bergé a couru en pleurs dans le parc de Matignon

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    “J’ai tout donné à la macronie” : déçue de ne pas être ministre, Aurore Bergé a couru en pleurs dans le parc de Matignon

    La députée LREM aurait mal vécu, le 6 juillet dernier, de ne pas être nommée au gouvernement.

    En convolant d’une famille politique à l’autre, Aurore Bergé espérait probablement satisfaire à ses hautes ambitions. À tout le moins, elle s’imaginait ministre sous la macronie, en atteste l’anecdote rapportée par Le Point, ce jeudi 30 juillet.

    « Elle est partie en courant »

    Le 6 juillet, les parlementaires de la majorité sont invités à un pot d’arrivée, à Matignon, du nouveau locataire des lieux, Jean Castex. Aurore Bergé, présente, est « stupéfaite de ne pas avoir été nommée ministre de plein exercice lors du remaniement », explique l’hebdomadaire. Ce jour-là, le Premier ministre vient à peine de dévoiler les noms de ceux qu’Emmanuel Macron et lui-même ont choisis pour la fin du quinquennat. Alors, déçue de ne pas en être, l’élue de 33 ans « craque », explique Le Point.

    Un participant à l’événement raconte la scène : « C'était lunaire ! Elle est partie en courant dans le parc et en est revenue peu après avec les yeux encore rougis. On l'entendait dire tout haut : ‘J’ai tout donné à la Macronie !’ » Cet indiscret du Point fait écho à un autre, celui-ci de L’Opinion : Aurore Bergé, qui n’a même pas obtenu un secrétariat d’État dans la nouvelle équipe gouvernementale, « insupporte en haut lieu », explique le journal. En cause, notamment, « sa façon de survaloriser les attaques dont elle fait l’objet ».

    Aurore Bergé dément

    « Je vous remercie pour votre intérêt particulièrement marqué concernant mon activité lacrymale supposée (et fantasmée). En attendant, je préfère être en séance à l'Assemblée nationale afin que nous puissions voter la PMA pour toutes », a-t-elle réagi, jeudi, sur Twitter, à l'information dévoilée par Le Point.

    Je vous remercie pour votre intérêt particulièrement marqué concernant mon activité lacrymale supposée (et fantasmée).

    En attendant, je préfère être en séance à l'assemblée nationale afin que nous puissions voter la #PMApourToutes. Ça me paraît plus important.

    Lien permanent Catégories : Anne Hidalgo, Association, Aurore Bergé, Blog, Décès - Mort - Hommage, Elections, Europe - (Union Européenne), Fait-Divers, Gabriel Attal, Gay & Lesbien, Gérald Darmanin, Homophobie, Homosexualité, Jeux, Journalisme, La République En Marche (LaREM), Législatives, Livre, Loisirs, Mouvement Démocrates (MoDem), Municipales, Musique, People, Photos, Pôle Emploi, Politique, Premier Ministre, Présidentielle, Presse, Réformes, Réseaux Sociaux - Internet - WebMaster, Santé, Science, Shopping, Sida -Aids, Sport, Vinyle Is Back, Voyage, Web 0 commentaire
  • Sebastián Athié est mort, il avait 24 ans (acteur de Disney)

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    L’acteur de Disney Sebastián Athié est mort, il avait 24 ans

    Dimanche 5 juillet, Disney Channel Latin America a annoncé la mort de Sebastián Athié, star de la série "Once", à l'âge de 24 ans. 

    Une disparition tragique pour la grande famille Disney. Dimanche 5 juillet, la chaîne Disney Channel Latin America a annoncé la mort de l'acteur Sebastián Athié, à l'âge de 24 ans. "Repose en paix, Sebas. Ton art et ton sourire restent pour toujours", peut-on ainsi lire sur le compte Instagram de la chaîne, à propos de l'interprète de Lorenzo dans la série Once, qui raconte l'histoire d'un adolescent qui rêve de devenir footballeur.

     

    "Nous regrettons le départ de Sebastián Athié et nous nous souviendrons toujours de lui pour son talent, sa compagnie, son professionnalisme et surtout son cœur énorme. Nous accompagnons sa famille, ses amis et ses fans dans ses adieux", peut-on également lire. Une mort tragique, dont les causes n'ont toutefois pas encore été révélées précise People.

    Daniel Patiño dévasté par la mort de sa co-star

    Né le 26 juillet 1995 à Santiago de Querétaro, Mexique, Sebastián Athié était devenu une star depuis 2019 sur la chaîne Disney Channel Latin America. Très touché par la mort de l'acteur, sa co-star Daniel Patiño lui a rendu un vibrant hommage sur Instagram. "Les âmes nobles ne meurent pas et ta lumière sera éternelle, passion, discipline et amour, alors je me souviendrai de toi, mon colocataire, mon ami, mon frère", a ainsi écrit le comédien, avant de poursuivre : "Dieu a ta sainte gloire, je ne comprends pas toujours ses plans, et pour la première fois je sais ce que ça fait de perdre un frère, tu vas me manquer". Très présent sur les réseaux sociaux, Sebastián Athié n'avait toutefois rien publié depuis le 7 juin dernier.

    "Nous regrettons le départ de Sebastián Athié et nous nous souviendrons toujours de lui pour son talent, sa compagnie, son professionnalisme et surtout son cœur énorme. Nous accompagnons sa famille, ses amis et ses fans dans ses adieux", peut-on également lire. Une mort tragique, dont les causes n'ont toutefois pas encore été révélées précise People.