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  • Ma consœur Ruth Elkrief annonce l'arrêt de son émission quotidienne sur BFMTV

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    Clap de fin pour 19h Ruth Elkrief sur BFMTV. La journaliste politique annonce dans le Journal du dimanche qu'elle arrête sa quotidienne sur la chaîne info et dévoile ses nouveaux projets.

    Une page se tourne pour Ruth Elkrief. Dans une interview accordée au Journal du dimanche paru ce 5 juillet, la journaliste politique, véritable pilier de BFMTV, dévoile qu'elle ne présentera plus sa tranche d'information quotidienne à 19 heures à la rentrée.

    "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps"

    Pas question toutefois pour Ruth Elkrief de quitter BFMTV, dont elle présenta le premier journal en 2005. Elle veut juste "s'éloigner un peu de l’info en continu pour privilégier l’approfondissement, la réflexion". A la rentrée, la journaliste aura "plusieurs missions", dont "la préparation de l’élection présidentielle" et, surtout, "une grande interview hebdomadaire".

    Cette dernière, d'une durée d'une heure, sera diffusée "le samedi vers 13 heures puis dans la soirée". L'interview elle-même sera enregistrée "hors studio, en situation, et inclura des images". Quant à l'invité, il n'appartiendra pas forcément au giron politique, il s'agira plus largement de "quelqu’un au cœur de l’actualité de la semaine", précise Ruth Elkrief, qui veut "moins travailler sur le petit jeu politicien que sur la politique au sens noble".

    Alors que le groupe NextRadioTV est en plein conflit social avec des suppressions de postes annoncées et un mouvement de grève inédit qui a perturbé l'antenne de BFMTV en plein second tour des élections municipales, Ruth Elkrief assure qu'elle n'est pas mise à l'écart par sa direction et que cette décision est entièrement la sienne. "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps, d’approfondir plutôt que de seulement courir après l’actualité, même si j’adore l’info", affirme-t-elle, expliquant : "C’est une forme de réinvention, un nouveau défi. J’aurai plus de temps, plus de recul, plus de distance ;

    sincèrement, ça me manquait."

  • Électricité: vers une hausse de 1,55% des tarifs réglementés

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    Les tarifs réglementés de l'électricité devraient augmenter de 1,55% au 1er août. Le régulateur de l'énergie (CRE) l'a proposé au gouvernement, qui doit entériner cette hausse, aprés celle de 2,4% en février.

    Près de 24 millions d'abonnés résidentiels (les particuliers) sont encore dépendants des tarifs réglementés de l'électricité, fixés par l'État sur proposition du régulateur, la CRE (Commission de régulation de l'énergie).

    Celle-ci a proposé aux ministres chargés de l'énergie et de l'économie une hausse des tarifs réglementés de vente d'électricité de 1,55% TTC au 1er août 2020 "qui prend en compte l'évolution annuelle des tarifs des réseaux publics de transport et de distribution d'électricité".

    Deux ministres sont concernés par la validation

    Cette évolution en France continentale est de 1,54% pour les tarifs "bleus" résidentiels et de 1,58% pour les professionnels, détaille la CRE dans une délibération. Il appartient donc désormais à la ministre de la Transition écologique et solidaire Barbara Pompili et au ministre de l'Economie Bruno Le Maire d'entériner cette proposition de hausse de tarifs sous trois mois.

    En 2019, les tarifs ont connu deux hausses successives

    L'an dernier, les tarifs de l'électricité avaient connu une hausse historique de 5,9% au 1er juin puis de 1,23% en août. Cette année, ils avaient encore augmenté de 2,4% en février.

    Ces tarifs réglementés de vente (TRV) fixés par l'Etat sont commercialisés uniquement par l'opérateur historique EDF ainsi que par les entreprises locales de distribution dans certaines villes. Fin 2019, la France comptait 23,9 millions de sites résidentiels aux tarifs réglementés, soit une large majorité. Un peu plus de 9 millions souscrivaient aux offres de marché, dont les tarifs sont fixés librement par les fournisseurs.

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  • Le chauffeur de bus Philippe Monguillot agressé dimanche à Bayonne est mort

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    Philippe Monguillot, le chauffeur de bus agressé dimanche à Bayonne, est mort ce vendredi.

    Philippe Monguillot, le chauffeur de bus de 58 ans agressé dimanche dernier à Bayonne dans l'exercice de ses fonctions, est mort ce vendredi après-midi, a-t-on appris de source familiale. L'homme se trouvait en état de mort cérébrale depuis son agression.

    "En accord avec les médecins, nous avons décidé de ne pas nous acharner. Philippe est décédé à 17h30. Aucune issue viable n’était possible, nous avons donc décidé de le laisser partir en paix", ont fait savoir ses proches.

    Gérald Darmanin à Bayonne samedi

    Le chauffeur de bus a été victime d'une agression "d'une extrême violence", selon le parquet de Bayonne, alors qu'il voulait contrôler le ticket d'une personne et exigeait le port du masque pour trois autres.

    Agés de 22 et 23 ans et connus des services de police, deux hommes soupçonnés d'avoir porté les coups ont été mis en examen pour tentative d'homicide volontaire et écroués. Deux autres individus, des trentenaires, ont été écroués, notamment pour "non assistance à personne en danger".

    Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin doit se rendre samedi à Bayonne pour faire un point sur la sécurité dans la ville avec les responsables des services de l'Etat, puis rencontrer les conducteurs et syndicats des transports publics.

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    Vidéo: La procureure d’Agen s’exprime après la mort de la gendarme renversée samedi (Le Figaro)

  • Ma Consœur Ruth Elkrief annonce l'arrêt de son émission quotidienne sur BFMTV

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    Clap de fin pour 19h Ruth Elkrief sur BFMTV. La journaliste politique annonce dans le Journal du dimanche qu'elle arrête sa quotidienne sur la chaîne info et dévoile ses nouveaux projets.

    Une page se tourne pour Ruth Elkrief. Dans une interview accordée au Journal du dimanche paru ce 5 juillet, la journaliste politique, véritable pilier de BFMTV, dévoile qu'elle ne présentera plus sa tranche d'information quotidienne à 19 heures à la rentrée.

    "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps"

    Pas question toutefois pour Ruth Elkrief de quitter BFMTV, dont elle présenta le premier journal en 2005. Elle veut juste "s'éloigner un peu de l’info en continu pour privilégier l’approfondissement, la réflexion". A la rentrée, la journaliste aura "plusieurs missions", dont "la préparation de l’élection présidentielle" et, surtout, "une grande interview hebdomadaire".

    Cette dernière, d'une durée d'une heure, sera diffusée "le samedi vers 13 heures puis dans la soirée". L'interview elle-même sera enregistrée "hors studio, en situation, et inclura des images". Quant à l'invité, il n'appartiendra pas forcément au giron politique, il s'agira plus largement de "quelqu’un au cœur de l’actualité de la semaine", précise Ruth Elkrief, qui veut "moins travailler sur le petit jeu politicien que sur la politique au sens noble".

    Alors que le groupe NextRadioTV est en plein conflit social avec des suppressions de postes annoncées et un mouvement de grève inédit qui a perturbé l'antenne de BFMTV en plein second tour des élections municipales, Ruth Elkrief assure qu'elle n'est pas mise à l'écart par sa direction et que cette décision est entièrement la sienne. "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps, d’approfondir plutôt que de seulement courir après l’actualité, même si j’adore l’info", affirme-t-elle, expliquant : "C’est une forme de réinvention, un nouveau défi. J’aurai plus de temps, plus de recul, plus de distance ;

    sincèrement, ça me manquait."

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