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  • Emmanuelle Mottaz… Ce N'Est Qu'Un Voyou & Mon Premier Chagrin D'Amour [Vinyle 45 Tours] - [Vinyl 7'']

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    Pour ma part, Ce Single de cet artiste reste Le Titre de la maturité et de l'immense Talent de cet Artiste à part entière qu'est Emmanuelle [Mottaz] de son vrai nom.

    Emmanuelle Mottaz Une Artiste Trop Rare Pour Les Nostalgiques Des Années 80'S; Rarissime Et Cultissime !

    Ce nouveau titre n'a pas rencontré un succès National ni même Européen estimé par ses pères qu'elle mérité mais par contre et tout de même un superbe et magnifique accueil de son public ainsi que de ses fans et de très belles critiques constructives qui va aboutir;

    Rentré au TOP 50 à l'époque mais pas très bien classé en France seulement quelques semaines ni même dans les pays Francophones et Frontaliers (Belgique, Suisse, Luxembourg) là ou elle avait connu bien mieux.

    Néanmoins Ce 45 Tours est un Vinyle à posséder et à consommer sans aucune modération pour les Mélomanes, les Fans et les passionnés exagérés de musique mais aussi pour les dilettantes et les autres.

    Durant des années j'ai conservé ma collection de disques vinyles.

    Beaucoup d'amis se sont un peu moqués de moi mais finalement ces vieux disques en plastique provenant de l'éthylène sont redevenus très à la mode.

    Je conseille à tous les musicomanes et les mélos-mania qui aiment la musique autant que moi de posséder une platine de disques vinyles ;

    Et puis... Très honnêtement, la magie opère d'avantage avec le bruit des sillons et du saphir sur la platine de tourne-disques : Un Bijou qui n'a pas de Prix ainsi qu'une pépite à l'état brut !

    Enjoy Yourself Emmanuelle Mottaz… Ce N'Est Qu'Un Voyou & Mon Premier Chagrin D'Amour…
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  • La compagnie Level France devrait bientôt disparaître

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    La compagnie Level France devrait bientôt disparaître

    La direction de la compagnie aérienne low-cost a annoncé mercredi 8 juillet qu'elle allait cesser son activité et engager un plan social.

    La crise sanitaire a fait une nouvelle victime. La compagnie aérienne OpenSkies, qui opère sous la marque Level France, a annoncé mercredi 8 juillet qu'elle s'apprêtait à cesser son activité et à mettre en oeuvre un plan social en raison de l'impact de la crise due au coronavirus. "L'impact de la pandémie de Covid-19 et la probabilité que la demande des passagers ne revienne pas au niveau de 2019 avant 2023 au plus tôt, ont contraint OpenSkies à informer officiellement son comité économique et social d'un projet de cessation totale de ses activités et de sa proposition d'élaborer un plan de sauvegarde de l'emploi" (PSE), affirme la compagnie dans un communiqué.

    La compagnie emploie 231 personnes, mais certaines en contrat à durée déterminée ne seront pas concernées par le PSE, qui sera formellement ouvert à la négociation lors d'un comité économique et social le 15 juillet. Les discussions avec les syndicats devraient ensuite durer trois mois, selon une représentante de la compagnie, qui cherche parallèlement un repreneur.

    >> A lire aussi - Une compagnie aérienne remplace des vols par des trains

    Level, la marque low-cost long-courrier d'IAG, maison mère d'Iberia et de British Airways, opère en France depuis l'aéroport de Paris-Orly depuis 2018. Ses trois Airbus A330 desservent des destinations aux Etats-Unis, au Canada ainsi que la Guadeloupe et la Martinique. La société OpenSkies, créée en 2006 sous le nom de L'Avion, avait été rachetée en 2009 par British Airways et vole sous la marque Level depuis 2018. IAG entendait alors se positionner sur le marché low-cost long-courrier au départ de Paris, où Norwegian Air Shuttle (Norwegian) avait ouvert des liaisons vers les Etats-Unis deux ans plus tôt.

    >> A lire aussi - Les compagnies aériennes face au couperet de la dette

    Le secteur aérien est l'une des branches les plus affectées par les conséquences économiques de la pandémie. De nombreuses compagnies dans le monde entier ont engagé des procédures de faillite, annoncé d'importants plans d'économie et de licenciements, ou sollicité des aides publiques massives. La branche autrichienne de Level a déposé le bilan en juin.

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  • Arrestation de deux militaires de la DGSE qui projetaient de commettre un meurtre

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    Arrestation de deux militaires de la DGSE qui projetaient de commettre un meurtre

    Arrêtés en possession d’armes, les suspects ont été mis en examen notamment pour “tentative d’homicide volontaire”.

    Un individu dont on ignore l’identité a visiblement échappé à une « tentative de règlement de comptes ». Selon Le Parisien, deux militaires de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) ont été arrêtés à Créteil (Val-de-Marne) à bord d’un véhicule volé dans la nuit du 23 au 24 juillet derniers alors qu’ils prévoyaient d’assassiner quelqu’un.

    Un troisième suspect interpellé

    Arrêtés en possession d’armes, les deux hommes de 25 et 28 ans sont, d’après le journal, rattachés au centre parachutiste d'entraînement spécialisé de Saran (Loiret) de la DGSE. « C'est une tentative de règlement de comptes privée et ratée, sur une victime privée, par deux agents qui se sont lancés en solo », a expliqué  au quotidien une source proche de l’enquête. Les suspects ont été mis en examen pour « tentative d'homicide volontaire en bande organisée », « recel en bande organisée de vol, transport, acquisition, détention d'armes de catégorie B en réunion » et « association de malfaiteurs en vue de la commission de ces crimes et délits punis de 10 ans d'emprisonnement », selon une information du Parisien confirmée par le parquet de Paris.

    Un troisième individu a été interpellé deux jours plus tard, le 26 juillet, et mis en examen pour les mêmes chefs. Les trois hommes ont été placés en détention provisoire, conformément aux réquisitions du parquet. La suite de l’enquête a été confiée à la section antiterroriste (SAT) de la brigade criminelle, explique le journal, qui précise que ce service est habilité à enquêter sur des agents ayant accès à des informations classées secret-défense.

  • Électricité: vers une hausse de 1,55% des tarifs réglementés

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    Les tarifs réglementés de l'électricité devraient augmenter de 1,55% au 1er août. Le régulateur de l'énergie (CRE) l'a proposé au gouvernement, qui doit entériner cette hausse, aprés celle de 2,4% en février.

    Près de 24 millions d'abonnés résidentiels (les particuliers) sont encore dépendants des tarifs réglementés de l'électricité, fixés par l'État sur proposition du régulateur, la CRE (Commission de régulation de l'énergie).

    Celle-ci a proposé aux ministres chargés de l'énergie et de l'économie une hausse des tarifs réglementés de vente d'électricité de 1,55% TTC au 1er août 2020 "qui prend en compte l'évolution annuelle des tarifs des réseaux publics de transport et de distribution d'électricité".

    Deux ministres sont concernés par la validation

    Cette évolution en France continentale est de 1,54% pour les tarifs "bleus" résidentiels et de 1,58% pour les professionnels, détaille la CRE dans une délibération. Il appartient donc désormais à la ministre de la Transition écologique et solidaire Barbara Pompili et au ministre de l'Economie Bruno Le Maire d'entériner cette proposition de hausse de tarifs sous trois mois.

    En 2019, les tarifs ont connu deux hausses successives

    L'an dernier, les tarifs de l'électricité avaient connu une hausse historique de 5,9% au 1er juin puis de 1,23% en août. Cette année, ils avaient encore augmenté de 2,4% en février.

    Ces tarifs réglementés de vente (TRV) fixés par l'Etat sont commercialisés uniquement par l'opérateur historique EDF ainsi que par les entreprises locales de distribution dans certaines villes. Fin 2019, la France comptait 23,9 millions de sites résidentiels aux tarifs réglementés, soit une large majorité. Un peu plus de 9 millions souscrivaient aux offres de marché, dont les tarifs sont fixés librement par les fournisseurs.

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  • Ce qui change avec la fin de l'état d'urgence sanitaire

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    Le ministre de la Santé Olivier Véran, qui a observé un "relâchement dans les comportements" visant à limiter la transmission du Covid-19, a encore appelé vendredi les Français à la "vigilance au quotidien".

    Encore de possibles restrictions des déplacements, mais fin de la trêve hivernale, de l'encadrement des prix des gels et masques et encore retour de la carence en cas d'arrêt maladie: c'est la fin de l'état d'urgence sanitaire vendredi soir, mais pas un retour complet à la normale.

    Le ministre de la Santé Olivier Véran, qui a observé un "relâchement dans les comportements" visant à limiter la transmission du Covid-19, a encore appelé vendredi les Français à la "vigilance au quotidien".

    Entré en vigueur le 24 mars face à l'épidémie de coronavirus, l'état d'urgence sanitaire, qui permet de restreindre certaines libertés publiques, s'achève à minuit. Mais de possibles restrictions sont possibles jusqu'à l'automne, prévoit la loi de sortie de l'état d'urgence publiée vendredi au Journal officiel. Les oppositions critiquent un prolongement en "trompe l'oeil" de ce régime d'exception.

    Cas particulier: l'état d'urgence est prolongé jusqu'au 30 octobre en Guyane et à Mayotte, où le virus circule encore activement.

    - Restrictions de déplacements

    Le gouvernement pourra réglementer et même interdire, là où le virus est actif, la circulation des personnes et des véhicules ainsi que l'accès aux transports en commun. Les déplacements "strictement indispensables aux besoins familiaux, professionnels et de santé" doivent rester permis.

    Il sera possible d'imposer aux personnes prenant l'avion à destination ou en provenance du territoire métropolitain ou d'outre-mer de présenter le résultat d'un test virologique. M. Véran a indiqué travailler à la mise en place dans les aéroports "où ce sera possible" de tests salivaires pour les voyageurs arrivant de pays à risque.

    Le Conseil constitutionnel a précisé jeudi qu'il ne sera pas possible d'interdire de sortir de chez soi ou des alentours, autrement dit de confiner la population, même localement. S'il fallait décider un nouveau confinement strict, tel celui mis en place à partir du 17 mars, le gouvernement devrait de nouveau décréter un état d'urgence sanitaire.

    - Rassemblements, stades, discothèques...

    Le gouvernement pourra encore encadrer les rassemblements et fermer provisoirement des établissements et lieux de réunion. Les discothèques notamment restent closes à ce stade mais espèrent rouvrir avant septembre, même sans piste de danse.

    Le gouvernement a autorisé la réouverture des stades à partir de samedi, avec une jauge maximale de 5.000 spectateurs... que plusieurs dirigeants sportifs veulent déjà rehausser.

    - Gels et masques

    L'encadrement des prix de vente des gels hydroalcooliques et des masques chirurgicaux à usage unique prend fin vendredi soir.

    - Sortie de la trêve hivernale

    C'est la fin du sursis pour des milliers de foyers modestes menacés d'expulsion. Mais le gouvernement assure que les expulsions locatives ne pourront pas avoir lieu "sans possibilité de relogement". Les propriétaires pourront solliciter l'indemnisation de l'État quand les procédures d'expulsion n'auront pas été exécutées.

    - Retour de la carence

    Les jours de carence en début d'arrêt maladie avaient été suspendus durant l'état d'urgence sanitaire, permettant une rémunération durant ces jours-là, quel que soit le motif.

    A partir de samedi, les agents publics ne bénéficieront du maintien de leur rémunération qu'à partir du deuxième jour d'arrêt de travail. Ce délai s'étend au quatrième jour dans le privé, même si l'employeur prend généralement l'ensemble en charge du fait d'accords d'entreprise ou de branche.

    - Chômage partiel

    Les règles ne changent pas à nouveau, le chômage partiel classique continue de pouvoir s'appliquer. S'ajoute depuis le 1er juillet, sous réserve d'un accord d'entreprise ou de branche, un système de chômage partiel de longue durée, qui autorise une réduction du temps de travail maximale de 40%, le salarié touchant 84% de son salaire net et l'entreprise étant partiellement aidée par l'Etat.

    - Heures supplémentaires

    Les heures supplémentaires effectuées par les salariés depuis le 16 mars étaient exonérées d'impôt sur le revenu et de cotisations sociales dans la limite de 7.500 euros par an: retour au plafond de 5.000 euros.

    - Entreprises

    La possibilité légale de "reporter ou d'étaler le paiement des loyers" ou certaines factures (eau, électricité...) pour les très petites entreprises "dont l'activité est affectée par la propagation de l'épidémie" se termine. Mais le gouvernement a prévu un nouvel arsenal pour aider les entreprises au fil des budgets de crise.

  • La Croatie vote à des législatives serrées dans l’ombre du Coronavirus

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    Les Croates votent ce dimanche pour confier le gouvernail à un nouveau gouvernement qui devra affronter les retombées économiques du coronavirus au moment où un regain de contaminations met les conservateurs sortants sous pression...

     

    Des milliers de Croates s’apprêtent à se rendre aux urnes, ce dimanche, à l’occasion des élections législatives. Le scrutin s’annonce serré entre le HDZ au pouvoir qui affronte une coalition de centre-gauche, avec en embuscade un chanteur folk nationaliste.

    Ni le HDZ du Premier ministre Andrej Plenkovic ni la coalition « Restart » emmenée par les sociaux-démocrates (SDP) de Davor Bernardic ne semblent pouvoir remporter la majorité absolue des 151 sièges de députés, d’après les sondages. Le « Mouvement patriotique » de Miroslav Skoro, chanteur populaire et populiste, pourrait donc se retrouver en position d’arbitre.

    Les incertitudes sur l’avenir dominent alors que l’économie croate, ultra-dépendante du tourisme, devrait reculer de près de 10 %. La pire contraction depuis des décennies faisant suite à la pandémie de coronavirus.

    « Le nouveau gouvernement devra de fait (….) travailler sur l’économie car l’automne est là », dit Vesna Trnokop, économiste de 60 ans. « Tout le monde a peur de ce qu’il va se passer à l’automne ».

    Stabilité ou changement ?

    Andrej Plenkovic, 50 ans espère que les temps moroses qui s’annoncent inciteront les électeurs à rester fidèles à un parti au pouvoir depuis 2016. « Il faut faire des choix sérieux et non du charlatanisme », dit le Premier ministre. « La Croatie n’a pas besoin d’expérimentations comme avec Bernardic ou Skoro ».

    Le parti au pouvoir a aussi mis en avant sa maîtrise relative de la crise sanitaire. Avec environ 110 morts et 3 000 contaminés, le pays des Balkans membre de l’Union européenne a évité les scénarios explosifs vus ailleurs.Mais depuis deux semaines, après des bilans quasi nuls voire nuls, quelques dizaines de contaminations sont recensées quotidiennement comme au pic initial.

    Davor Bernardic, 40 ans, a accusé le gouvernement d’avoir « délibérément mis la Croatie en danger » en décidant de tenir les élections pendant la pandémie.

    L’arrestation récente d’une ancienne ponte du HDZ soupçonnée d’abus de pouvoir et de pots-de-vin risque aussi de nuire aux chances du parti alors que plusieurs ministres ont dû démissionner à cause de suspicions de corruption.Miroslav Skoro, qui pourrait séduire l’aile droite du parti conservateur déçue par les politiques modérées d’Andrej Plenkovic, affirme quant à lui être « le seul garant du changement ».

    Le chanteur de 57 ans, qui avait raflé 20 % des voix à la dernière présidentielle, renvoie dos à dos le SDP et le HDZ, « garantie d’une mauvaise gouvernance ». Le parti conservateur, et dans une moindre mesure le SDP, dominent la vie politique croate depuis l’indépendance en 1991.

    Emigration massive

    Une enquête publiée vendredi par Nova TV met les conservateurs et le centre gauche au coude à coude, avec respectivement 52 et 51 sièges. En troisième position, figure le « Mouvement patriotique » crédité de 18 sièges, suivi par le parti ultra-conservateur Most (pont) et Mozemo (On peut le faire !) une coalition réunissant les verts et des partis de gauche, avec neuf et six sièges.

    Ni les conservateurs ni le centre-gauche ne sont pressés de forger une alliance avec le candidat nationaliste, qui est accusé par le SDP de remarques sexistes et de nostalgie pour le passé oustachi pronazi de la Croatie. Mais d’après les analystes, le HDZ pourrait n’avoir d’autre choix s’il veut former le prochain gouvernement.

    En attendant, de nombreux Croates veulent que les choses bougent dans un pays qui subit une émigration massive due aux salaires modestes et à la corruption. « Ces élections sont très importantes » dit Branka Tekavec, enseignante retraitée de 76 ans. « Beaucoup de choses doivent changer. On ne se focalise pas assez sur les Croates qui partent, sur le chômage et la faiblesse des salaires des jeunes ».

    Environ 3,8 millions d’électeurs sont appelés aux urnes entre 05 h et 17 h GMT. Les résultats sont attendus tard dans la soirée.

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