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Europe - (Union Européenne) - Page 3

  • Hélène Rollès

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    Hélène Rollès

    Hélène Rollès est une chanteuse et comédienne française née le  au Mans. Elle est principalement connue pour sa carrière de chanteuse dans les années 1990, et pour son rôle d'Hélène Girard depuis 1992 dans les séries Premiers baisersHélène et les GarçonsLe Miracle de l'amourLes Vacances de l'amour et actuellement Les Mystères de l'amour.

    La carrière d'Hélène Rollès commence au cinéma en 1979 après avoir répondu à une petite annonce du journal Paris Match. Elle n'a que 12 ans lorsqu'elle tourne dans le film Le Mouton noir de Jean-Pierre Moscardo, aux côtés de Jacques Dutronc et Brigitte Fossey. Elle y incarne Alice, jeune fille tiraillée entre ses grands-parents autoritaires et son père attachant et marginal qu'elle adore. Cette expérience cinématographique lui permet de faire ses premières apparitions télévisées, notamment dans Les Rendez-vous du dimanche, émission présentée par Michel Drucker.

    Hélène Rollès se voit proposer un petit rôle dans Le Marginal mais la jeune fille refuse, préférant se consacrer à sa vie de collégienne.

    Sa carrière prend une autre envergure lorsqu'elle rencontre Dorothée et Jean-Luc Azoulay le  lors d'un concert de Dorothée au Mans, sa ville natale.
    Elle intègre rapidement la grande famille d'AB Productions en travaillant tout d'abord au service courrier du groupe.
    Sa carrière de chanteuse est lancée en 1988 lorsque Jean-Luc Azoulay lui écrit son premier single, Dans ses grands yeux verts. Dans la foulée, elle enregistre aussi trois chansons consacrées au dessin animé Candy (Le Noël de CandyDors petite Candy et La Ballade de Candy).

    Convaincu du potentiel de la jeune fille, l'auteur-producteur lui fait enregistrer un album entier Ce train qui s'en va, en 1989, soutenu par plusieurs singles : Ce train qui s'en vaSarah et Jimmy, Jimmy. L'album ne rencontrera qu'un succès mitigé en France. Toutefois, sa musique s'exporte bien en Asie et elle se produit en première partie des concerts de Dorothée en Chine en  et au printemps 1991.

    Le succès n'est pas encore au rendez-vous, mais Hélène Rollès multiplie les apparitions promotionnelles dans les émissions jeunesse de TF1 produites également par AB (Club DorothéeJacky Show). Ses premiers clips sont diffusés très régulièrement à l'antenne. Elle apparaît dans plusieurs épisodes de la sitcom Pas de pitié pour les croissants et dans un épisode de Salut les Musclés.

    Jean Luc Azoulay entretient sa carrière de chanteuse en lui faisant enregistrer plusieurs génériques de dessin animés du Club Dorothée comme Makko (édité en 45 tours), Magique Tickle Drôle de fée en 1991, puis Meg la sorcière et Don Quichotte en 1992.

    Hélène Rollès devient également l'une des actrices de la comédie musicale Retour à Diguedondaine, qui se joue au Champ-de-Mars à Paris, pour 12 représentations pendant les fêtes de Noël 1989 et qui fait suite à un spectacle de Dorothée présenté à Paris quelques années plus tôt. Elle réitère l'expérience les années suivantes dans deux nouvelles comédies musicales intitulées Avec une chanson et Rock n'Twist qu'elle joue à Paris, toujours au Champ-de-Mars, pendant les fêtes de Noël 1990 et 1991. Lors de ces trois spectacles destinés aux enfants, Hélène Rollès interprète quelques-unes de ses premières chansons en solo (SarahJe suis venue à Paris...) mais aussi des chansons inédites avec le reste de la troupe (Ariane, Jacky, Patrick et Corbier), écrites et composées pour l'occasion par Jean-Luc Azoulay et Gérard Salesses.

    Elle interprète Hélène Girard, la grande sœur de Justine, dans la sitcom à succès Premiers baisers, diffusée sur TF1 à partir de . Elle tourne dans une cinquantaine d'épisodes. L'engouement pour la jeune femme est immédiat, au point que Jean-Luc Azoulay décide de créer, en 1992, une nouvelle sitcom centrée sur son personnage et baptisée Hélène et les Garçons.

    Hélène et les Garçons devient instantanément un succès sans précédent à la télévision. Cette série retraçant les histoires de cœur d'une bande d'étudiants à l'université réalise des scores d'audience exceptionnels, réunissant jusqu'à 6 500 000 téléspectateurs chaque soir. Le succès de la série dépasse les frontières, puisqu'elle est adaptée et tournée pour l'étranger, notamment aux États-Unis, en Russie et dans beaucoup de pays d'Europe (République Tchèque, Hongrie, Norvège, Espagne, Danemark, Suède...).

    Le triomphe inattendu de la série permet à Hélène Rollès, qui est également l'interprète du générique intitulé Pour l'amour d'un garçon (n°4 au Top 50), de s'imposer musicalement. Son second album sort fin 1992 et s'écoule à plus de 700 000 exemplaires. Un autre single sera exploité, Peut-être qu'en septembre, qui se classera 11e du Top 50. Une première vidéo-cassette de clips est éditée dans le commerce. La jeune artiste est alors sur-médiatisée et accumule les couvertures de magazines et les apparitions à la télé, au point de devenir la plus grande star des adolescents entre 1992 et 1995. À l'été 1992, AB Productions lance son nouveau magazine mensuel : le Club Plus, devenu l'année suivante Télé Club Plus. Le magazine consacre de nombreux articles, reportages et couvertures à la jeune comédienne-chanteuse. D'autres magazines AB sortent dans la foulée et consacrent de très nombreux numéros spéciaux autour d'Hélène, de ses chansons et de la série : Dorothée magazine hors-sérieClub plus hors-sérieVedette plus...

    La carrière d'Hélène atteint son apogée en 1993. En effet, alors qu'Hélène et les Garçons continue de cartonner sur TF1, elle publie son album le plus populaire, Je m'appelle Hélène, qui atteint les 900 000 exemplaires vendus. Je m'appelle Hélène reste son titre le plus célèbre, un tube classé 5e au Top 50. Deux autres singles seront extraits : Dans les yeux d'une fille et Amour secret. Cet album sort notamment en Chine, au Japon, en Russie et en Grèce, mais également en format vidéo, reprenant les clips diffusés régulièrement au Club Dorothée.

    En , elle déclenche une émeute spectaculaire lors de son passage au MIDEM de Cannes. La renommée d'Hélène est telle qu'AB Productions lance la carrière d'Anthony Dupray avec un titre qui lui est consacré, Autour de toi, Hélène.

    Elle monte sur scène, pour la première fois en vedette, au Zénith de Paris pour sept représentations et en tournée en France du  au . Elle y interprète les plus grands succès de ses deux premiers albums et la quasi-totalité de son nouvel et troisième album. Elle y reprend également le titre Dona dona, qu'elle chante aussi en duo avec Dorothée dans une émission de l'animatrice. La vidéo du concert sort début 1994.

    En , Hélène Rollès est nommée aux Victoires de la musique dans la catégorie révélation de l'année. Elle fait la une du journal anglais Sunday Times qui l'a rebaptisée « The New Bardot » et les éditions Montjoie publient la biographie Je m'appelle Hélène, auquel a collaboré Jacques Pessis. Son fan-club officiel est créé la même année et un important merchandising est alors créé à l'effigie de la chanteuse (pin's, tee-shirts, cartes postales, fanzine…).

    Les nombreuses émissions de Dorothée auxquelles elle participe régulièrement la font bénéficier d'une grande exposition. Outre ses passages répétés au Club Dorothée, elle apparaît aussi dans les émissions spéciales de l'animatrice (Le Cadeau de la rentréeDorothée Rock'n'roll ShowClub PlusLe Noël de l'amitié, Les Clubs d'or, Les Super Club Dorothée, Le Cyber Club Dorothée...). En , le magazine Envoyé Spécial sur France 2 consacre un reportage à son incroyable succès. Elle participe à l'opération « Pièces jaunes » et devient marraine de la SPA à Noël 1994. La série fait l'objet d'un livre, toujours aux Éditions Montjoie, Hélène et les garçons, la saga, qui sort au printemps 1994.

    À l'automne 1994, Hélène sort son 4e album, Le Miracle de l'amour (en partie enregistré aux États-Unis, à Nashville) qui se vend à 350 000 exemplaires. Même si l'album est un succès, aucun des trois singles extraits (Le Miracle de l'amourMoi aussi, je vous aime et Imagine) n'arrivera à s'imposer véritablement. La vidéo des clips est, comme les années précédentes, commercialisée après la sortie de l'album.

    Hélène et les Garçons s'interrompt fin 1994 pour laisser place à une suite, Le Miracle de l'amour, lancée en  sur TF1. Cette nouvelle sitcom AB met en scène Hélène Girard et ses amis, qui habitent désormais en communauté dans une grande maison. Même si la série ne rencontre pas le même succès que la précédente, elle réunit tout de même autour de 4 millions de téléspectateurs chaque soir.

    Le succès d'Hélène Rollès sur scène ne se dément pas, puisqu'elle se produit à Bercy en  le temps de six concerts complets, un spectacle dans lequel elle est vêtue d'un costume de métal dessiné par Paco Rabanne. Son entrée sur scène se fait sur le haut d'une immense guitare inclinée vers le public. S'ensuit une tournée du  au , en France, Belgique, Suisse et même en Norvège, à Bergen, pays dans lequel elle devient célèbre et où elle obtient également un disque d'or pour Je m'appelle Hélène. Lors de sa prestation sur scène en Belgique en 1995, elle est entartée par le célèbre entarteur de personnalités Noël Godin.

    Les premiers signes de fatigue se font sentir lorsqu'Hélène Rollès s'évanouit sur scène pendant son premier concert à Bercy, en 1995. Après cette seconde tournée, elle décide donc de prendre du recul sur sa carrière. Son personnage disparaît progressivement du Miracle de l'amour et n'est pas présent au début des Vacances de l'amour, nouvelle émanation d'Hélène et les Garçons.

  • L’acteur et scénariste Jean-Pierre Bacri est mort d'un cancer à l’âge de 69 ans L'homme, plusieurs fois primé, figure du théâtre et du cinéma français, occupait une place de choix auprès du public.

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    L’acteur et scénariste Jean-Pierre Bacri est mort d'un cancer à l’âge de 69 ans

    L'homme, plusieurs fois primé, figure du théâtre et du cinéma français, occupait une place de choix auprès du public.

    L'acteur, auteur et scénariste Jean-Pierre Bacri est mort lundi 18 janvier d'un cancer, annonce son agente, Anne Alvares-Correa à l'AFP. Il était âgé de 69 ans. L'homme, plusieurs fois primé, figure du théâtre et du cinéma français, occupait une place de choix auprès du public pour ses rôles d'anti-héros râleurs et désabusés mais profondément humains.

    Césarisé cinq fois

     

    Il avait ainsi reçu cinq César, quatre fois le trophée du meilleur scénario avec son ex-compagne Agnès Jaoui (pour Smoking/No SmokingUn air de familleOn connaît la chanson et Le Goût des autres) et une fois celui du meilleur acteur dans un second rôle pour On connaît la chanson. Il a été nommé six fois pour le César du meilleur acteur (pour Kennedy et moiLe Goût des autresLes SentimentsCherchez HortenseLa Vie très privée de Monsieur Sim et Le Sens de la fête).


    Parfois catalogué comme l'acteur d'un seul rôle, celui de l'éternel bougon, il détestait pourtant qu'on lui colle "cette étiquette" : "Je ne joue pas toujours des personnages râleurs !", s'était emporté l'acteur auprès de l'AFP en 2015.
    Pour Bacri, qui n'aimait pas les héros et "ne cro(yait) pas aux types éclatants de bonheur""traquer le vécu, la sobriété, la pudeur" et "refuser la tricherie" étaient une profession de foi.

    Contre toute chapelle

    Dans les rôles qu'il choisissait, ou ceux qu'il écrivait avec Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri pourfendait le sectarisme culturel, le conformisme, les chapelles, la servilité...
    C'est son père qui lui avait transmis cette morale, lors de son enfance à Castiglione (Algérie), où il naît en mai 1951. Facteur, il travaillait le week-end dans le cinéma de la ville et avait fait découvrir le 7e Art à son fils.

     


    En 1962, la famille émigre à Cannes, où Jean-Pierre Bacri entreprend des études de lettres. Quand il monte à Paris et pousse la porte d'un cours d'art dramatique, c'est d'abord l'écriture qui l'intéresse. En 1977, il écrit sa première pièce, Tout simplement, vite suivie de trois autres. Parallèlement, Jean-Pierre Bacri décroche de petits rôles à la télévision et sur les planches. En 1982, son personnage de proxénète dans Le Grand Pardon d'Alexandre Arcady le fait connaître du grand public. Deux ans plus tard, il est nommé aux César comme meilleur acteur dans un second rôle pour son personnage de flic dépassé et taciturne dans Subway de Luc Besson.

     

    Les "Jacri"

    Mais son talent n'éclate vraiment qu'au côté d'Agnès Jaoui qu'il rencontre en 1987 au théâtre dans L'anniversaire de Pinter. Très vite, les "Jacri" - comme les surnommait Resnais - mettent en commun leur humour acide et leur don d'observation pour écrire à quatre mains. Leur première pièce, Cuisine et dépendances (1992) est un succès vite adapté au cinéma, tout comme Un air de famille (1996).

     


    Alain Resnais fait appel à eux pour les scenarii de Smoking/NoSmoking (1993) et On connaît la chanson (1997). Puis Agnès Jaoui passe derrière la caméra pour Le goût des autres (2000).

     

    "Droit à la paresse"

    Ces dernières années, l'acteur tournait moins, se limitant à deux films par an et revendiquant son droit à la paresse. En 2017, il avait également joué dans Grand froid de Gérard Pautonnier et Santa et Cie d'Alain Chabat.

     

    Et dans Le Sens de la fête d'Olivier Nakache et Eric Toledano, il est irrésistible dans le rôle de Max, organisateur d'un mariage où rien ne se déroule comme prévu, un rôle d'éternel bougon taillé sur mesure. Parmi ses tout derniers films, Place publique, d'Agnès Jaoui, en 2018.

     

  • L’acteur et scénariste Jean-Pierre Bacri est mort d'un cancer à l’âge de 69 ans L'homme, plusieurs fois primé, figure du théâtre et du cinéma français, occupait une place de choix auprès du public.

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    L’acteur et scénariste Jean-Pierre Bacri est mort d'un cancer à l’âge de 69 ans

    L'homme, plusieurs fois primé, figure du théâtre et du cinéma français, occupait une place de choix auprès du public.

    L'acteur, auteur et scénariste Jean-Pierre Bacri est mort lundi 18 janvier d'un cancer, annonce son agente, Anne Alvares-Correa à l'AFP. Il était âgé de 69 ans. L'homme, plusieurs fois primé, figure du théâtre et du cinéma français, occupait une place de choix auprès du public pour ses rôles d'anti-héros râleurs et désabusés mais profondément humains.

    Césarisé cinq fois

     

    Il avait ainsi reçu cinq César, quatre fois le trophée du meilleur scénario avec son ex-compagne Agnès Jaoui (pour Smoking/No SmokingUn air de familleOn connaît la chanson et Le Goût des autres) et une fois celui du meilleur acteur dans un second rôle pour On connaît la chanson. Il a été nommé six fois pour le César du meilleur acteur (pour Kennedy et moiLe Goût des autresLes SentimentsCherchez HortenseLa Vie très privée de Monsieur Sim et Le Sens de la fête).


    Parfois catalogué comme l'acteur d'un seul rôle, celui de l'éternel bougon, il détestait pourtant qu'on lui colle "cette étiquette" : "Je ne joue pas toujours des personnages râleurs !", s'était emporté l'acteur auprès de l'AFP en 2015.
    Pour Bacri, qui n'aimait pas les héros et "ne cro(yait) pas aux types éclatants de bonheur""traquer le vécu, la sobriété, la pudeur" et "refuser la tricherie" étaient une profession de foi.

    Contre toute chapelle

    Dans les rôles qu'il choisissait, ou ceux qu'il écrivait avec Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri pourfendait le sectarisme culturel, le conformisme, les chapelles, la servilité...
    C'est son père qui lui avait transmis cette morale, lors de son enfance à Castiglione (Algérie), où il naît en mai 1951. Facteur, il travaillait le week-end dans le cinéma de la ville et avait fait découvrir le 7e Art à son fils.

     


    En 1962, la famille émigre à Cannes, où Jean-Pierre Bacri entreprend des études de lettres. Quand il monte à Paris et pousse la porte d'un cours d'art dramatique, c'est d'abord l'écriture qui l'intéresse. En 1977, il écrit sa première pièce, Tout simplement, vite suivie de trois autres. Parallèlement, Jean-Pierre Bacri décroche de petits rôles à la télévision et sur les planches. En 1982, son personnage de proxénète dans Le Grand Pardon d'Alexandre Arcady le fait connaître du grand public. Deux ans plus tard, il est nommé aux César comme meilleur acteur dans un second rôle pour son personnage de flic dépassé et taciturne dans Subway de Luc Besson.

     

    Les "Jacri"

    Mais son talent n'éclate vraiment qu'au côté d'Agnès Jaoui qu'il rencontre en 1987 au théâtre dans L'anniversaire de Pinter. Très vite, les "Jacri" - comme les surnommait Resnais - mettent en commun leur humour acide et leur don d'observation pour écrire à quatre mains. Leur première pièce, Cuisine et dépendances (1992) est un succès vite adapté au cinéma, tout comme Un air de famille (1996).

     


    Alain Resnais fait appel à eux pour les scenarii de Smoking/NoSmoking (1993) et On connaît la chanson (1997). Puis Agnès Jaoui passe derrière la caméra pour Le goût des autres (2000).

     

    "Droit à la paresse"

    Ces dernières années, l'acteur tournait moins, se limitant à deux films par an et revendiquant son droit à la paresse. En 2017, il avait également joué dans Grand froid de Gérard Pautonnier et Santa et Cie d'Alain Chabat.

     

    Et dans Le Sens de la fête d'Olivier Nakache et Eric Toledano, il est irrésistible dans le rôle de Max, organisateur d'un mariage où rien ne se déroule comme prévu, un rôle d'éternel bougon taillé sur mesure. Parmi ses tout derniers films, Place publique, d'Agnès Jaoui, en 2018.

     

  • La députée et ancienne ministre Marielle de Sarnez Est Morte D'Une Leucémie, figure du MoDem; elle est morte à l'âge de 69 ans

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    La députée et ancienne ministre Marielle de Sarnez Est Morte D'Une Leucémie, figure du MoDem; elle est morte à l'âge de 69 ans

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    La députée et ancienne ministre Marielle de Sarnez, figure du MoDem, est morte à l'âge de 69 ans

    Marielle de Sarnez a été le bras droit de François Bayrou et la première vice-présidente du MoDem. Elle présidait la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.

    Marielle de Sarnez, députée et ancienne ministre chargée des Affaires européennes, est morte à l'âge de 69 ans, a annoncé mercredi 13 janvier François Bayrou"Voici le jour en trop. Marielle, si talentueuse et si courageuse, (...) vient de partir. Notre chagrin est immense", a tweeté le président du MoDem.

    Marielle de Sarnez, députée et ancienne ministre chargée des Affaires européennes, est morte à l'âge de 69 ans, a annoncé mercredi 13 janvier François Bayrou"Voici le jour en trop. Marielle, si talentueuse et si courageuse, (...) vient de partir. Notre chagrin est immense", a tweeté le président du MoDem.

    L'éphémère ancienne ministre des Affaires européennes, qui souffrait d'une leucémie, est morte à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière. Elle a joué un rôle essentiel dans la définition d'un MoDem affranchi du clivage droite-gauche. Elle a été le bras droit de François Bayrou et la première vice-présidente du MoDem. En 2007 et 2012, elle a été la directrice de campagne de François Bayrou. 

    Silhouette longiligne, cheveux blonds, allure décontractée chic - veste, jean et baskets - Marielle de Sarnez a partagé sa vie politique entre Paris et l'Europe. Elue municipale dans la capitale, après avoir fait alliance avec Nathalie Kosciusko-Morizet, elle est aussi députée européenne de 1999 à 2017 et exerce la fonction de secrétaire générale du Parti démocrate européen. 

    L'alter ego de François Bayrou

    Sa nomination en mai 2017 dans le premier gouvernement d'Edouard Philippe comme ministre des affaires européennes aurait dû être le couronnement de sa carrière. Mais elle ne restera en poste qu'un mois et quatre jours. L'ouverture en juin suivant d'une enquête préliminaire du parquet dans l'affaire des emplois présumés fictifs des assistants des députés européens du parti centriste la conduit à démissionner tout comme François Bayrou, éphémère ministre de la Justice.

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    Investie dans la foulée aux législatives par LREM, elle est élue députée de Paris (11e circonscription) et prend la présidence de la prestigieuse commission des Affaires étrangères de l'Assemblée. En décembre 2019, Mme de Sarnez a été mise en examen comme eurodéputée pour "détournement de fonds publics", pour avoir utilisé son ancienne assistante Karine Aouadj à des tâches personnelles bien qu'elle fut rémunérée sur des fonds européens.

    Reconduite en décembre 2020 à la fonction de 1ere vice-présidente du MoDem, elle n'était jamais très loin de son président François Bayrou, et formait avec lui un couple politique assez singulier. "Marielle, c'est mon alter ego. Elle est la personne de ma vie politique dans le jugement de laquelle j'ai le plus confiance. Sa boussole est juste à 95%", disait d'elle en 2017 celui devenu depuis Haut-commissaire au Plan.

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  • “J’ai tout donné à la macronie” : déçue de ne pas être ministre, Aurore Bergé a couru en pleurs dans le parc de Matignon

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    “J’ai tout donné à la macronie” : déçue de ne pas être ministre, Aurore Bergé a couru en pleurs dans le parc de Matignon

    La députée LREM aurait mal vécu, le 6 juillet dernier, de ne pas être nommée au gouvernement.

    En convolant d’une famille politique à l’autre, Aurore Bergé espérait probablement satisfaire à ses hautes ambitions. À tout le moins, elle s’imaginait ministre sous la macronie, en atteste l’anecdote rapportée par Le Point, ce jeudi 30 juillet.

    « Elle est partie en courant »

    Le 6 juillet, les parlementaires de la majorité sont invités à un pot d’arrivée, à Matignon, du nouveau locataire des lieux, Jean Castex. Aurore Bergé, présente, est « stupéfaite de ne pas avoir été nommée ministre de plein exercice lors du remaniement », explique l’hebdomadaire. Ce jour-là, le Premier ministre vient à peine de dévoiler les noms de ceux qu’Emmanuel Macron et lui-même ont choisis pour la fin du quinquennat. Alors, déçue de ne pas en être, l’élue de 33 ans « craque », explique Le Point.

    Un participant à l’événement raconte la scène : « C'était lunaire ! Elle est partie en courant dans le parc et en est revenue peu après avec les yeux encore rougis. On l'entendait dire tout haut : ‘J’ai tout donné à la Macronie !’ » Cet indiscret du Point fait écho à un autre, celui-ci de L’Opinion : Aurore Bergé, qui n’a même pas obtenu un secrétariat d’État dans la nouvelle équipe gouvernementale, « insupporte en haut lieu », explique le journal. En cause, notamment, « sa façon de survaloriser les attaques dont elle fait l’objet ».

    Aurore Bergé dément

    « Je vous remercie pour votre intérêt particulièrement marqué concernant mon activité lacrymale supposée (et fantasmée). En attendant, je préfère être en séance à l'Assemblée nationale afin que nous puissions voter la PMA pour toutes », a-t-elle réagi, jeudi, sur Twitter, à l'information dévoilée par Le Point.

    Je vous remercie pour votre intérêt particulièrement marqué concernant mon activité lacrymale supposée (et fantasmée).

    En attendant, je préfère être en séance à l'assemblée nationale afin que nous puissions voter la #PMApourToutes. Ça me paraît plus important.

    Lien permanent Catégories : Anne Hidalgo, Association, Aurore Bergé, Blog, Décès - Mort - Hommage, Elections, Europe - (Union Européenne), Fait-Divers, Gabriel Attal, Gay & Lesbien, Gérald Darmanin, Homophobie, Homosexualité, Jeux, Journalisme, La République En Marche (LaREM), Législatives, Livre, Loisirs, Mouvement Démocrates (MoDem), Municipales, Musique, People, Photos, Pôle Emploi, Politique, Premier Ministre, Présidentielle, Presse, Réformes, Réseaux Sociaux - Internet - WebMaster, Santé, Science, Shopping, Sida -Aids, Sport, Vinyle Is Back, Voyage, Web 0 commentaire
  • Lâché par une députée LREM, Macron perd sa majorité absolue à l'Assemblée

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    Lâché par une députée LREM, Macron perd sa majorité absolue à l'Assemblée

    L’élue a voulu “dénoncer le fonctionnement du mouvement” présidentiel tout en restant dans la majorité. 

    LREM s’affaiblit de jour en jour. Alors qu’un nouveau groupe s’est formé à l’Assemblée nationale au début de l’été, composé principalement d’anciens députés macronistes, les défections continuent de se multiplier au sein du parti présidentiel. Ce samedi 29 août, c’est la députée Michèle Crouzet qui a choisi d’adhérer au MoDem, alors qu’elle était initialement affiliée à LREM, rapporte Le Figaro. L’élue avait déjà quitté le parti d’Emmanuel Macron en 2019 mais était restée apparentée au groupe marcheur à l’Assemblée nationale. Elle siégera désormais aux côtés du parti de François Bayrou. 

    « Je ne suis pas une frondeuse » 

    Ainsi Michèle Crouzet semble avoir répondu favorablement à l’appel du président du groupe MoDem à l’Assemblée, Patrick Mignola. « Si demain des parlementaires d’autres groupes que le MoDem veulent nous rejoindre, on les accueillera à bras ouverts. Mon groupe a vocation à s’élargir pour élargir la majorité », avait-il confié au Figaro début août. De son côté, Michèle Crouzet assure qu’avec ce choix, elle « reste fidèle à [ses] convictions politiques »« Je ne suis pas une frondeuse, je ne suis pas contre le président de la République. Je dénonce le fonctionnement du mouvement LREM et je veux travailler dans de bonnes conditions », insiste la députée auprès du quotidien. Elle est la 35e députée à quitter le groupe LREM à l’Assemblée nationale depuis le début de la législature. 

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    Cette défection vers l’allié du MoDem irrite d’ailleurs tout particulièrement les Marcheurs. « Le débat est normal et salutaire, mais en refusant toujours les querelles de partis ou la condescendance d’apparence », avait ainsi déclaré Christophe Castaner début août. François de Rugy avait, lui, invité le MoDem à ne pas « oublier le respect mutuel »« Cette main tendue en plaine ambiguïté estivale est malvenue. Au mieux, c’est complètement inutile, au pire ça brouille l’image de la majorité », avait de son côté réagi le député LREM Bruno Bonnell auprès du Figaro

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  • Pour Jean-Michel Aphatie, la robe d'Aurore Bergé à Salut Les Terriens n'était pas "très adaptée"

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    Pour Jean-Michel Aphatie, la robe d'Aurore Bergé à SLT n'était pas "très adaptée"

    Aurore Bergé sur le plateau de "C à vous" lundi.France 5

    Après son passage sur le plateau de «Salut Les Terriens» samedi, Aurore Bergé a subi de nombreuses remarques sexistes sur les réseaux sociaux. Lundi, c'est Jean-Michel Aphatie qui a fait remarquer à la députée LREM à «C à vous» que sa tenue de samedi n'était «peut-être pas très adaptée» à un plateau télé. 

    La députée LREM Aurore Bergé a beaucoup fait parler d'elle après son passage à «Salut les Terriens» samedi. Non pas pour son discours ou ses idées, mais parce que de nombreux internautes ont jugé que sa robe était trop courte. Face à un flot de remarques sexistes sur sa tenue vestimentaire, la porte parole du groupe La République en Marche à l'Assemblée avait réagi sur Twitter. «Alors vous savez quoi ? Je n'ai pas à être jugée sur la longueur de ma robe. Ni moi, ni aucune femme. Je n'ai pas à subir d'insultes, de harcèlement ou pire, en raison d'une robe. Ni moi, ni aucune femme. Rien ne justifie ou n'excuse cela», avait-elle écrit. Lundi, sur le plateau de «C à vous», la politique a évoqué une nouvelle fois l'incident. «J'ai choisi de mettre une robe sur un précédent plateau et je ne pensais pas que la longueur de ma robe allait être un débat (...) Je me dis que j'aimerais pas être dans la tête de celles et ceux qui passent leur temps à commenter la vie des autres et qui prennent beaucoup de temps pour ça», a-t-elle dit avant de se déclarer surprise «qu'en 2018, une femme soit encore jugée par rapport à la tenue qu'elle porte plutôt que par rapport aux propos qu'elle tient».

     

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    "On s'habille en fonction du lieu où l'on va" estime Jean-Michel Aphatie

     
     

    Face à elle, Jean-Michel Aphatie a lui estimé que toute personne doit adapter sa tenue aux circonstances. «Mettons de côté les insultes, bien sûr rien ne les justifie, "On s'habille comme on veut". Pas tout à fait. On s'habille en fonction du lieu où l'on va. Quand on va à un enterrement, on réfléchit à comment on s'habille. De la même manière quand on va à la télévision, on ne vient pas en t-shirt par exemple (...) La manière dont on s'habille, pour une femme comme pour un homme, peut être un parasite par rapport au discours, au propos que l'on tient. Peut-être que votre tenue, pour le dire clairement, n'est pas très adaptée à une prise de parole politique qui a toujours un peu de solennité au fond».

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    «Je ne suis pas à l'Assemblée nationale, je suis sur un plateau de télévision, ça n'est pas exactement la même chose», a rétorqué Aurore Bergé. «Je réclame que les femmes aient le droit de s'habiller comme elles veulent qu'elles soient députées, qu'elles soient salariées du privé, du public, fonctionnaires, retraitées, peu importe, elles s'habillent comme elles veulent, a-t-elle fait valoir avant de conclure : Ce n'est pas parce que je suis une femme et que je suis députée par ailleurs que je n'ai pas le droit de choisir la robe que je vais mettre ou si je ne mets pas une robe».

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  • Cannabis thérapeutique : une association interpelle Dupond-Moretti

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    © Dolph CANTRIJN / HOLLANDSE HOOGTE L’expérimentation du cannabis thérapeutique en France est au point mort.

    Cannabis thérapeutique : une association interpelle Dupond-Moretti

    L'association L630, spécialisée dans le droit des drogues, demande au nouveau ministre de la Justice la fin des poursuites pour les patients consommateurs de cannabis.

    Alors que les travaux de la mission d’information menée à l’Assemblée nationale autour du cannabis vient d’achever le chapitre consacré à l’usage thérapeutique, une lettre demandant la fin des poursuites concernant les consommateurs de cannabis atteints de pathologies graves ou lourdes vient d’atterrir sur le bureau du nouveau garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti. Déposée par l’association L630, spécialisée dans le droit des drogues et connue pour proposer une aide juridique aux personnes poursuivies, la missive entend mettre en avant la question de la dignité des malades. «Nous travaillons depuis de nombreuses années sur les politiques publiques des drogues. Nous avons l’occasion, chaque jour, de défendre de nombreux usagers et de rappeler devant des juridictions diverses le caractère incompréhensible de la prohibition actuelle. Nous constatons pourtant que les malades qui consomment du cannabis pour pallier leurs douleurs continuent d’être condamnés, peut-on lire dans la lettre. Il en va de même pour leurs aidants et proches qui prennent aujourd’hui un risque pénal inconsidéré.»

    Lors de la passation de pouvoir, mardi place Vendôme, le nouveau garde des Sceaux déclarait que son ministère serait celui des droits de l’homme. Une occasion à saisir pour les défenseurs du cannabis médical. «Il ne s’agit pas d’un sujet de santé mais bien de dignité humaine, explique Béchir Bouderbala, membre fondateur de L630. Il y a dans ce chemin vers la dignité des produits qui ne sont peut-être pas conseillés par l’Etat ni autorisés, mais qui sont les éléments constitutifs du bien vivre de nombreux malades. Il faut que l’Etat arrête de condamner ces personnes qui souffrent.» Leur proposition : la mise en place d’une circulaire mettant un terme aux poursuites lorsque les consommateurs de cannabis sont atteints de pathologies graves ou lourdes et qu’un médecin atteste de l’intérêt thérapeutique de leur consommation. «Nous avons reçu des appuis des députés, aussi bien de la majorité que de l’opposition, qui soutiennent cette proposition et considèrent qu’il n’est plus possible de continuer à pénaliser des usagers médicaux», indique Bouderbala. 

    «Blocage politique»

    Cette initiative intervient alors que l’expérimentation du cannabis thérapeutique en France est au point mort. Pilotée par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), elle a pour but d’évaluer la faisabilité d’une politique publique de distribution de cannabis à des fins thérapeutiques. En octobre 2019, l’Assemblée nationale donnait son feu vert à l’amendement défendu à l’époque par le rapporteur Olivier Véran, aujourd’hui ministre de la Santé, qui autorisait pour deux ans la tenue de cette expérimentation concernant 3 000 patients français. Une phase de test qui vise les personnes souffrant de certaines formes d’épilepsies, de douleurs neuropathiques, d’effets secondaires de chimiothérapie, de soins palliatifs ou encore de spasticité musculaire due à la sclérose en plaques. Bousculée par la crise sanitaire liée à l’épidémie de covid-19, l’expérimentation a finalement été reportée à janvier 2021 et le décret se fait attendre. Pour Mado Gilanton, présidente de l’association Apaiser S&C et victime de syringomyélie, une malformation de Chiari de type 1 qui touche la moelle épinière et le cervelet, «on est dans un blocage politique et technocratique, alors que la décision a été prise à l’unanimité au Parlement. En attendant, les patients continuent de souffrir et d’être menacés.»

    En matière pénale, la qualification des usages du cannabis ne diffère pas. Le ministère de la Justice ne distingue pas les usagers en général des patients malades qui consomment. Les associations militent pour une adaptation de la politique pénale au contexte d’un usage thérapeutique du cannabis qui n’est plus à prouver dans le traitement des douleurs. Depuis la loi du 31 décembre 1970, l’usage de stupéfiants, y compris de cannabis, est puni d’un emprisonnement d’un an et de 3 750 euros d’amende. Une procédure d’amende forfaitaire délictuelle prévue par l’article 58, I., 3 de la loi du 23 mars 2019 pourra permettre sous certaines circonstances, de substituer à cette peine une amende de 200 euros. 

    Marché parallèle

    Mado Gilanton évoque le cas d’un patient épileptique de 42 ans, récemment poursuivi par la justice : «Il m’a contacté car il cherchait un avocat. Grâce à ses propres plants, il avait réussi à stabiliser son traitement et il n’en cultivait que pour lui. Le cannabis lui permettait de travailler et de diminuer les médicaments antiépileptiques graves, explique-t-elle. Il a été dénoncé par un voisin. Tout a été détruit et ses médicaments ont été saisis.» Pour Jean-Pierre Couteron, psychologue clinicien et ancien président de la Fédération addiction, «une prohibition absolue telle qu’on le voit autour du cannabis ne permet pas d’atteindre un objectif efficace, alors qu’on voit de plus en plus émerger l’idée selon laquelle il ne faut pas se priver des usages bénéfiques du cannabis. Les plus hautes autorités de santé du pays ont déterminé cinq familles de pathologies qui pourront bénéficier de l’expérimentation. Mais elle ne débute pas et en attendant, ceux qui pourraient en bénéficier continuent d’être susceptibles d’être interpellés et de devoir acheter via le marché parallèle.» A ce jour, dix-sept pays de l’Union européenne, tels que l’Allemagne ou l’Italie, autorisent le cannabis médical sous différentes formes.

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