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Europe - (Union Européenne) - Page 2

  • Patrick Juvet est mort à l'âge de 70 ans "Ou Sont Les Femmes ?"... Il Y Aura Une Autopsie Pour Déterminer Les Causes Du Décès !

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    Patrick Juvet, connu pour son tube "Où sont les femmes ?", est mort à l'âge de 70 ans

    Son agent Yann Ydoux l'a annoncé à l'AFP jeudi. Le corps de l'artiste a été retrouvé dans un appartement à Barcelone. 

    Le chanteur suisse Patrick Juvet, devenu célèbre dans les années 1970 pour son tube disco "Où sont les femmes ?", est mort à l'âge de 70 ans, a annoncé à l'AFP jeudi 1er avril son agent, Yann Ydoux. Le corps de l'artiste a été retrouvé dans un appartement à Barcelone. Les causes du décès ne sont pas encore établies. "Il y aura une autopsie, je l'avais eu au téléphone il y a trois jours, je l'avais trouvé bien", a expliqué Yann Ydoux. 

  • "Stopper Amazon avant qu’il ne soit trop tard" : l'appel de plus d'une centaine d'ONG, de syndicalistes, de citoyens et d'élus

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    Entrepôt Amazon à Osterweddingen (Allemagne), en septembre 2020 (PICTURE ALLIANCE VIA GETTY IMAGES)

    "Stopper Amazon avant qu’il ne soit trop tard" : l'appel de plus d'une centaine d'ONG, de syndicalistes, de citoyens et d'élus

    Les 120 signataires de la tribune que publie franceinfo font le constat d'une "crise sans précédent qui a une nouvelle fois révélé les profondes inégalités de notre société". Ils demandent l'instauration d'une taxe exceptionnelle sur le chiffre d’affaires d’Amazon.

    Radio France

    Pour eux, Amazon apparaît comme "le grand gagnant de la crise" du Covid-19 et du confinement. Pendant que "les premiers de corvées risquent leurs vies au quotidien" et alors que "des dizaines de milliers de personnes ont perdu ou vont perdre leur emploi, et qu'un million de personnes supplémentaires sont passées sous le seuil de pauvreté en France", le géant du e-commerce a vu ses ventes "exploser" en 2020, et la fortune de son PDG Jeff Bezos dépasser les 200 milliards de dollars. Les premiers signataires de la tribune publiée par franceinfo, lundi 16 novembre, sont des responsables de la CGT, FSU, Attac, Greenpeace, Agir pour l'environnement, Confédération paysanne, Amis de la Terre, mais aussi des libraires ou des éditeurs, des maires, députés, sénateurs ou conseillers municipaux FI, PCF, EELV, PS. Ils appellent à "stopper Amazon". "La crise du Covid devrait nous servir à repenser en profondeur nos modes de consommation et de vie sociale, pas à nous enfoncer dans un monde de surconsommation prédateur", écrivent-ils.



    Nous affrontons une crise sans précédent qui a une nouvelle fois révélé les profondes inégalités de notre société. Les "premiers de corvées", très majoritairement des femmes, risquent leurs vies au quotidien, des dizaines de milliers de personnes ont perdu ou vont perdre leur emploi et un million de personnes supplémentaires sont passées sous le seuil de pauvreté en France.

    Mais tout le monde n’est pas affecté de la même manière. Amazon, le géant du e-commerce, apparaît comme le grand gagnant de la crise. Depuis le début de l’année 2020, ses ventes ont explosé et la fortune de Jeff Bezos a dépassé les 200 milliards de dollars.

    "Des gens cloîtrés chez eux, qui commandent nourriture, vêtements ou produits électroniques sur le site d’Amazon, regardent Amazon Video ou écoutent Amazon Music, c’est la situation rêvée pour Jeff Bezos."

    Les signataires de la tribune 

    à franceinfo

    Et tant pis si cela se fait au prix de 20 000 salariés contaminés par le Covid, d’une explosion du nombre de produits importés, du recours à des modes de transports polluants qui se conjuguent à des dérogations au temps de conduite des chauffeurs routiers prises par décret, de la destruction de milliers d’emplois dans les commerces de proximité, d’une évasion fiscale massive, ou de l’artificialisation des terres pour construire 19 nouveaux entrepôts en France.

    Ce développement accéléré se fait aux dépens des engagements climatiques de notre pays. En permettant de tout acheter "en un clic", Amazon favorise en réalité la multiplication d'achats superflus et suremballés, consommateurs de ressources et émetteurs de CO2.

    Dans le même temps chez Amazon, les revendications salariales sont balayées d’un revers de main, les demandes de primes exceptionnelles liées à l’augmentation de l’activité sont refusées (alors qu’elles existaient lors du premier confinement), tout comme le maintien du salaire pour celles et ceux qui doivent être confinés.

    "Un monde d’après pire qu’avant"

    Avec le second confinement et la fermeture de nombreux petits commerces, Amazon se frotte une nouvelle fois les mains. Pire, Emmanuel Macron lui déroule le tapis rouge ! Non seulement il se refuse à stopper les projets en cours d’entrepôts, centres de tri et agences de livraison, mais il a décidé d’interdire à tout le monde de vendre des produits non essentiels sauf... aux géants de la vente en ligne !

    En faisant ce choix, le président dessine un monde d’après pire qu’avant. Celui d’un capitalisme sécuritaire dominé par les GAFA, ces géants du e-commerce et de la vie numérique. Celui d’une multinationale en train d’asseoir son monopole dans la vente de milliards de produits en détruisant la vie sociale locale, une multinationale qui détruit 4,5 emplois lorsqu’elle en crée un, qui remplace progressivement ses salariés par des robots et qui a recours à des milliers de travailleurs précaires pour livrer ses produits. Conscients de ces dangers, les membres de la Convention citoyenne pour le climat ont proposé un moratoire sur la construction de nouvelles surfaces commerciales, mais Emmanuel Macron et son gouvernement font tout pour que les entrepôts de e-commerce en soient exclus.

    Les faveurs accordées par le Président au géant de Seattle ne sont pas nouvelles mais, avec la crise et le confinement, Amazon menace la survie même de l’ensemble du secteur du commerce. 

    "Si elle n’est pas stoppée, l’expansion d’Amazon pourrait conduire au doublement de sa part de marché et provoquer la destruction de 100 000 emplois partout en France."

    Les signataires de la tribune 

    à franceinfo

    Elle se traduirait également par la distribution de 2 milliards de produits supplémentaires par an et nous enfoncerait encore plus dans le chaos climatique.

    La crise du Covid devrait nous servir à repenser en profondeur nos modes de consommation et de vie sociale, pas à nous enfoncer dans un monde de surconsommation prédateur. D’où l’importance d’un moratoire pour nous permettre de réfléchir à des alternatives en matière d’emploi et de développement de la vie locale compatibles avec les enjeux climatiques et sanitaires. Le vote de la "loi CCC" (Convention citoyenne pour le climat) est la dernière opportunité pour stopper cette expansion avant que les dégâts ne soient irréversibles.

    Pour faire face à l’urgence, une taxe exceptionnelle sur le chiffre d’affaires d’Amazon et des autres profiteurs de la crise est également indispensable. Elle permettrait dans l’immédiat de financer les mesures de préservation de l’emploi et le fonds de solidarité pour les commerces de proximité.

    La fronde qui monte partout en France doit encore s’amplifier, car le monde rêvé par Amazon est en totale contradiction avec la profonde aspiration à des vies décentes sur une planète vivable. C’est la raison pour laquelle nous nous mobiliserons d’ici au 27 novembre prochain, date du “Black Friday”, pour montrer l’urgence de stopper l’expansion du géant du e-commerce avant qu’il ne soit trop tard.


    Les signataires

    Angaut Jean-Christophe, philosophe et traducteur, Aubry Manon, députée européenne, Autain Clémentine, députée LFI de Seine-Saint-Denis, Azam Geneviève, essayiste, Baujard Jacques et Giacomoni Fred, librairie Quilombo à Paris, Bayou Julien, secrétaire national d'EELV, Benbassa Esther, sénatrice écologiste de Paris, Benguigui Pia, présidente du Réseau français des étudiants pour le développement durable (Refedd), Bernalicis Ugo, député LFI du Nord, Blanchard Luc, adjoint à la mairie du Meux (60), trésorier régionale d'EELV Picardie , Bompard Manuel, député européen (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Bruneel Alain, député Gauche démocrate et républicaine du Nord, Bossuyt Arnaud, documentaliste, Snac-FSU, Bousquet Alain, économiste, Caillaud Mathieu, conseiller municipale délégué LFI Saint-André-de-Cubzac (33), Bénéteau Chloë, librairie Floury Frères, Toulouse, Camboulives Bernard, collectif En commun pour Belfort, Cervantes Descubes Evelyne, Conseillère municipale à la mairie de Bordeaux, Casenave-Camgaston Alexandra, librairie des Editeurs associés, Cassen Bernard, ancien directeur général du "Monde diplomatique", Chaibi Leïla, députée européenne (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Chamoux Émilie, conseillère municipale d'opposition, Nevers (58), Chaineaud Christel, ingénieur d'études et docteur en histoire du droit, Chassaigne André, président du groupe Gauche démocrate et républicaine, député du Puy-de-Dôme, Chauche Florian, conseiller municipal à Belfort, Clinckemaillie Dominique, conseillère municipale EELV à Beauvais (60), Chauvin-Degenne Vanessa, scénariste et réalisatrice, De Poorter Jacqueline, conseillère municipale à Gentelles (80), Coubard Etienne, porte-parole d'ANV-COP21, Damasio Alain, écrivain, Dharréville Pierre, député Gauche démocrate et républicaine des Bouches-du-Rhône, de Ronne Luc, président d'ActionAid France, Deltombe Camille, éditrice aux Editions de l'Atelier, Deltour Antoine, lanceur d'alerte LuxLeaks, Dossus Thomas, sénateur EELV du Rhône, Dubois Clémence, responsable France pour 350.org, Dufrègne Jean-Paul, député Gauche démocrate et républicaine de l’Allier, Duteil Simon, co-délégué de l'Union syndicale Solidaires, Etcheverria Magali, Bizi !, Faburel Guillaume, géographe, université Lyon 2, Ferrari Sylvie, maître de conférences en économie, Fiat Caroline, députée LFI de Meurthe-et-Moselle, Flandin Maya, directrice Librairie Vivement dimanche (Lyon), Flipo Fabrice, philosophe, Fournié-Turquin Brigitte, conseillère départementale EELV de l'Aisne , Gaïji Khaled, président des Amis de la Terre, George Susan, présidente du Transnational Institute, Girod Nicolas, porte-parole de la Confédération paysanne, Godard Stéphane, conseiller municipal de Montataire (60), Goodall Glyn, adjoint au maire, Saint-Ciers-sur-Gironde (33), Guignard Nicoline, En commun pour Belfort, Hamard Juliette, En commun pour Belfort, Harribey Jean-Marie, économiste, Henneguelle Anaïs, maîtresse de conférences en économie, université de Rennes 2, Heren Élodie, conseillère municipale EELV, Molliens-au-Bois (80), Hermann Marie, éditrice, Éditions Hors d'atteinte, Julliard Jean-François, directeur général de Greenpeace France, Jumel Sébastien, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Maritime, Kerckhove Stéphen, délégué général d'Agir pour l'Environnement, Lachaud Bastien, député LFI de Seine-Saint-Denis, Larive Michel, député LFI de l'Ariège, Larrère Mathilde, historienne, Latrille Guillaume, élu d’opposition à Villenave-d’Ornon (33), Lecoq Jean-Paul, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Maritime, Marinopoulos Sophie, cofondatrice des éditions Les Liens qui libèrent, Marolleau Jean-Louis, secrétaire exécutif réseau Foi & Justice Afrique-Europe, antenne France., Martinez Philippe, secrétaire général de la CGT, Massiah Gustave, militant altermondialiste, Menanteau Cécile et Schiano de Colella Géraldine, cogérantes de la librairie Les Bien-Aimés, Nantes, Mettai Gil, secrétaire régional EELV Picardie, Michaud Fabrice, secrétaire général de la fédération CGT Transports, Michel Stephanie, conseillère municipale de Fontenay-sous-Bois (94), Moroni Tatiana et Guichon Amandine, libraires, Mélenchon Jean-Luc, député LFI de Marseille, Ngo Philippe, éditions Moltogone, Obono Danièle, députée LFI de Paris, Olivier Maneiro, conseiller municipal LFI à Saint-Estèphe, Omarjee Younous, député européen (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Panot Mathilde, députée LFI du Val-de-Marne, Pelletier Anne-Sophie, députée européenne (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Perrin Emmanuel, conseiller municipal de Creil (Oise), Peu Stéphane, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Saint-Denis, Piolle Eric, maire EELV de Grenoble, Pires-Beaune Christine, députée PS du Puy-de-Dôme , Pochon Marie, secrétaire générale Notre Affaire à Tous, Poncet Monge Raymonde, sénatrice EÉLV, Potier Dominique, député PS de Meurthe-et-Moselle, Potier Julie, directrice générale de Bio Consom'acteurs, Poulain Paul, Emancipation collective, Prud'homme Loïc, député LFI de la Gironde, Quatennens Adrien, député LFI du Nord, Quintin Guillaume, secrétaire national du Parti de Gauche, conseiller municipal de Guerville, Regnaud-Nassar Mathilde, conseillère municipale En commun pour Belfort, Ressiguier Muriel, LFI députée de l'Hérault, Ribeiro Alexandre, conseiller municipal du collectif citoyen Cenon en commun à Cenon (33), Roby Agathe, conseillère municipale Archipel Citoyen à Toulouse, Romaggi Magali, co-animatrice du groupe Annecy Insoumise, La France insoumise, Roussel Fabien, député Gauche démocrate et républicaine du Nord, Roy Carine, conseillère municipale à Arnos (64), Rubin Sabine, députée LFI de Seine-Saint-Denis, Ruffin François, député LFI de la Somme, Salmon Daniel, sénateur EELV d'Ille-et-Vilaine, Schmitt René, conseiller municipal En commun pour Belfort, Seron Nina, conseillère municipale de Vitry-sur-Seine (94), Sterdyniak Henri, économiste, Les Economistes atterrés, Taurine Bénédicte, députée LFI de l'Ariège, Testart Jacques, biologiste, essayiste, Teste Benoit, secrétaire général de la FSU, Therouin Emilie, conseillère municipale d'opposition à Amiens, Thomas Pierre, président du Modef, Toussaint Marie, députée européenne (group des Verts-Alliance libre européenne), Trapp Karel, conseiller municipal En commun pour Belfort, Troadec Pascal, maire-adjoint de Grigny (91), Trouvé Aurélie, Pradeau Raphaël et Combes Maxime, porte-paroles d'Attac France, Trubert Henri, cofondateur des éditions Les Liens qui libèrent, Vernier Jean-Jacques, président du collectif En commun pour Belfort, Verret François, ingénieur agronome, Vignot Anne, maire EELV de Besançon, Wulfranc Hubert, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Maritime, Zafari Sophie, syndicaliste FSU

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  • Des fraudes "massives" au chômage partiel ont été menées depuis l'étranger

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    Des fraudes "massives" au chômage partiel ont été menées depuis l'étranger

    Le parquet de Paris a annoncé vendredi enquêter sur des fraudes "massives" au chômage partiel à partir du confinement, impliquant des "flux financiers internationaux" qui ont occasionné "plus d'1,7 million d'euros" de préjudice.

    Selon les premières investigations, "les demandes frauduleuses de versement d'indemnités se faisaient par télédéclaration en usurpant la raison sociale et le numéro d'identification SIRET d'entreprises existantes qui ne demandaient pas à bénéficier des aides à l'activité partielle", explique dans un communiqué le parquet.

    Ce dernier s'est saisi lundi, au titre de sa compétence nationale en matière de lutte contre la criminalité organisée de très grande complexité (dite Junalco), de deux enquêtes ouvertes plus tôt par les parquets de Toulouse et Limoges pour "escroqueries en bande organisée aux prestations versées pour les salariés en situation de chômage partiel" et "blanchiment en bande organisée" de ces escroqueries.

    Lire aussi : Fraude au chômage partiel: «Entre l'erreur et les faux, la réponse sera graduée»

    6 millions d'euros suspendus

    Ces enquêtes ont été initiées "après la découverte de similitudes entre de nombreuses demandes d'autorisation d'activité partielle déposées par des entreprises".

    Selon une source proche du dossier, les enquêteurs soupçonnent "une organisation criminelle d'avoir monté une fraude depuis l'étranger".

    "Plus de 1.740 opérations frauduleuses sur tout le territoire national au nom de 1.069 sociétés différentes demandant des versements de fonds sur plus de 170 comptes bancaires différents" ont déjà été identifiées, détaille le parquet.

    Selon lui, plus de 1,7 million d'euros ont été indûment versés par l'Agence de Services et de Paiement (ASP), chargée de gérer pour le compte du Ministère de l'Emploi l'indemnisation de l'activité partielle.

    Toutefois, "le versement de plus de 6 millions d'euros a pu être suspendu dès la découverte des infractions", précise-t-il.

    "De nombreuses investigations, destinées notamment à mettre au jour les flux financiers internationaux issus de ces escroqueries, restent à effectuer", souligne le parquet, observant qu'elles nécessitaient "une forte coopération internationale".

    Dès le confinement et pour pallier l'arrêt d'activité en découlant, le gouvernement a élargi la possibilité de recourir au chômage partiel en France. Selon le ministère du Travail, 7,2 millions de Français ont été en chômage partiel un ou plusieurs jours par semaine en mars, 8,7 millions en avril et 7,8 millions en mai.

    Mi-juin, le gouvernement indiquait que depuis le début du confinement et de l'ouverture du dispositif, pas moins de 17 milliards d'euros avaient été dépensés par l'Etat. Et 31 milliards d'euros ont été inscrits dans le dernier budget rectificatif pour payer la facture.

    Lire aussi : Fraude au chômage partiel : 10.000 entreprises contrôlées, 50.000 d'ici la fin de l'été

    Pôle Emploi, Crise Sanitaire, Chômage Partiel, Fraude à l'assurance chômage, europe, UE, Fait-divers, Presse, Fraudes à Pôle Emploi

  • Marion Maréchal plus sûre que jamais sur les origines de l’ensauvagement de la société

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    Marion Maréchal plus sûre que jamais sur les origines de l’ensauvagement de la société

    L’ancienne députée identifie “trois phénomènes” permettant d’expliquer les violences de ces derniers mois.

    Comme le reste de la population française, Marion Maréchal constate, impuissante, la violence qui s’abat sur le pays depuis plusieurs mois. « Il y a une barbarie qui s’installe en France. Une violence gratuite, qui, selon moi - et, une fois de plus, je vais choquer les belles âmes -, est le résultat de trois phénomènes », a-t-elle expliqué sur Azur TV.

    « Beaucoup considèrent que l’État est un ennemi »

    Elle identifie d’abord « l’immigration », et précise : « On peut se voiler la face autant qu’on veut, la réalité, aujourd’hui, c’est qu’une grande partie de cette délinquance est alimentée par des jeunes gens d’origine immigrée, souvent de troisième ou quatrième générations dont on constate que non seulement ils se désassimilent, mais ils se désocialisent ».

    L’ancienne élue poursuit que « beaucoup d’entre eux considèrent que l’État est un ennemi et ils s’attaquent à tout ce qui peut le représenter et s’installent dans une forme de violence gratuite à l’égard de tous ceux qui leur tiennent tête, y compris dans la rue. C’est le premier phénomène et je pense que beaucoup trop de gens le taisent parce que c’est au coeur du problème. »

    « Nous avons une justice qui ne fonctionne plus »

    Marion Maréchal identifie aussi « la culture de l’excuse. » « C’est comme au moment du confinement, c’était la même histoire. Comme si la pauvreté était une justification au fait de brûler des voitures et d’attaquer des pompiers. On justifie ces comportements, on les excuse », indique-t-elle aussi à la chaîne de télévision locale. Enfin, l’ex-députée évoque « l’effondrement de la chaîne pénale », et ajoute : « Aujourd’hui, nous avons une justice qui ne fonctionne plus, qui est sous-dotée en moyens, qui est enfermée par un cadre législatif trop laxiste et qui est d’ailleurs menée par des juges qui, pour une partie d’entre eux, adhèrent à une idéologie qui considère que la prison c’est l’école du crime, si tant est qu’il y ait des places en prison ».

  • Robert Ménard Maire de Béziers (RN) Occitanie

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    Robert Ménard, né le  à Oran, est un journalisteessayisteéditeur et homme politique français.

    Il est co-fondateur de l'association Reporters sans frontières (RSF), dont il est le secrétaire général de 1985 à 2008, ainsi que du site internet Boulevard Voltaire, lancé en 2012. Il est également le fondateur, en 2008, de la maison d'édition Mordicus, qu'il dirige avec son épouse, Emmanuelle Ménard.

    Un temps engagé à gauche, il s'en éloigne progressivement pour rejoindre l'extrême droite. À l’issue des élections municipales de 2014, il est élu maire de Béziers avec le soutien du Front national, de Debout la République et du Mouvement pour la France. D'orientation populiste, son mandat est marqué par des mesures et des déclarations faisant polémique jusqu'au niveau national et qui sont pour certaines sanctionnées par la justice.

    Issu d'une famille catholique pied-noir installée en Algérie française depuis 18501, Robert Ménard naît le  à Oran2,3. Il a neuf ans lorsque sa famille, rapatriée d'Algérie4, s'installe à Brusque dans l'Aveyron5, puis dans le quartier neuf de la Devèze, à Béziers6. Son père, Émile, est tour à tour commerçant, imprimeur et éleveur de poules7 ; également syndicaliste communiste6, il devient membre de l'OAS8,9. L'un des oncles de Robert Ménard est par ailleurs emprisonné pour avoir piloté un avion de putschistes10.

    Robert Ménard suit les cours du collège religieux Saint-Gabriel à Saint-Affrique. Il envisage à l'époque de devenir prêtre, ce à quoi sa mère s'oppose11. En mai 1968, il fait fermer son collège10. Poursuivant ses études à Montpellier, il choisit la philosophie, discipline pour laquelle il n'a pas de réelle vocation, mais dans laquelle il obtient un diplôme d'études supérieures (DES).

    En 1973, au lycée Jean-Moulin à Béziers, à l'époque des manifestations contre la loi Debré abrogeant les sursis pour études au-delà de 21 ans, il donne des cours de philosophie, pendant les grèves, à des lycéens pour éviter qu'ils ne prennent trop de retard12.

    Toujours à Béziers, il est proche des milieux anarchistes, puis trotskistes, et milite à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), de 1973 à 1979. Il s'inscrit par la suite au Parti socialiste4, qu'il rejoint via le courant du CERES, l'aile gauche du PS ; il sera délégué du CERES pour la fédération de l'Hérault au congrès de Metz (6 au 8 avril 1979)13. Il démissionne du PS six mois après l'élection de François Mitterrand à la présidence de la République, se disant stupéfait par tous ceux « qui se précipitaient sur les places »...

    Vie Privée :

    Père de deux enfants nés de deux unions différentes5, Robert Ménard est marié à Emmanuelle Duverger (sa quatrième épouse16), rédactrice en chef de l'ancienne revue trimestrielle Médias11, responsable des éditions Mordicus, ancienne juriste à la Fédération internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH) et responsable des Master Class à l'Institut des hautes études de journalisme de Montpellier391. Elle est directrice de publication du site Boulevard Voltaire, qu'elle a cofondé avec son époux392Libération l'a décrite comme une « catholique militante proche de la nébuleuse Civitas »393 et « engagée dans les Manif pour tous »394 ; elle dément être intégriste et refuse d'être cataloguée391. Ensemble, ils ont écrit plusieurs livres, dont La Censure des bien-pensants et Vive Le Pen !.

    Leur rencontre, qui a eu lieu en 2000 à Bamako, en marge d'un sommet de la francophonie391, aurait marqué un tournant dans la vie de Robert Ménard : celui-ci s’est en effet « recatholicisé » au contact de son épouse et de leur fille, toutes deux catholiques pratiquantes60,36,72. S'il affirme : « Elle m'a apporté quelque chose : je n'ai plus honte de ce que je pense »5, Emmanuelle Duverger tempère en affirmant que son époux « est plus structuré [qu'elle] idéologiquement »36 et que leur influence est réciproque391. De l'aveu même de Robert Ménard391, Emmanuelle Duverger demeure influente dans son action à la mairie de Béziers52,391, où elle l'a poussé à s'engager394 ; Robert Ménard indique : « C'est elle qui, de loin, pèse le plus sur mes décisions politiques. Quand elle désapprouve une de mes idées, je ne la mets pas en œuvre »392. Le couple a emménagé tout près des allées Paul-Riquet et de la place Jean-Jaurès, un an avant l'élection de Robert Ménard à la mairie391.

    En 2017, Emmanuelle Ménard est élue députée dans la sixième circonscription de l'Hérault.

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  • Louis Aliot Maire de Perpignan (RN) Occitanie

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    Louis Aliot, né le  à Toulouse, est un homme politique français.

    Membre depuis 1990 du Front national (FN), devenu Rassemblement national (RN), il y exerce différentes fonctions de premier plan (secrétaire général de 2005 à 2010, vice-président de 2011 à 2018, membre du bureau national depuis 2018). Il est par ailleurs, entre 2009 et 2019, le compagnon de Marine Le Pen, dont il soutient l'ascension au sein du FN au cours des années 2000.

    Il est conseiller régional de Midi-Pyrénées de 1998 à 2010 et du Languedoc-Roussillon de 2010 à 2015. Il est élu député européen en 2014, puis député dans la deuxième circonscription des Pyrénées-Orientales en 2017.

    Lors des élections municipales de 2020 à Perpignan, la liste qu'il conduit l’emporte avec 53 % des suffrages. Il devient ainsi le seul maire d'une ville de plus de 100 000 habitants étant membre du RN.

     

  • La compagnie Level France devrait bientôt disparaître

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    La compagnie Level France devrait bientôt disparaître

    La direction de la compagnie aérienne low-cost a annoncé mercredi 8 juillet qu'elle allait cesser son activité et engager un plan social.

    La crise sanitaire a fait une nouvelle victime. La compagnie aérienne OpenSkies, qui opère sous la marque Level France, a annoncé mercredi 8 juillet qu'elle s'apprêtait à cesser son activité et à mettre en oeuvre un plan social en raison de l'impact de la crise due au coronavirus. "L'impact de la pandémie de Covid-19 et la probabilité que la demande des passagers ne revienne pas au niveau de 2019 avant 2023 au plus tôt, ont contraint OpenSkies à informer officiellement son comité économique et social d'un projet de cessation totale de ses activités et de sa proposition d'élaborer un plan de sauvegarde de l'emploi" (PSE), affirme la compagnie dans un communiqué.

    La compagnie emploie 231 personnes, mais certaines en contrat à durée déterminée ne seront pas concernées par le PSE, qui sera formellement ouvert à la négociation lors d'un comité économique et social le 15 juillet. Les discussions avec les syndicats devraient ensuite durer trois mois, selon une représentante de la compagnie, qui cherche parallèlement un repreneur.

    >> A lire aussi - Une compagnie aérienne remplace des vols par des trains

    Level, la marque low-cost long-courrier d'IAG, maison mère d'Iberia et de British Airways, opère en France depuis l'aéroport de Paris-Orly depuis 2018. Ses trois Airbus A330 desservent des destinations aux Etats-Unis, au Canada ainsi que la Guadeloupe et la Martinique. La société OpenSkies, créée en 2006 sous le nom de L'Avion, avait été rachetée en 2009 par British Airways et vole sous la marque Level depuis 2018. IAG entendait alors se positionner sur le marché low-cost long-courrier au départ de Paris, où Norwegian Air Shuttle (Norwegian) avait ouvert des liaisons vers les Etats-Unis deux ans plus tôt.

    >> A lire aussi - Les compagnies aériennes face au couperet de la dette

    Le secteur aérien est l'une des branches les plus affectées par les conséquences économiques de la pandémie. De nombreuses compagnies dans le monde entier ont engagé des procédures de faillite, annoncé d'importants plans d'économie et de licenciements, ou sollicité des aides publiques massives. La branche autrichienne de Level a déposé le bilan en juin.

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  • Sylvie Vartan - Eponyme (En Double Vinyles Noirs) : Splendide !

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    Sylvie Vartan

    Sylvie Vartan
    • Artiste : Sylvie Vartan
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    • Éditeur : Mercury Un Label Universal Music France
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    • Année : 30/04/2021
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    • Superbe album, où Sylvie Vartan réinterprète quelques-uns de ses grands succès en version acoustique. Cela donne un ton intimiste aux titres que nous connaissions, et qui nous permet de redécouvrir les chansons de cette grande dame sous un autre angle. Les chansons n'ont pas vieilli et la voix de l'interprète a mûri. N'hésitez pas si vous aimez Sylvie... De plus, vous pouvez écoutez 30 secondes de chaque titre comme cela vous saurez si ces nouveaux arrangements vous plaisent... ou pas...
    • Note : 10/10
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    Chansons connues de Sylvie Vartan reprises avec d'autres arrangements , concerts avec bonus et duos avec d'autres chanteurs Mon préféré est "Fille de l'Est" avec Patricia KAAS : belle orchestration, belles voix , une vraie réussite ainsi que celui de Etienne DAHO avec son arrangement et son rythme et le 3° avec David Hallyday ,étonnant de justesse…

    Un concert + bonus, des live's , des duos avec Patricia Kaas (Une fille de l'Est) d'une grande beauté, une reprise avec Etienne Daho très réussie et celui avec son fils David Hallyday, composé pour son père mais que Sylvie reprend avec aisance...


    Le reste sont des chanson connues , reprises quelquefois un peu manières et quelques inédits Sylvie Vartan est meilleure sur les mélodies que sur des tubes américains qui lui cassent la voix et brisent son vibrato très personnel . Ensemble de l'inattendu et quelques défauts mais surtout bon quand elle sort de son éternel répertoire !

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