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Brigitte Macron

  • Marine Le Pen et Emmanuel Macron au coude-à-coude au premier tour de la Présidentielle 2022, selon un sondage

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    Le Pen et Macron au coude-à-coude au premier tour, selon un sondage

    Une enquête pour le Journal du dimanche et Sud Radio donne Emmanuel Macron entre 23 et 26% au premier tour, en fonction des différents candidats potentiels à droite et à gauche. Marine Le Pen se situe, elle, entre 24 et 27%, là aussi selon les différentes hypothèses de candidatures à droite et à gauche.

    © Michel GILE/Gamma-Rapho via Getty Images Macron Le Pen

    Emmanuel Macron et Marine Le Pen seraient au coude-à-coude au premier tour de l'élection présidentielle, loin devant tous les autres candidats, si le scrutin avait lieu dimanche, selon un sondage Ifop-Fiducial. Cette enquête pour le Journal du dimanche et Sud Radio donne Emmanuel Macron entre 23 et 26% au premier tour, en fonction des différents candidats potentiels à droite et à gauche.

    Marine Le Pen se situe, elle, entre 24 et 27%, là aussi selon les différentes hypothèses de candidatures à droite et à gauche. En 2017, Emmanuel Macron avait recueilli 24% des voix au premier tour, contre 21,3 à Marine Le Pen. Il l'avait emporté au second tour avec 66,1% contre 33,9% à la présidente du Rassemblement national.

    La concurrence loin derrière

    A moins de deux ans de la présidentielle, le couple Macron/Le Pen continue de dominer le rapport de forces et relègue la concurrence loin derrière. A droite, une candidature de Xavier Bertrand recueillerait 16% des voix, devant François Baroin (14%), Valérie Pécresse (11%), Bruno Retailleau (8%) et Rachida Dati (8%).

    A gauche, une candidature d'Anne Hidalgo recueillerait 9% des voix, devant François Hollande (7%) et Ségolène Royal (5%) dans l’hypothèse où Jean-Luc Mélenchon (LFI, 11%) et Yannick Jadot (EELV, 6%) se présentaient. En cas de candidature unique à gauche, Jean-Luc Mélenchon recueillerait 15% des voix, devant Anne Hidalgo et Yannick Jadot (13% tous les deux).

    Enquête réalisée en ligne entre le 28 septembre et le 1er octobre auprès de 1.608 personnes inscrites sur les listes électorales, tirées d'un échantillon de 1.805 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les intentions de vote ne constituent pas une prévision de résultat, elles donnent une indication des rapports de force au jour de la réalisation du sondage.

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  • Lâché par une députée LREM, Macron perd sa majorité absolue à l'Assemblée

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    Lâché par une députée LREM, Macron perd sa majorité absolue à l'Assemblée

    L’élue a voulu “dénoncer le fonctionnement du mouvement” présidentiel tout en restant dans la majorité. 

    LREM s’affaiblit de jour en jour. Alors qu’un nouveau groupe s’est formé à l’Assemblée nationale au début de l’été, composé principalement d’anciens députés macronistes, les défections continuent de se multiplier au sein du parti présidentiel. Ce samedi 29 août, c’est la députée Michèle Crouzet qui a choisi d’adhérer au MoDem, alors qu’elle était initialement affiliée à LREM, rapporte Le Figaro. L’élue avait déjà quitté le parti d’Emmanuel Macron en 2019 mais était restée apparentée au groupe marcheur à l’Assemblée nationale. Elle siégera désormais aux côtés du parti de François Bayrou. 

    « Je ne suis pas une frondeuse » 

    Ainsi Michèle Crouzet semble avoir répondu favorablement à l’appel du président du groupe MoDem à l’Assemblée, Patrick Mignola. « Si demain des parlementaires d’autres groupes que le MoDem veulent nous rejoindre, on les accueillera à bras ouverts. Mon groupe a vocation à s’élargir pour élargir la majorité », avait-il confié au Figaro début août. De son côté, Michèle Crouzet assure qu’avec ce choix, elle « reste fidèle à [ses] convictions politiques »« Je ne suis pas une frondeuse, je ne suis pas contre le président de la République. Je dénonce le fonctionnement du mouvement LREM et je veux travailler dans de bonnes conditions », insiste la députée auprès du quotidien. Elle est la 35e députée à quitter le groupe LREM à l’Assemblée nationale depuis le début de la législature. 

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    Cette défection vers l’allié du MoDem irrite d’ailleurs tout particulièrement les Marcheurs. « Le débat est normal et salutaire, mais en refusant toujours les querelles de partis ou la condescendance d’apparence », avait ainsi déclaré Christophe Castaner début août. François de Rugy avait, lui, invité le MoDem à ne pas « oublier le respect mutuel »« Cette main tendue en plaine ambiguïté estivale est malvenue. Au mieux, c’est complètement inutile, au pire ça brouille l’image de la majorité », avait de son côté réagi le député LREM Bruno Bonnell auprès du Figaro

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  • Erdogan traite les dirigeants français de “cupides et incompétents”

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    Erdogan traite les dirigeants français de “cupides et incompétents”

    Le président turc a attisé les tensions naissantes entre son pays et le duo Grèce-France.

    À ceux qui craignaient de voir la Grèce et la France s’opposer frontalement à la Turquie, Recep Tayyip Erdogan a envoyé un signal clair, dimanche 30 août : si désescalade verbale il doit y avoir, il n’en sera pas l’instigateur… Le président turc a tout simplement accusé les dirigeants grecs et français d’être « cupides et incompétents », rapporte notamment Le Point.

    « À nos ennemis, nous disons : Chiche ! »

    « Le peuple grec accepte-t-il ce qui risque de lui arriver à cause de ses dirigeants cupides et incompétents ? », a lancé le président turc, alors qu’Ankara et Athènes se disputent le partage de très importantes ressources gazières en Méditerranée. Et le chef d’État de poursuivre, comme une mise en garde pour Paris : «  Le peuple français sait-il le prix qu'il devra payer à cause de ses dirigeants cupides et incompétents ? ».

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    Le président turc a même laissé entendre que son pays était prêt à prendre les armes. « Lorsqu'il s'agit de combattre, nous n'hésitons pas à donner des martyrs (…) La question est la suivante : ceux qui s'érigent contre nous en Méditerranée et (au Proche-Orient) sont-ils prêts aux mêmes sacrifices ? », a-t-il interrogé. Et de poursuivre : « À nos ennemis, nous disons : Chiche ! ». Dimanche, le vice-président turc Fuat Oktay, a par ailleurs assuré que l’extension des eaux territoriales grecques à 12 milles marins, contre six actuellement, serait un « casus belli ». Les autorités françaises ont, de leur côté, dénoncé le « comportement escalatoire » de la Turquie.

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  • Quand les “valeurs républicaines” détruisent la France

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    Quand les “valeurs républicaines” détruisent la France

    Aujourd'hui la République et plus encore les “valeurs républicaines” - resucée novlanguienne du droit-de-l'hommisme - sont devenues un véritable credo qu'égrènent tous ceux qui, avant d'être français, se considèrent comme “républicains”. Analyse d' Aram Mardirossianprofesseur agrégé des facultés de droit à l'École de droit de la Sorbonne et directeur d'études à l'École pratique des hautes études.

    République versus res publica. Le choc des mots ou l'ironie de l'histoire. À Rome, la res publica constitue une entité supérieure à la personne de ses dirigeants, à la prospérité de laquelle tous doivent œuvrer. Elle exige la primauté de l'utilité commune sur les intérêts privés des gouvernants, mais aussi de la distanciation entre le principe d'autorité perpétuel et la personne qui exerce temporairement celle-ci. Si la res publica désigne classiquement l'État, sa traduction en “république” a fini par endosser une acception réductrice qui vise un type de régime politique. Or, depuis un demi-siècle, cette République et ses “valeurs” démolissent pan après pan la res publica, l'édifice millénaire que représente l'État, et in fine, détruisent la France.

    La disparition de l'Empire romain en Occident entraîne celle de la res publica en Gaule. L'institution ne ressuscite pas sous les dynasties mérovingienne et carolingienne, nonobstant l'éphémère renovatio imperii projetée par Charlemagne. Le roi considère le regnum comme un élément de son patrimoine privé, qui à sa mort, est divisé entre ses fils à l'instar de ses autres biens. Cette prégnance des règles coutumières de succession franques - la fameuse “loi salique” - est la cause des guerres que se livrent les héritiers, chacun cherchant à annexer les territoires de ses frères. Le régime juridique qui prévaut dans ce contexte est celui de la personnalité des lois. Dans un territoire où cohabitent des peuples différents, ceux-ci préservent leur propre système normatif et, théoriquement, chaque individu serait jugé selon le droit de l'ethnie à laquelle il appartient. Mais progressivement, les antiques lois personnelles s'effacent au profit d'une forme de territorialité du droit.

    Toutefois, dès la fin du IXe siècle, la généralisation du système féodal sanctionne la dislocation de la puissance publique carolingienne qui, par ailleurs, se montre incapable de résister aux invasions normandes, magyares et sarrasines. Hugues Capet, qui impose définitivement sa dynastie en 987, reste un roi fragile dont la réalité du pouvoir ne dépasse guère les limites de ses possessions. Confronté à des seigneurs parfois plus puissants que lui, le Capétien reste cependant le seul dans le royaume à être sacré et cette onction qui atteste son élection divine contribue grandement à sa “survie”. En attendant, dans moult provinces, de simples sires ou châtelains rejettent toute autorité supérieure (roi, prince ou comte), et prétendent exercer souverainement, en leur fief, les prérogatives de la puissance publique. C'est le règne de la seigneurie banale, expression dérivant de “ban”, vocable d'origine germanique qui signifie le pouvoir de commander. Un véritable terrorisme seigneurial s'abat alors sur les populations paysannes. Les termes “district” ou “détroit” qui désignent le ressort territorial de ces châtelains se fondent sur districtio qui suggère la contrainte. Il faut « en finir avec la vision lénifiante du bon seigneur protégeant ses paysans démunis contre la violence. Si cette protection a pu jouer, ce ne fut certes pas contre de lointains envahisseurs, mais plutôt contre les empiétements et dévastations, en son détroit, de quelques tristes sires voisins, ses semblables socialement » (Éric Bournazel).

    Au sein de cette société trifonctionnelle ( oratoresbellatoreslaboratores ), les prémices du salut viendront du premier ordre, et plus spécifiquement, du monachisme militant des Clunisiens qui préfigure la réforme grégorienne. La Paix, puis la Trêve de Dieu lancées par ces soldats du Christ vers l'an mille permettent progressivement de canaliser les violences seigneuriales. Alors, les Capétiens vont, au prix d'un intense labeur d'un demi-millénaire, forger l'État. S'agissant de la res publica, dès l'époque médiévale, la chose (appelée notamment corona, “couronne”) existe avant le mot, qui lui, se généralise au XVIe siècle. Ainsi, l'État n'a pas fait la France à lui seul, mais il y a fortement contribué. Bientôt, le royaume de Louis XIV devient la première puissance mondiale.

    Et puis, les révolutionnaires, de façon sanglante, et Napoléon, de manière brutale, ont repris l'État capétien en l'arrachant à sa matrice chrétienne. La France ne se remettra jamais réellement de cette rupture paradigmatique. Et puis, les deux...

     

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  • Immigration, islam, intégration… “Je dois reprendre en main ces sujets”, nous confie Emmanuel Macron

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    Immigration, islam, intégration… “Je dois reprendre en main ces sujets”, nous confie Emmanuel Macron

    Tête à tête avec Macron, partie 1/5. Face à notre journaliste, le président de la République revient sur son déplacement à Mayotte et La Réunion et l'importance de se saisir des sujets qui divisent la France.

    Le président de la République avait prévenu les passagers de son Airbus : le décollage serait « spécial ». Déjà annoncée en amont du voyage d'Emmanuel Macron à La Réunion, l'éruption du piton de la Fournaise a cette fois bien lieu. L'avion d'un chef d'État ne dansant pas au dessus d'un volcan, nous contournerons le principal cratère. Le pilote, un officier de l'armée de l'air, incline l'appareil pour offrir une vue imprenable, depuis le ciel, sur les multiples cavités. Spectacle époustouflant et métaphore presque trop facile d'un pays toujours au bord de la fusion.

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    Mayotte et sa situation rendue impossible par l'immigration clandestine venue des Comores, La Réunion et son terreau social explosif, la France périphérique mouchetée de “ gilets jaunes ” à la colère sourde, un pays entier régulièrement meurtri par le terrorisme islamiste : Emmanuel Macron gouverne une France bien trop blessée pour ne pas avoir à répondre à des problématiques qui font mal. Le malaise national, interminable cancer d'une identité malmenée, impose un diagnostic sans faux-semblant et un traitement de cheval. C'est au nom de ces patients français et des lecteurs de Valeurs actuelles que nous avons préparé pour le jeune président des questions sans ambages. Point de délices de la mise en abyme personnelle ni de feutre de la stratégie du pouvoir : les faits, les maux, les solutions.

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    Comment continuer à prétendre qu'il n'y a pas de lien entre islam et islamisme ? Comment différencier la femme radicalisée de celle portant un voile ? Pourquoi culpabiliser notre société quand certains reprochent à une femme de se mettre en marge de la société en choisissant délibérément d'accompagner son enfant en portant un voile lors d'une sortie scolaire ? Comment déployer une politique migratoire quand le “ en même temps ” vous fait tenir la double promesse d'être à la fois “ humain ” et “ impitoyable ” ?

    Existe-t-il chez Emmanuel Macron un “ impensé ” sur ces questions, comme le lui reproche la droite ? Après de multiples demandes depuis son arrivée au pouvoir, son entourage nous propose, début octobre, d'accompagner la délégation de son voyage officiel à Mayotte, aux îles Glorieuses et à La Réunion, pour répondre à cette interrogation en suspens depuis le début du quinquennat. Intérêt partagé. Un proche de l'Élysée ne s'en cache pas : « Pour sceller véritablement le passage à l'acte II de son quinquennat, le président souhaitait parler à Valeurs actuelles et à ses lecteurs… C'est très important pour lui. » Le choix d'une destination constitue déjà un acte politique en soi : à Mayotte, il sera question d'immigration, de suspension du droit du sol et d'éloignement de clandestins… Au début de la présidence d'Emmanuel Macron, les demandes d'asile ont explosé (123 625 en 2018, + 22,7 %), tout comme les titres de séjour (255 956 accordés

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  • Après Sainte-Sophie, Erdogan reconvertit une autre ancienne église en mosquée

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    Après Sainte-Sophie, Erdogan reconvertit une autre ancienne église en mosquée

    Recep Tayyip Erdogan a annoncé vendredi 21 août la reconversion d'une ancienne église orthodoxe emblématique d'Istanbul en mosquée. Cette décision intervient un mois après la réouverture au culte musulman de l'ex-basilique Sainte-Sophie.

    Recep Tayyip Erdogan ne compte pas s'en tenir qu'à Sainte-Sophie. Selon une information rapportée par plusieurs médias, le président turc a ordonné la transformation du musée de Chora, ancienne église, en... mosquée. Cette ancienne église orthodoxe d'Istanbul a été construite par les Byzantins au 5ème siècle ; elle se nommait alors l'église Saint-Sauveur-in-Chora. Avant de devenir un musée, elle avait déjà été convertie en mosquée une première fois.

    De la mosquée au musée après la Seconde guerre mondiale

    L'église byzantine emblématique d'Istanbul n'en est pas à sa première conversion : dans son histoire millénaire, l'édifice compte une période où elle fut une mosquée. Cette transformation s'est produite lors de la prise de Constantinople par les Ottomans, en 1453. C'est depuis la fin de la Seconde guerre mondiale que Chora est devenue un musée : depuis une restauration longue et minutieuse par des historiens de l'art américains, le musée accueille des visiteurs depuis 1958.

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    « C'est l'équivalent d'une destruction »

    Connue pour ses mosaïques qui suscitent l'admiration et ses fresques datant du 14ème siècle, elle est notamment réputée pour sa monumentale composition du Jugement dernier. Ainsi, le décret présidentiel d'Erdogan publié ce vendredi au Journal officiel pour ordonner « d'ouvrir au culte » musulman ce haut-lieu culturel du pays fait grincer des dents. Selon Le Figaro, pour l'historienne de l'Empire ottoman Zeynep Turkyilmaz, la survie des fresques et des mosaïques est en grand danger, l'islam interdisant la représentation religieuses : « C'est l'équivalent d'une destruction, car il est impossible de transformer cette architecture intérieure en la préservant », se navre-t-elle. Après Sainte-Sophie, les observateurs y voient une volonté de contenter une base électorale conservatrice et nationaliste turque, notamment depuis les difficultés exacerbées par la crise sanitaire que connaît la Turquie.

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  • Voici combien l'État paye par an pour le train de vie du couple Macron !

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    Voici combien l'État paye par an pour le train de vie du couple Macron !

    Les dépenses engendrées par Brigitte et Emmanuel Macron à l'Élysée ont été rendues public par la Cour des comptes. Zoom.

    Comme chaque année le couple présidentiel a fait beaucoup de dépenses. Le mercredi 29 juillet la Cour des comptes, chargée de surveiller les dépenses qui émanent de la présidence de la République, mettait en avant le train de vie de Brigitte. Dans son rapport, elle dévoile certaines sommes renversantes.

    Avec ses quatre collaborateurs, ses six bureaux et sa coiffeuse attitrée, le budget de la Première dame s’élevait à 279.144 euros en 2018.

    Les dépenses de Brigitte Macron

    Le bilan a mis en avant un point stratégique des dépenses de la Première dame. En effet, depuis trois ans l’épouse du chef de l’État a vu sa pile de courrier augmenter. Elle a reçu en 2019, 21.000 courriers contre 19.500 l'année précédente. Une augmentation qui a demandé l’emploi de 7 agents du service de la correspondance présidentielle.

    La Cour des comptes a donc estimé les dépenses de Brigitte Macron à 282.476 euros. Une hausse probablement en lien avec les salaires des membres de son cabinet. Ainsi, les dépenses de la Première dame n’ont pas amené une augmentation significative au budget de l’État.

    Le train de vie du couple présidentiel

    Les budgets sont scrutés à la loupe et quand certains frais ne rentrent pas dans le cadre de leurs fonctions, le couple doit naturellement rembourser. L'addition est vite salée. Par exemple, Brigitte et Emmanuel utilisent un avion présidentiel (ET 60) pour leur usage privé ils doivent rembourser près de 8.000 euros.

    En ce qui concerne leurs vacances la somme à rembourser est un peu moindre. Ce sont 5.403 euros que le couple a redonné à l'État en 2018 suite à leurs voyages à Honfleur, La Mongie et Brégançon.

    Le coût financier pour la sécurité du couple présidentiel

    La fonction de président a des atouts mais aussi des inconvénients. C'est une fonction à risques qui demande une sécurité maximale et ce pour chaque déplacement, même privé. Ainsi les frais liés à la sécurité du président sont importants. Près de 110.000 euros ont été dépensés pour la sécurité du couple Macron lors de ses vacances en 2018.

    Malgré cela dans le rapport un autre aspect positif a été mis en évidence.

    L’Élysée économe

    Selon la Cour des comptes, l’Élysée semble avoir été plus économe sur ses dépenses qu’en 2018. En effet, une baisse de 3,28% a été enregistrée soit une économie de 105,33 millions d'euros. Emmanuel Macron rentre donc dans ses frais.

    Les ressources de l’État ont quant à elles augmenté de 1,2%, passant ainsi à 106,3 millions. Un excédent dû en partie à la petite baisse d’activité du président de la République, depuis ces derniers mois.

  • “Cela n'a pas de sens” : Hollande prend le contrepied de Macron sur les masques à l’école

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    “Cela n'a pas de sens” : Hollande prend le contrepied de Macron sur les masques à l’école

    Dimanche 30 août, l’ancien président s’est prononcé en faveur de la gratuité des masques à l’école.

    À moins de deux ans de la prochaine élection présidentielle, comptez sur François Hollande pour se rappeler au bon souvenir de son successeur. Sur France 2, dimanche 30 août au soir, l’ex-chef de l’État a remis en cause le positionnement de l’exécutif quant à la gratuité des masques à l’école.

    Hollande critique l’utilisation des forces de l’ordre

    « Le masque étant quasi obligatoire dans l'enseignement public comme privé, il doit être gratuit pour tous, et fourni par l'éducation nationale », a-t-il jugé, ajoutant : « On fournirait des ordinateurs et pas de masques ? Cela n'a pas de sens ». Pour rappel, le gouvernement d’Emmanuel Macron n’a pas instauré la gratuité des masques à l’école. D’après BFM TV, le locataire de l’Élysée aurait même déclaré, devant la presse présidentielle : « On a eu un débat sur les masques gratuits sincèrement fou ! ». « Quel pays au monde distribue autant de masques gratuits que nous ? », aurait-il aussi interrogé.

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    Sur France 2, dimanche soir, François Hollande a aussi remis en cause le recours à la force publique par l’administration Macron. D’après lui, il y a eu « une utilisation des forces de l'ordre pas à la hauteur », notamment « pendant les manifestations des gilets jaunes », qui « a entraîné des dégradations et des violences ». 

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