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Livre - Page 6

  • L’homme qui avait menacé Eric Zemmour dans la rue condamné à trois mois de prison avec sursis

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    L’homme qui avait menacé Eric Zemmour dans la rue condamné à trois mois de prison avec sursis

    L’homme s'était filmé en train d'insulter l'éditorialiste alors que celui-ci marchait tranquillement dans la rue.

    En plein confinement, le 30 avril dernier, un homme s’était filmé dans les rues de Paris alors qu’il insultait Eric Zemmour. Il a été condamné, ce mercredi 9 septembre, pour « menaces réitérées de crimes » à trois mois de prison avec sursis et cinq ans de mise à l’épreuve par le tribunal correctionnel de la ville de Paris.

    Selon Le Parisien, le jeune homme est également tenu de travailler, d’effectuer un stage de citoyenneté et est interdit d’entrer directement ou indirectement en contact avec Eric Zemmour.

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    Alors que le journaliste marchait seul dans les rues de la capitale, l’homme de 28 ans s’était filmé en train de l’insulter, de le menacer, et de crier « un petit doigt dans le cul Eric ». Il avait ensuite posté la vidéo sur Snapchat. Dans une seconde vidéo, il avait également affirmé avoir craché sur l’éditorialiste. Une déclaration sur laquelle il était revenu par la suite.

    Le prévenu s’est, durant son procès, dit surpris par la diffusion à grande échelle de la vidéo. Il a également dit regretter son geste : « j’ai réagi comme un gamin. J’ai fait une bêtise ». Eric Zemmour a quant à lui confié, dans sa déposition, avoir « senti le souffle » de son agresseur sur sa nuque.

    L’avocat de Zemmour a quant à lui dénoncé la volonté « d’humilier et de rabaisser » son client. Il a aussi ajouté que, suite à cette vidéo, d’autres individus auraient pu avoir envie « d’aller beaucoup plus loin ».

    Eric Zemmour, paris, valeurs actuelles, fait divers, politique, livres, journalisme, justice, racisme anti-blancs,  Université Paris Diderot - Université de Paris, Rue Thomas Mann, Paris, France

  • “On va te violer dans une cave” : Mila menacée pendant ses vacances

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    “On va te violer dans une cave” : Mila menacée pendant ses vacances

    La jeune fille qui avait osé critiquer la religion musulmane et avait été cyberharcelée par la suite a été reconnue lors d’un voyage à Malte.

    Mila et la quiétude, ce n’est pas encore pour maintenant. Selon une information du Canard enchaîné reprise par Marianne, la jeune lycéenne déscolarisée depuis le début de l’année, était en séjour linguistique à Malte au mois d’août. Mais ses vacances ne se sont pas déroulées comme prévu. La jeune adolescente a été une nouvelle fois harcelée, menacée de mort et de viol sur l’île où elle a été reconnue. Le 15 août, dans un restaurant, un homme lui a demandé si elle était Mila. Vérification faite, il s’en est violemment pris à elle dans un premier temps : « On va te violer dans une cave », et lui assénant : « On va violer ta mère ».
     
    Selon la jeune fille, les insultes auraient été proférées « au nom d’Allah ». L’homme l’a également menacée de mort : « Que je ne te revoie pas, sinon je vais t’étrangler ». D’après le Canard enchainé, il aurait également menacé de dévoiler le lieu où elle était en vacances sur les réseaux sociaux.

    Un an avec sursis

    Alerté, le responsable du séjour linguistique auquel elle participait a prévenu la police. L’homme habite en France et a été arrêté le lendemain des faits. Il a été condamné à un an de prison avec sursis.
     
    En juillet, l’avocat de la jeune fille révélait qu’elle avait reçu plus de 30 000 menaces de morts depuis sa sortie sur l’islam. Parmi elles, de violentes diatribes comme : « Je vais t’égorger, je vais te sortir tes tripes et te les faire manger puis je te violerai ensuite », toujours « au nom du Prophète ». En juin, un mineur avait été interpellé pour « menaces de mort »« usurpation d'identité d'un tiers » et « envoi réitéré de messages malveillants ». Il avait déclaré aux enquêteurs « assumer totalement » ses propos et avoir fait « le boulot que les juges et la police ne font pas… ou trop lentement ». Déscolarisée puisque l’Education nationale n’a pas trouvé de structure garantissant sa scolarité, la jeune Mila est désormais dans un internat.

    Mila menacée pendant ses vacances, Mila, homosexualité, valeurs actuelles, homophobie, islam, fait divers, Il-Kalanka Bay, Malte

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  • “J’ai tout donné à la macronie” : déçue de ne pas être ministre, Aurore Bergé a couru en pleurs dans le parc de Matignon

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    “J’ai tout donné à la macronie” : déçue de ne pas être ministre, Aurore Bergé a couru en pleurs dans le parc de Matignon

    La députée LREM aurait mal vécu, le 6 juillet dernier, de ne pas être nommée au gouvernement.

    En convolant d’une famille politique à l’autre, Aurore Bergé espérait probablement satisfaire à ses hautes ambitions. À tout le moins, elle s’imaginait ministre sous la macronie, en atteste l’anecdote rapportée par Le Point, ce jeudi 30 juillet.

    « Elle est partie en courant »

    Le 6 juillet, les parlementaires de la majorité sont invités à un pot d’arrivée, à Matignon, du nouveau locataire des lieux, Jean Castex. Aurore Bergé, présente, est « stupéfaite de ne pas avoir été nommée ministre de plein exercice lors du remaniement », explique l’hebdomadaire. Ce jour-là, le Premier ministre vient à peine de dévoiler les noms de ceux qu’Emmanuel Macron et lui-même ont choisis pour la fin du quinquennat. Alors, déçue de ne pas en être, l’élue de 33 ans « craque », explique Le Point.

    Un participant à l’événement raconte la scène : « C'était lunaire ! Elle est partie en courant dans le parc et en est revenue peu après avec les yeux encore rougis. On l'entendait dire tout haut : ‘J’ai tout donné à la Macronie !’ » Cet indiscret du Point fait écho à un autre, celui-ci de L’Opinion : Aurore Bergé, qui n’a même pas obtenu un secrétariat d’État dans la nouvelle équipe gouvernementale, « insupporte en haut lieu », explique le journal. En cause, notamment, « sa façon de survaloriser les attaques dont elle fait l’objet ».

    Aurore Bergé dément

    « Je vous remercie pour votre intérêt particulièrement marqué concernant mon activité lacrymale supposée (et fantasmée). En attendant, je préfère être en séance à l'Assemblée nationale afin que nous puissions voter la PMA pour toutes », a-t-elle réagi, jeudi, sur Twitter, à l'information dévoilée par Le Point.

    Je vous remercie pour votre intérêt particulièrement marqué concernant mon activité lacrymale supposée (et fantasmée).

    En attendant, je préfère être en séance à l'assemblée nationale afin que nous puissions voter la #PMApourToutes. Ça me paraît plus important.

    Lien permanent Catégories : Anne Hidalgo, Association, Aurore Bergé, Blog, Décès - Mort - Hommage, Elections, Europe - (Union Européenne), Fait-Divers, Gabriel Attal, Gay & Lesbien, Gérald Darmanin, Homophobie, Homosexualité, Jeux, Journalisme, La République En Marche (LaREM), Législatives, Livre, Loisirs, Mouvement Démocrates (MoDem), Municipales, Musique, People, Photos, Pôle Emploi, Politique, Premier Ministre, Présidentielle, Presse, Réformes, Réseaux Sociaux - Internet - WebMaster, Santé, Science, Shopping, Sida -Aids, Sport, Vinyle Is Back, Voyage, Web 0 commentaire
  • Sebastián Athié est mort, il avait 24 ans (acteur de Disney)

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    L’acteur de Disney Sebastián Athié est mort, il avait 24 ans

    Dimanche 5 juillet, Disney Channel Latin America a annoncé la mort de Sebastián Athié, star de la série "Once", à l'âge de 24 ans. 

    Une disparition tragique pour la grande famille Disney. Dimanche 5 juillet, la chaîne Disney Channel Latin America a annoncé la mort de l'acteur Sebastián Athié, à l'âge de 24 ans. "Repose en paix, Sebas. Ton art et ton sourire restent pour toujours", peut-on ainsi lire sur le compte Instagram de la chaîne, à propos de l'interprète de Lorenzo dans la série Once, qui raconte l'histoire d'un adolescent qui rêve de devenir footballeur.

     

    "Nous regrettons le départ de Sebastián Athié et nous nous souviendrons toujours de lui pour son talent, sa compagnie, son professionnalisme et surtout son cœur énorme. Nous accompagnons sa famille, ses amis et ses fans dans ses adieux", peut-on également lire. Une mort tragique, dont les causes n'ont toutefois pas encore été révélées précise People.

    Daniel Patiño dévasté par la mort de sa co-star

    Né le 26 juillet 1995 à Santiago de Querétaro, Mexique, Sebastián Athié était devenu une star depuis 2019 sur la chaîne Disney Channel Latin America. Très touché par la mort de l'acteur, sa co-star Daniel Patiño lui a rendu un vibrant hommage sur Instagram. "Les âmes nobles ne meurent pas et ta lumière sera éternelle, passion, discipline et amour, alors je me souviendrai de toi, mon colocataire, mon ami, mon frère", a ainsi écrit le comédien, avant de poursuivre : "Dieu a ta sainte gloire, je ne comprends pas toujours ses plans, et pour la première fois je sais ce que ça fait de perdre un frère, tu vas me manquer". Très présent sur les réseaux sociaux, Sebastián Athié n'avait toutefois rien publié depuis le 7 juin dernier.

    "Nous regrettons le départ de Sebastián Athié et nous nous souviendrons toujours de lui pour son talent, sa compagnie, son professionnalisme et surtout son cœur énorme. Nous accompagnons sa famille, ses amis et ses fans dans ses adieux", peut-on également lire. Une mort tragique, dont les causes n'ont toutefois pas encore été révélées précise People.

  • Star Academy : pourquoi Elodie Frégé aimerait ne plus voir certaines images

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    Star Academy : pourquoi Elodie Frégé aimerait ne plus voir certaines images

    Élodie Frégé est récemment revenue sur ses débuts à la Star Academy, révélant qu'il existe certains enregistrements de ses prestations qu'elle souhaiterait voir disparaître.

    Il y a quelques mois, Olivia Ruiz revenait avec amertume sur sa participation à la seconde saison de la Star Academy. C'est aujourd'hui au tour d'Elodie Frégé d'exprimer quelques regrets quant à cette expérience qui l'a révélée au public. La grande gagnante de la Star Academy 3 a confié dans les colonnes de Télé Cable Sat son envie de voir disparaître les images de ses prestations dans l'émission culte, avant de préciser sa pensée sur Instagram.

     

    Ce n'est pas la première fois qu'Élodie Frégé revient sur son passage par la Star Academy. Invitée d'Eric Naulleau en octobre 2019 dans le cadre de l'émission "De quoi j'me mêle" sur C8, la chanteuse avait déjà évoqué cette expérience : "Ça fait 16 ans, je suis passée à autre chose. Je m'en suis servie comme d'un tremplin. Je vivais dans un coin paumé de la France, je n'avais pas assez d'argent pour me payer une école (...) J'ai dit non au début, et puis finalement j'ai gagné."

    "J'étais tellement désincarnée, à côté de mes pompes"

    Si aujourd'hui, la chanteuse de 38 ans reste reconnaissante à l'émission de lui avoir permis d'accomplir son rêve, elle ne semble plus assumer celle qu'elle était à l'époque : "Si les images pouvaient disparaître, cela m'arrangerait. J'étais tellement désincarnée, à côté de mes pompes. Je n'assumais pas mon premier album." Et si celui-ci a tout de même été vendu à 200 000 exemplaires, pour la chanteuse, c'est sa collaboration avec Benjamin Biolay qui a réellement marqué son envol artistique. Pour elle, c'est son second disque "Le jeu des 7 erreurs", composé par l'interprète de Comment est ta peinequi a été le vrai "tournant" de sa carrière : "Il m'a écrit de magnifiques chansons."

    Au lendemain de la publication de l'interview rapportée par Télé Cable Sat, la chanteuse a souhaité apporter quelques précisions concernant ses propos, et s'est expliquée dans une story publiée sur son compte Instagram. "Je n'ai aucun regret concernant ma participation à l'émission qui m'a révélée en 2003, bien au contraire. En revanche, je serais d'accord pour ne plus revoir certaines de mes prestations peu glorieuses qui continuent de circuler sur le Net : J'AI LE DROIT OUI OU NON ?", a écrit la chanteuse avant de conclure "J'en profite pour envoyer mon coeur à tous ceux qui m'ont soutenue à l'époque malgré mes grands doutes et mon hypersensibilité, souvent causes de certaines prestations que personnellement j'estime bancales."

    Un beau témoignage de reconnaissance de la part de celle qui serait actuellement au travail sur son cinquième album.

  • Pour Jean-Michel Aphatie, la robe d'Aurore Bergé à Salut Les Terriens n'était pas "très adaptée"

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    Pour Jean-Michel Aphatie, la robe d'Aurore Bergé à SLT n'était pas "très adaptée"

    Aurore Bergé sur le plateau de "C à vous" lundi.France 5

    Après son passage sur le plateau de «Salut Les Terriens» samedi, Aurore Bergé a subi de nombreuses remarques sexistes sur les réseaux sociaux. Lundi, c'est Jean-Michel Aphatie qui a fait remarquer à la députée LREM à «C à vous» que sa tenue de samedi n'était «peut-être pas très adaptée» à un plateau télé. 

    La députée LREM Aurore Bergé a beaucoup fait parler d'elle après son passage à «Salut les Terriens» samedi. Non pas pour son discours ou ses idées, mais parce que de nombreux internautes ont jugé que sa robe était trop courte. Face à un flot de remarques sexistes sur sa tenue vestimentaire, la porte parole du groupe La République en Marche à l'Assemblée avait réagi sur Twitter. «Alors vous savez quoi ? Je n'ai pas à être jugée sur la longueur de ma robe. Ni moi, ni aucune femme. Je n'ai pas à subir d'insultes, de harcèlement ou pire, en raison d'une robe. Ni moi, ni aucune femme. Rien ne justifie ou n'excuse cela», avait-elle écrit. Lundi, sur le plateau de «C à vous», la politique a évoqué une nouvelle fois l'incident. «J'ai choisi de mettre une robe sur un précédent plateau et je ne pensais pas que la longueur de ma robe allait être un débat (...) Je me dis que j'aimerais pas être dans la tête de celles et ceux qui passent leur temps à commenter la vie des autres et qui prennent beaucoup de temps pour ça», a-t-elle dit avant de se déclarer surprise «qu'en 2018, une femme soit encore jugée par rapport à la tenue qu'elle porte plutôt que par rapport aux propos qu'elle tient».

     

    A lire aussi :SLT : Visée par des remarques sexistes sur sa robe, la députée Aurore Bergé monte au créneau

    "On s'habille en fonction du lieu où l'on va" estime Jean-Michel Aphatie

     
     

    Face à elle, Jean-Michel Aphatie a lui estimé que toute personne doit adapter sa tenue aux circonstances. «Mettons de côté les insultes, bien sûr rien ne les justifie, "On s'habille comme on veut". Pas tout à fait. On s'habille en fonction du lieu où l'on va. Quand on va à un enterrement, on réfléchit à comment on s'habille. De la même manière quand on va à la télévision, on ne vient pas en t-shirt par exemple (...) La manière dont on s'habille, pour une femme comme pour un homme, peut être un parasite par rapport au discours, au propos que l'on tient. Peut-être que votre tenue, pour le dire clairement, n'est pas très adaptée à une prise de parole politique qui a toujours un peu de solennité au fond».

    A lire aussi :Aurore Bergé témoigne sur le sexisme en politique : «Il faut faire le ménage»

    «Je ne suis pas à l'Assemblée nationale, je suis sur un plateau de télévision, ça n'est pas exactement la même chose», a rétorqué Aurore Bergé. «Je réclame que les femmes aient le droit de s'habiller comme elles veulent qu'elles soient députées, qu'elles soient salariées du privé, du public, fonctionnaires, retraitées, peu importe, elles s'habillent comme elles veulent, a-t-elle fait valoir avant de conclure : Ce n'est pas parce que je suis une femme et que je suis députée par ailleurs que je n'ai pas le droit de choisir la robe que je vais mettre ou si je ne mets pas une robe».

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  • Read and Watch Our New Ringo Starr Interview on His 80th Birthday

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    Ringo Starr was hoping to have a big party for his 80th birthday on July 7th, but the pandemic is keeping him away from his friends and loved ones. Instead, he’s throwing Ringo’s Big Birthday Show, a virtual charity concert that will hit YouTube at 8 p.m. EST July 7th, and he also recorded an episode of the Rolling Stone Interview: Special Edition video series. Below are some highlights from the wide-ranging conversation; for the full interview, press play above.

    How have you been coping with the semi-isolation of this time?
    Mainly, I haven’t left the house, I think, in 11 weeks now.  And only this month, I had the engineer over and I played. This is just a one-bedroom cottage and the bedroom has the best drum sound we’ve had in a long time. I do a bit of that and I have a paint room, a little art room. And I’m going in there, painting and doing stuff. And I love to sit in the sun. I love L.A.. I love the brightness and hanging out. That’s all we’re doing.

    I couldn’t help but think of when you were a child and you were trapped in a hospital for so long. I don’t know if it reminds you of that time. Obviously, this is a lot better, I would assume.
    Yeah, there’s less pain. Physically. You know, you’re a kid, you’re in a hospital. I mean, first time was [at age] seven for a year.  I went in six and a half, and I came out at seven and a half. And the second time, I had my 14th birthday in hospital and we sort of convinced everyone that I was fit enough to go out. So they let me out a couple of weeks before my 15th birthday.

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  • Les avocats de Johnny Depp tentent d'accréditer la thèse d'une Amber Heard violente

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    Les avocats de Johnny Depp tentent d'accréditer la thèse d'une Amber Heard violente

    Les avocats de Johnny Depp ont tenté vendredi d'accréditer la thèse selon laquelle c'est Amber Heard, l'ex-femme de l'acteur américain, qui était capable de violence, présentant à l'appui des extraits de vidéos reçus anonymement.

    L'acteur de 57 ans poursuit en diffamation la société éditrice du tabloïd The Sun, NGN pour l'avoir qualifié en avril 2018 de mari violent.

    Le héros de "Pirates des Caraïbes" rejette fermement cette accusation, affirmant n'avoir jamais levé la main sur une femme et accuse en retour de violences son ex-épouse, qu'il dépeint comme une calculatrice narcissique et sociopathe qui veut détruire sa vie.

    A la fin de la troisième semaine de ce procès devant la Haute Cour de Londres, l'équipe de Johnny Depp a versé à la procédure des extraits vidéos issus du tournage d'une émission de téléréalité datant de 2006-2007. Ces preuves de dernière minute, reçues la veille d'une source anonyme, seraient à leurs yeux de nature à accréditer la thèse d'une Amber Heard violente.

    Ces images montrent la sœur de l'Américaine de 34 ans, Whitney Henriquez, questionnée autour d'une piscine par d'autres participantes sur des marques sur son visage et le haut de sa poitrine, qui n'apparaissent pas néanmoins de manière évidente sur les images de médiocre qualité. 

    -"Botté les fesses"-

     

    "Je n'arrive pas à croire qu'Amber t'ait botté les fesses", entend-on l'une des participantes dire à Mme Henriquez. "Tu t'es battue ?", continue-t-elle en inspectant le corps de la jeune femme, ajoutant : "Elle t'a vraiment botté les fesses". Face aux questions pressantes, Whitney Henriquez rétorque qu'elle ne veut pas en parler.

    "D'abord, c'était vraiment une mauvaise émission de téléréalité", a dénoncé la sœur de l'actrice, questionnée vendredi après le visionnage de ces extraits.

    La jeune femme a expliqué qu'elle faisait référence à une "dispute verbale", pas "physique". Sous le feu roulant des questions de l'avocate Eleanor Laws, elle a répété que les autres participantes n'avaient d'autre but que de tenter de pimenter une conversation d'une totale platitude, de "créer une histoire", en "cherchant des blessures qui n'étaient pas là".

    "On ne voit aucune marque", a-t-elle souligné, répétant que sa sœur avait bien été victime de "violences domestiques".

    Amber Heard et Johnny Depp s'étaient rencontrés en 2011 sur le tournage de "Rhum Express" et ont divorcé début 2017, après moins de deux ans d'un mariage orageux.

    Le procès se poursuit lundi et mardi avec les plaidoiries des avocats.