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Politique - Page 6

  • Covid-19 : Un nombre record de contaminations dans le monde en une seule journée

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    L'OMS a enregistré samedi une augmentation record du nombre de cas confirmés de contaminations au coronavirus dans le monde, avec une hausse de 212.326 cas en 24 heures. La Floride vient d'annoncer un couvre-feu.

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a enregistré samedi une augmentation record du nombre de cas confirmés de contaminations au coronavirus dans le monde, avec une hausse de 212.326 cas en 24 heures.

    Les augmentations les plus importantes ont été constatées aux Etats-Unis, au Brésil et en Inde, selon les données quotidiennes de l'OMS.

    Le dernier record, qui faisait état d'une hausse de 189.077 cas de contaminations confirmées en une journée, date du 28 juin. Le nombre de décès est resté stable à 5.000 par jour en moyenne.

    Le nombre total de contaminations confirmées a franchi vendredi les 11 millions, selon un décompte établi par l'agence Reuters, marquant une étape importante dans la propagation de l'épidémie.

    Près de 130 000 morts aux Etats-Unis

    Les Etats-Unis ont enregistré 52.492 nouveaux cas de contamination au coronavirus au cours de la seule journée de samedi, a rapporté la principale agence fédérale américaine en matière de protection de la santé publique.

    L'agence a également recensé 749 décès supplémentaires en l'espace de 24 heures, ce qui amène le bilan total à 129.397 morts.

    Dans sept Etats du pays (Alabama, Alaska, Idaho, Mississippi, Caroline du Nord, Caroline du Sud et Tennessee), la progression sur 24 heures est sans précédent depuis le début de l'épidémie.

    Un couvre-feu en Floride

    En Floride, qui a enregistré 11.458 cas supplémentaires sur la seule journée de samedi après un record de 10.109 jeudi, un couvre-feu a été instauré dans le comté de Miami-Dade, le plus peuplé de l'Etat, à compter de vendredi, coup d'envoi des festivités de la Fête de l'indépendance.

    Les autorités locales ont également empêché la réouverture de lieux de divertissements comme les casinos et les clubs de strip-tease. Le port du masque en public y est déjà obligatoire depuis cette semaine, de même que dans le comté voisin de Broward.

    Dans l'Arkansas, le gouverneur républicain Asa Hutchinson a autorisé vendredi les municipalités à prendre des arrêtés rendant le port du masque obligatoire.

    La veille, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, avait lui aussi pris une décision similaire après s'être longtemps opposé au port obligatoire du masque.

    Le rebond de l'épidémie de coronavirus, particulièrement marqué dans les Etats du Sud et de l'Ouest du pays, a alarmé les responsables de la santé publique qui ont redoublé de messages de prudence à l'approche du week-end du 4-Juillet, où les Etats-Unis célèbrent la Déclaration d'indépendance de 1776.

    Bill Saffo, maire de Wilmington, en Caroline du Nord, a expliqué que les enquêtes épidémiologiques avaient permis d'imputer de nombreuses contaminations à des rassemblements de grande ampleur, et a ajouté que les festivités du 4-Juillet allaient vraisemblablement amplifier la tendance surtout si la population ne respecte pas les règles de distanciation physique ou s'abstient de mettre un masque.

    Nouvelle poussée

    "Nous savons que cette transmission va se produire. Nous savons que probablement dans deux semaines, nous observerons une nouvelle poussée liée au week-end du 4-Juillet", a-t-il dit sur CNN.

    Au niveau national, la progression de l'épidémie était vendredi soir de 53.483 nouveaux cas, selon le décompte de Reuters, en deçà du record observé la veille avec 55.405 cas supplémentaires sur une journée.

    La mortalité quotidienne a reculé ces dernières semaines, sans doute le signe de la proportion croissante parmi les cas positifs de personnes jeunes et en bonne santé, moins exposés aux formes les plus graves du Covid-19.

    Pour autant, Jerome Adams, médecin fédéral en chef, a appelé à la prudence: les effets en matière de mortalité du rebond observé depuis la mi-juin ne sont pas encore visibles et il faudra encore attendre au moins deux semaines, a-t-il dit sur Fox.

    Depuis le début de l'épidémie, les Etats-Unis ont enregistré plus de 2,7 millions de cas, ce qui représente près du quart des quelque 520.000 décès provoqués par le Covid-19 depuis le tout premier mort, le 10 janvier dernier dans la ville chinoise de Wuhan.

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  • Ma consœur Ruth Elkrief annonce l'arrêt de son émission quotidienne sur BFMTV

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    Clap de fin pour 19h Ruth Elkrief sur BFMTV. La journaliste politique annonce dans le Journal du dimanche qu'elle arrête sa quotidienne sur la chaîne info et dévoile ses nouveaux projets.

    Une page se tourne pour Ruth Elkrief. Dans une interview accordée au Journal du dimanche paru ce 5 juillet, la journaliste politique, véritable pilier de BFMTV, dévoile qu'elle ne présentera plus sa tranche d'information quotidienne à 19 heures à la rentrée.

    "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps"

    Pas question toutefois pour Ruth Elkrief de quitter BFMTV, dont elle présenta le premier journal en 2005. Elle veut juste "s'éloigner un peu de l’info en continu pour privilégier l’approfondissement, la réflexion". A la rentrée, la journaliste aura "plusieurs missions", dont "la préparation de l’élection présidentielle" et, surtout, "une grande interview hebdomadaire".

    Cette dernière, d'une durée d'une heure, sera diffusée "le samedi vers 13 heures puis dans la soirée". L'interview elle-même sera enregistrée "hors studio, en situation, et inclura des images". Quant à l'invité, il n'appartiendra pas forcément au giron politique, il s'agira plus largement de "quelqu’un au cœur de l’actualité de la semaine", précise Ruth Elkrief, qui veut "moins travailler sur le petit jeu politicien que sur la politique au sens noble".

    Alors que le groupe NextRadioTV est en plein conflit social avec des suppressions de postes annoncées et un mouvement de grève inédit qui a perturbé l'antenne de BFMTV en plein second tour des élections municipales, Ruth Elkrief assure qu'elle n'est pas mise à l'écart par sa direction et que cette décision est entièrement la sienne. "Ça correspond à un moment de ma vie où j’ai envie de prendre du temps, d’approfondir plutôt que de seulement courir après l’actualité, même si j’adore l’info", affirme-t-elle, expliquant : "C’est une forme de réinvention, un nouveau défi. J’aurai plus de temps, plus de recul, plus de distance ;

    sincèrement, ça me manquait."

  • Coronavirus : Emmanuel Macron appelle les Français à la vigilance et à l’unité

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    Coronavirus : Emmanuel Macron appelle les Français à la vigilance et à l’unité

    PANDEMIE - Lors d’une cérémonie à Bormes-les-Mimosas, le chef de l’Etat a appelé à prendre pour modèle l’esprit ayant conduit à la libération de la France il y a 76 ans

    Les autorités ne cessent d’alerter les Français sur l’effort collectif à faire pour éviter une 2e vague de contaminations. A son tour, le président a profité de sa participation, comme chaque année depuis trois ans, à la cérémonie d’anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas dans le Var pour alerter l’opinion. Emmanuel Macron a ainsi appelé lundi les Français à faire preuve de vigilance « face à un virus qui réaccélère » et « d’unité », en dressant un parallèle avec l’esprit ayant conduit à la libération de la France il y a 76 ans.

    Ne pas isoler les personnes vulnérables

    « A l’heure où notre pays, comme beaucoup d’autres, traverse une crise inédite, la crise sanitaire exige que nous nous protégions tous mutuellement, que nous soyons chacun responsable de tous », a déclaré le chef de l’Etat dans la commune sur laquelle se trouve le fort de Brégançon, la propriété de l’Etat où il passe ses vacances. « Nous aurons, dans les prochaines semaines, à continuer à affronter une crise sanitaire qui prend une forme différente (…) Il faut redoubler d’attention pour les personnes vulnérables (…), mais sans les isoler », selon le chef de l’Etat.

    Au cours de son allocution devant les élus et des anciens combattants, il a mis en avant des analogies entre la situation actuelle et celle ayant mené au débarquement des Alliés en Provence en août 1944 et à la victoire sur les Nazis. Il a notamment loué cette « unité, cette capacité d’agir ensemble, de donner de son temps » dont ont fait preuve les combattants de cette époque mais aussi « le pays » depuis le début de la crise du Covid-19. « C’est ce que nous aurons à continuer de relever dans les semaines et les mois qui viennent, devant la reprise de l’épidémie, face aux difficultés économiques, sociales, face aux crises internationales que notre pays aura immanquablement » à affronter, a-t-il ajouté.

    Retour sur la polémique mémorielle

    Au cours de son allocution, Emmanuel Macron est également revenu brièvement sur la polémique mémorielle qui a éclaté au début de l’été après la mort de George Floyd aux Etats-Unis. « Notre histoire est un bloc », a déclaré le président. « On en apprend toujours, nos historiens continuent de révéler la vérité, de mieux comprendre, l’historiographie poursuit son chemin. Mais ne cherchons pas à déboulonner des statues et à effacer des noms ».

    Emmanuel Macron doit séjourner jusqu’à la fin de la semaine au fort de Brégançon, où il recevra jeudi la chancelière allemande Angela Merkel avant de regagner l’Elysée. Il présidera lundi le Conseil des ministres de rentrée au cours duquel sera présenté le plan de relance.

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    20 Minutes avec AFP

  • Compassion et Solidarité avec le peuple Libanais

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    ➔ Solidarité avec le peuple Libanais et les habitants de Beyrouth... Et j'adresse toutes mes «pensées et prières» aux victimes de ces explosions... 

    Chris Bénazeth Guillamon

  • Israël met en garde Macron de façon cash : “Quiconque ignore une organisation terroriste ne doit pas s’étonner qu’un matin tout explose”

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    La diplomatie israélienne s’est adressée lundi directement au président français Emmanuel Macron pour le mettre en garde contre la présence du groupe terroriste Hezbollah dans l’avenir du Liban.

    “Monsieur le Président Emmanuel Macron, l’avenir du Liban dépend d’une chose – l’éradication du Hezbollah. Quiconque ignore une organisation terroriste ne doit pas s’étonner qu’un matin tout explose”, a déclaré sur Twitter l’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Danny Danon.

     

    Depuis l’explosion du port de Beyrouth, le dirigeant français occulte la responsabilité du groupe terroriste dans l’explosion et dans la grave crise économique, sociale et politique que traverse le Liban.

    Selon l’agence de presse Reuters, Emmanuel Macron aurait même conseillé au président Trump de lever les sanctions contre le Hezbollah, qui seraient selon lui “contre-productives”.

    La rédaction Le Monde Juif .info | Photo : DR

  • Solidarité avec le peuple Grecs

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    ➔ Solidarité avec le peuple Grecs... Et j'adresse toutes mes «pensées et prières» aux habitants de la Grèce...  Face aux menaces de la Turquie...

    Chris Bénazeth Guillamon

  • Solidarité avec le peuple Libanais

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    Solidarité avec le #Liban

     
    Drapeau du Liban ➔ Solidarité avec le peuple Libanais et les habitants de Beyrouth... Et j'adresse toutes mes «pensées et prières» aux victimes de ces explosions...  Chris Bénazeth Guillamon
  • Beyrouth meurtri par la double explosion accueille le président français Emmanuel Macron

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    Beyrouth meurtri par la double explosion accueille le président français Emmanuel Macron

    Alors que le président français Emmanuel Macron est attendu jeudi à Beyrouth, les secours continuent de chercher des victimes parmi les débris de la double explosion qui a ravagé la capitale libanaise. Des dizaines de personnes sont portées disparues.

     

    Deux jours après les violentes explosions qui ont réduit la capitale libanaise à une ville en état d'urgence et en proie au chaos, le président français Emmanuel Macron se rend jeudi 6 août à Beyrouth.

    Il est le premier chef d’Etat à se déplacer dans ce pays depuis la catastrophe de mardi. Il y sera confronté à une situation "apocalyptique", des centaines de milliers de personnes brutalement privées de toit et de ressources et un bilan encore provisoire d'au moins 113 morts et 4 000 blessés. 

    Attendu à Beyrouth à midi, Emmanuel Macron visitera le lieu de la catastrophe, s'entretiendra avec les principaux responsables libanais et donnera une conférence de presse vers 18h30 locales avant de rentrer en France.

    Plusieurs pays dont la France ont déjà dépêché des équipes de secouristes et du matériel pour faire face à l'urgence après la double explosion présentée comme accidentelle par les autorités qui a ravagé le port et une grande partie de la capitale.

    "La situation est apocalyptique, Beyrouth n'a jamais connu ça de son histoire", a lancé le gouverneur de la ville, Marwan Abboud, qui avait éclaté en sanglots mardi devant les caméras face au port dévasté. Jusqu'à 300.000 personnes sont sans domicile selon lui. L'état d'urgence a été décrété pendant deux semaines

    Des dizaines de disparus

    Les énormes déflagrations, les pires vécues par le Liban, ont été déclenchées par un incendie qui s'est déclaré dans un entrepôt abritant depuis six ans quelque 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium, "sans mesures de précaution", selon les autorités. Elles ont pratiquement détruit le port et dévasté des quartiers entiers de Beyrouth, soufflant les vitres des kilomètres à la ronde.

    Une source officielle informée des premiers résultats de l'enquête sur les causes de la catastrophe a déclaré que l'explosion était le résultat de négligences et que ce point avait été examiné à plusieurs reprises par différentes commissions et par la justice sans que "rien ne soit fait" pour ordonner l'évacuation de ces matières extrêmement dangereuses.

    Selon Reuters, de source ministérielle, les autorités ont ordonné l'assignation à résidence des responsables portuaires chargés des entrepôts ou de surveiller les matériaux incriminés depuis 2014.

    Des dizaines de personnes restaient portées disparues mercredi selon le gouvernement, tandis que les secouristes poursuivaient leurs recherches dans l'espoir de retrouver des survivants.

    Cette tragédie frappe un pays plongé depuis des mois dans une très grave crise économique, marquée par une dépréciation inédite de sa monnaie, une hyperinflation, des licenciements massifs et des restrictions bancaires drastiques.

    Ses effets ont été encore aggravés par la pandémie de coronavirus, qui a contraint ces derniers mois les autorités à confiner pendant plus de trois mois sa population.

    L'Agence de l'ONU pour l'agriculture et l'alimentation, la FAO, dit à présent craindre à brève échéance un problème de disponibilité de farine pour le Liban, des silos de céréales installés près du port ayant été éventrés.

    La colère des Libanais

    Sous le choc, les Libanais ont crié leur colère face à cette catastrophe de trop. "Partez tous! (...) Vous êtes corrompus, négligents, destructeurs, immoraux. Vous êtes des lâches. C'est votre lâcheté et votre négligence qui ont tué les gens", a lancé un journaliste libanais connu, Marcel Ghanem, dont l'émission télévisée jouit d'une grande audience. Le mot-dièse "Pendez-les" circulait sur Twitter.

    L'importante diaspora libanaise a elle aussi réclamé des comptes. "Cette tragédie est une preuve de plus de l'incompétence de la classe politique qui a gouverné le Liban depuis plusieurs décennies", s'est indigné Antoine Fleyfel, philosophe et théologien franco-libanais, vivant en France.

    Selon des sources de sécurité, les autorités du port, les services des douanes et des services de sécurité étaient tous au courant que des matières chimiques dangereuses étaient entreposées au port mais se sont rejeté mutuellement la responsabilité du dossier.

    Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) a de son côté annoncé mercredi reporter la lecture du jugement, prévue pour vendredi, dans le procès de quatre hommes accusés d'avoir participé en 2005 à l'assassinat de l'ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri, "par respect pour les innombrables victimes" des explosions.

    Avec AFP