Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Voyage - Page 2

  • Alexandre Benalla de nouveau mis en examen pour ses passeports diplomatiques

    Imprimer Pin it!

    Alexandre Benalla de nouveau mis en examen pour ses passeports diplomatiques

    L'ex-chargé de mission de l'Elysée est poursuivi pour "faux" et "usage de faux"

    ENQUÊTE - L'ex-chargé de mission de l'Elysée est poursuivi pour "faux" et "usage de faux"

    Alexandre Benalla a été une nouvelle fois mis en examen, le 11 février, dans l’enquête sur ses passeports diplomatiques, cette fois pour "faux" et "usage de faux", a appris l’AFP vendredi de source judiciaire, confirmant une information de Mediapart.

    Dans ce dossier, l’ex-chargé de mission de l’Elysée était déjà mis en examen depuis janvier 2019 pour "usage public et sans droit d’un document justificatif d’une qualité professionnelle".

    Un nouvel épisode judiciaire

    Il avait à cette époque été également placé sous le statut de témoin assisté, intermédiaire entre le simple témoin et la mise en examen, pour "abus de confiance", "faux et usage de faux document administratif" et "obtention indue de document administratif". Son avocate s’était dite "très très contente" de l’issue de cette comparution.

    Le 11 février dernier, le juge d’instruction en charge du dossier a donc décidé de le mettre également en examen pour "faux et usage de faux document administratif". Cette enquête vise à éclaircir les conditions dans lesquelles l’ancien chargé de mission à l’Élysée a continué à utiliser des passeports diplomatiques après sa mise en examen en juillet 2018 pour des violences lors du 1er-Mai et son limogeage.

    Des voyages en Afrique

    Trois proches collaborateurs d’Emmanuel Macron, dont le secrétaire général de l’Elysée Alexis Kohler et son chef de cabinet d’alors, François-Xavier Lauch, ont été entendus en avril 2019 par les juges chargés de cette enquête.

    Après avoir affirmé dans un premier temps devant le Sénat les avoir laissés dans son bureau à l’Elysée, M. Benalla avait reconnu avoir récupéré et utilisé ces passeports, puis les avait rendus. Selon Mediapart et Le Monde, M. Benalla a utilisé l’un de ses deux passeports diplomatiques pour entrer dans plusieurs pays africains.

    Outre le dossier des passeports, Alexandre Benalla a également été mis en examen pour les violences commises en marge du défilé du 1er-Mai 2018 et pour le selfie pris avec une arme durant la campagne présidentielle de 2017.

  • Le polémiste Dieudonné réclame l’asile politique à la Turquie

    Imprimer Pin it!

    Le polémiste Dieudonné réclame l’asile politique à la Turquie

    L’humoriste, condamné à de multiples reprises, a fait sa demande d’asile politique le 15 avril dernier auprès du président Erdogan.

    Procès de Dieudonné : le polémiste assure être victime de « deepfake » sur la vidéo qui l’incrimine

    Dans un climat de tension toujours vif entre la France et la Turquie, la dernière provocation en date est signée Dieudonné M’Bala M’Bala, rapportent nos confrères du Point. Le polémiste a fait une demande d’asile politique le 15 avril dernier, selon nos confrères, directement auprès du président turc Recep Tayyip Erdogan. Un pied de nez à son pays qui lui est permis grâce à son passeport… français justement, puisque la Turquie n’accepte les demandes d’asile que lorsqu’elles proviennent de pays européens.

    Et selon Le Point, en plus des facilités accordées par son passeport, la Turquie ne serait pas une destination par défaut. Le pays accueille en effet de nombreux artistes ou polémistes venus s’y réfugier. Son avocat confirme d’ailleurs qu’il compte y aller avec sa famille. Il devrait y retrouver d’autres figures complotistes, proches d’Alain Soral par exemple, comme Stéphane Blet.

    Habitué des tribunaux

    Il faut dire que le polémiste est un habitué des tribunaux français. Condamné à suppression maintes reprises pour des propos antisémites, racistes ou homophobes, il vient d’être jugé ce 12 mai pour « injure publique et provocation à la haine ». Le premier dossier concerne des insultes contre un ancien délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT. Le deuxième concerne des vidéos remontant au mois de mai 2020. Comme Valeurs actuelles l’évoquait, il avait également été condamné en appel à verser 9 000 euros d’amende pour « complicité d’injure à caractère antisémite » à propos de sa chanson se moquant de la Shoah.

    Dieudonné est également banni de plusieurs plateformes vidéo. En outre, il avait défrayé la chronique début mars en revenant de Turquie sans test PCR et avait dû faire repousser son procès à cause d’une quarantaine obligatoire de sept jours. Le 27 mars, on apprenait également que Manuel Valls portait plainte pour diffamation contre Dieudonné, ce dernier l’avait accusé d’ « agression sexuelle ».

    La Turquie, défenseur de la liberté d’expression ?

    Cette demande d’asile politique fait en tout cas le jeu des médias publics turcs, fervents soutiens d’Erdogan, qui se sont emparés de l’affaire pour faire monter la tension entre les deux pays. TRT présente Stéphane Blet et Dieudonné comme des « artistes engagés » et « obligés de quitter la France en raison de leurs opinions politiques ». D’ailleurs, selon le média, la Turquie serait le seul pays à permettre une totale liberté d’expression aux deux polémistes, rapporte Le Point.

    Dieudonné et Stéphane Blet vont sortir un disque pour dénoncer « l’asphyxie du pouvoir » français. « Moi j’ai l’impression que votre pays a rendez-vous avec l’Histoire, et une fois de plus, je crois que la Turquie sera au centre du grand débat qui s’annonce », loue le polémiste. Rien de bien étonnant pour nos confrères, Ankara ayant déjà accueilli dernièrement Idriss Sihamedi, salafiste et fondateur de l’ONG Baraka City.

  • Patrick Juvet est mort à l'âge de 70 ans "Ou Sont Les Femmes ?"... Il Y Aura Une Autopsie Pour Déterminer Les Causes Du Décès !

    Imprimer Pin it!

    Patrick Juvet, connu pour son tube "Où sont les femmes ?", est mort à l'âge de 70 ans

    Son agent Yann Ydoux l'a annoncé à l'AFP jeudi. Le corps de l'artiste a été retrouvé dans un appartement à Barcelone. 

    Le chanteur suisse Patrick Juvet, devenu célèbre dans les années 1970 pour son tube disco "Où sont les femmes ?", est mort à l'âge de 70 ans, a annoncé à l'AFP jeudi 1er avril son agent, Yann Ydoux. Le corps de l'artiste a été retrouvé dans un appartement à Barcelone. Les causes du décès ne sont pas encore établies. "Il y aura une autopsie, je l'avais eu au téléphone il y a trois jours, je l'avais trouvé bien", a expliqué Yann Ydoux. 

  • "Stopper Amazon avant qu’il ne soit trop tard" : l'appel de plus d'une centaine d'ONG, de syndicalistes, de citoyens et d'élus

    Imprimer Pin it!

    Entrepôt Amazon à Osterweddingen (Allemagne), en septembre 2020 (PICTURE ALLIANCE VIA GETTY IMAGES)

    "Stopper Amazon avant qu’il ne soit trop tard" : l'appel de plus d'une centaine d'ONG, de syndicalistes, de citoyens et d'élus

    Les 120 signataires de la tribune que publie franceinfo font le constat d'une "crise sans précédent qui a une nouvelle fois révélé les profondes inégalités de notre société". Ils demandent l'instauration d'une taxe exceptionnelle sur le chiffre d’affaires d’Amazon.

    Radio France

    Pour eux, Amazon apparaît comme "le grand gagnant de la crise" du Covid-19 et du confinement. Pendant que "les premiers de corvées risquent leurs vies au quotidien" et alors que "des dizaines de milliers de personnes ont perdu ou vont perdre leur emploi, et qu'un million de personnes supplémentaires sont passées sous le seuil de pauvreté en France", le géant du e-commerce a vu ses ventes "exploser" en 2020, et la fortune de son PDG Jeff Bezos dépasser les 200 milliards de dollars. Les premiers signataires de la tribune publiée par franceinfo, lundi 16 novembre, sont des responsables de la CGT, FSU, Attac, Greenpeace, Agir pour l'environnement, Confédération paysanne, Amis de la Terre, mais aussi des libraires ou des éditeurs, des maires, députés, sénateurs ou conseillers municipaux FI, PCF, EELV, PS. Ils appellent à "stopper Amazon". "La crise du Covid devrait nous servir à repenser en profondeur nos modes de consommation et de vie sociale, pas à nous enfoncer dans un monde de surconsommation prédateur", écrivent-ils.



    Nous affrontons une crise sans précédent qui a une nouvelle fois révélé les profondes inégalités de notre société. Les "premiers de corvées", très majoritairement des femmes, risquent leurs vies au quotidien, des dizaines de milliers de personnes ont perdu ou vont perdre leur emploi et un million de personnes supplémentaires sont passées sous le seuil de pauvreté en France.

    Mais tout le monde n’est pas affecté de la même manière. Amazon, le géant du e-commerce, apparaît comme le grand gagnant de la crise. Depuis le début de l’année 2020, ses ventes ont explosé et la fortune de Jeff Bezos a dépassé les 200 milliards de dollars.

    "Des gens cloîtrés chez eux, qui commandent nourriture, vêtements ou produits électroniques sur le site d’Amazon, regardent Amazon Video ou écoutent Amazon Music, c’est la situation rêvée pour Jeff Bezos."

    Les signataires de la tribune 

    à franceinfo

    Et tant pis si cela se fait au prix de 20 000 salariés contaminés par le Covid, d’une explosion du nombre de produits importés, du recours à des modes de transports polluants qui se conjuguent à des dérogations au temps de conduite des chauffeurs routiers prises par décret, de la destruction de milliers d’emplois dans les commerces de proximité, d’une évasion fiscale massive, ou de l’artificialisation des terres pour construire 19 nouveaux entrepôts en France.

    Ce développement accéléré se fait aux dépens des engagements climatiques de notre pays. En permettant de tout acheter "en un clic", Amazon favorise en réalité la multiplication d'achats superflus et suremballés, consommateurs de ressources et émetteurs de CO2.

    Dans le même temps chez Amazon, les revendications salariales sont balayées d’un revers de main, les demandes de primes exceptionnelles liées à l’augmentation de l’activité sont refusées (alors qu’elles existaient lors du premier confinement), tout comme le maintien du salaire pour celles et ceux qui doivent être confinés.

    "Un monde d’après pire qu’avant"

    Avec le second confinement et la fermeture de nombreux petits commerces, Amazon se frotte une nouvelle fois les mains. Pire, Emmanuel Macron lui déroule le tapis rouge ! Non seulement il se refuse à stopper les projets en cours d’entrepôts, centres de tri et agences de livraison, mais il a décidé d’interdire à tout le monde de vendre des produits non essentiels sauf... aux géants de la vente en ligne !

    En faisant ce choix, le président dessine un monde d’après pire qu’avant. Celui d’un capitalisme sécuritaire dominé par les GAFA, ces géants du e-commerce et de la vie numérique. Celui d’une multinationale en train d’asseoir son monopole dans la vente de milliards de produits en détruisant la vie sociale locale, une multinationale qui détruit 4,5 emplois lorsqu’elle en crée un, qui remplace progressivement ses salariés par des robots et qui a recours à des milliers de travailleurs précaires pour livrer ses produits. Conscients de ces dangers, les membres de la Convention citoyenne pour le climat ont proposé un moratoire sur la construction de nouvelles surfaces commerciales, mais Emmanuel Macron et son gouvernement font tout pour que les entrepôts de e-commerce en soient exclus.

    Les faveurs accordées par le Président au géant de Seattle ne sont pas nouvelles mais, avec la crise et le confinement, Amazon menace la survie même de l’ensemble du secteur du commerce. 

    "Si elle n’est pas stoppée, l’expansion d’Amazon pourrait conduire au doublement de sa part de marché et provoquer la destruction de 100 000 emplois partout en France."

    Les signataires de la tribune 

    à franceinfo

    Elle se traduirait également par la distribution de 2 milliards de produits supplémentaires par an et nous enfoncerait encore plus dans le chaos climatique.

    La crise du Covid devrait nous servir à repenser en profondeur nos modes de consommation et de vie sociale, pas à nous enfoncer dans un monde de surconsommation prédateur. D’où l’importance d’un moratoire pour nous permettre de réfléchir à des alternatives en matière d’emploi et de développement de la vie locale compatibles avec les enjeux climatiques et sanitaires. Le vote de la "loi CCC" (Convention citoyenne pour le climat) est la dernière opportunité pour stopper cette expansion avant que les dégâts ne soient irréversibles.

    Pour faire face à l’urgence, une taxe exceptionnelle sur le chiffre d’affaires d’Amazon et des autres profiteurs de la crise est également indispensable. Elle permettrait dans l’immédiat de financer les mesures de préservation de l’emploi et le fonds de solidarité pour les commerces de proximité.

    La fronde qui monte partout en France doit encore s’amplifier, car le monde rêvé par Amazon est en totale contradiction avec la profonde aspiration à des vies décentes sur une planète vivable. C’est la raison pour laquelle nous nous mobiliserons d’ici au 27 novembre prochain, date du “Black Friday”, pour montrer l’urgence de stopper l’expansion du géant du e-commerce avant qu’il ne soit trop tard.


    Les signataires

    Angaut Jean-Christophe, philosophe et traducteur, Aubry Manon, députée européenne, Autain Clémentine, députée LFI de Seine-Saint-Denis, Azam Geneviève, essayiste, Baujard Jacques et Giacomoni Fred, librairie Quilombo à Paris, Bayou Julien, secrétaire national d'EELV, Benbassa Esther, sénatrice écologiste de Paris, Benguigui Pia, présidente du Réseau français des étudiants pour le développement durable (Refedd), Bernalicis Ugo, député LFI du Nord, Blanchard Luc, adjoint à la mairie du Meux (60), trésorier régionale d'EELV Picardie , Bompard Manuel, député européen (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Bruneel Alain, député Gauche démocrate et républicaine du Nord, Bossuyt Arnaud, documentaliste, Snac-FSU, Bousquet Alain, économiste, Caillaud Mathieu, conseiller municipale délégué LFI Saint-André-de-Cubzac (33), Bénéteau Chloë, librairie Floury Frères, Toulouse, Camboulives Bernard, collectif En commun pour Belfort, Cervantes Descubes Evelyne, Conseillère municipale à la mairie de Bordeaux, Casenave-Camgaston Alexandra, librairie des Editeurs associés, Cassen Bernard, ancien directeur général du "Monde diplomatique", Chaibi Leïla, députée européenne (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Chamoux Émilie, conseillère municipale d'opposition, Nevers (58), Chaineaud Christel, ingénieur d'études et docteur en histoire du droit, Chassaigne André, président du groupe Gauche démocrate et républicaine, député du Puy-de-Dôme, Chauche Florian, conseiller municipal à Belfort, Clinckemaillie Dominique, conseillère municipale EELV à Beauvais (60), Chauvin-Degenne Vanessa, scénariste et réalisatrice, De Poorter Jacqueline, conseillère municipale à Gentelles (80), Coubard Etienne, porte-parole d'ANV-COP21, Damasio Alain, écrivain, Dharréville Pierre, député Gauche démocrate et républicaine des Bouches-du-Rhône, de Ronne Luc, président d'ActionAid France, Deltombe Camille, éditrice aux Editions de l'Atelier, Deltour Antoine, lanceur d'alerte LuxLeaks, Dossus Thomas, sénateur EELV du Rhône, Dubois Clémence, responsable France pour 350.org, Dufrègne Jean-Paul, député Gauche démocrate et républicaine de l’Allier, Duteil Simon, co-délégué de l'Union syndicale Solidaires, Etcheverria Magali, Bizi !, Faburel Guillaume, géographe, université Lyon 2, Ferrari Sylvie, maître de conférences en économie, Fiat Caroline, députée LFI de Meurthe-et-Moselle, Flandin Maya, directrice Librairie Vivement dimanche (Lyon), Flipo Fabrice, philosophe, Fournié-Turquin Brigitte, conseillère départementale EELV de l'Aisne , Gaïji Khaled, président des Amis de la Terre, George Susan, présidente du Transnational Institute, Girod Nicolas, porte-parole de la Confédération paysanne, Godard Stéphane, conseiller municipal de Montataire (60), Goodall Glyn, adjoint au maire, Saint-Ciers-sur-Gironde (33), Guignard Nicoline, En commun pour Belfort, Hamard Juliette, En commun pour Belfort, Harribey Jean-Marie, économiste, Henneguelle Anaïs, maîtresse de conférences en économie, université de Rennes 2, Heren Élodie, conseillère municipale EELV, Molliens-au-Bois (80), Hermann Marie, éditrice, Éditions Hors d'atteinte, Julliard Jean-François, directeur général de Greenpeace France, Jumel Sébastien, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Maritime, Kerckhove Stéphen, délégué général d'Agir pour l'Environnement, Lachaud Bastien, député LFI de Seine-Saint-Denis, Larive Michel, député LFI de l'Ariège, Larrère Mathilde, historienne, Latrille Guillaume, élu d’opposition à Villenave-d’Ornon (33), Lecoq Jean-Paul, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Maritime, Marinopoulos Sophie, cofondatrice des éditions Les Liens qui libèrent, Marolleau Jean-Louis, secrétaire exécutif réseau Foi & Justice Afrique-Europe, antenne France., Martinez Philippe, secrétaire général de la CGT, Massiah Gustave, militant altermondialiste, Menanteau Cécile et Schiano de Colella Géraldine, cogérantes de la librairie Les Bien-Aimés, Nantes, Mettai Gil, secrétaire régional EELV Picardie, Michaud Fabrice, secrétaire général de la fédération CGT Transports, Michel Stephanie, conseillère municipale de Fontenay-sous-Bois (94), Moroni Tatiana et Guichon Amandine, libraires, Mélenchon Jean-Luc, député LFI de Marseille, Ngo Philippe, éditions Moltogone, Obono Danièle, députée LFI de Paris, Olivier Maneiro, conseiller municipal LFI à Saint-Estèphe, Omarjee Younous, député européen (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Panot Mathilde, députée LFI du Val-de-Marne, Pelletier Anne-Sophie, députée européenne (groupe de la Gauche unitaire européenne-Gauche verte nordique), Perrin Emmanuel, conseiller municipal de Creil (Oise), Peu Stéphane, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Saint-Denis, Piolle Eric, maire EELV de Grenoble, Pires-Beaune Christine, députée PS du Puy-de-Dôme , Pochon Marie, secrétaire générale Notre Affaire à Tous, Poncet Monge Raymonde, sénatrice EÉLV, Potier Dominique, député PS de Meurthe-et-Moselle, Potier Julie, directrice générale de Bio Consom'acteurs, Poulain Paul, Emancipation collective, Prud'homme Loïc, député LFI de la Gironde, Quatennens Adrien, député LFI du Nord, Quintin Guillaume, secrétaire national du Parti de Gauche, conseiller municipal de Guerville, Regnaud-Nassar Mathilde, conseillère municipale En commun pour Belfort, Ressiguier Muriel, LFI députée de l'Hérault, Ribeiro Alexandre, conseiller municipal du collectif citoyen Cenon en commun à Cenon (33), Roby Agathe, conseillère municipale Archipel Citoyen à Toulouse, Romaggi Magali, co-animatrice du groupe Annecy Insoumise, La France insoumise, Roussel Fabien, député Gauche démocrate et républicaine du Nord, Roy Carine, conseillère municipale à Arnos (64), Rubin Sabine, députée LFI de Seine-Saint-Denis, Ruffin François, député LFI de la Somme, Salmon Daniel, sénateur EELV d'Ille-et-Vilaine, Schmitt René, conseiller municipal En commun pour Belfort, Seron Nina, conseillère municipale de Vitry-sur-Seine (94), Sterdyniak Henri, économiste, Les Economistes atterrés, Taurine Bénédicte, députée LFI de l'Ariège, Testart Jacques, biologiste, essayiste, Teste Benoit, secrétaire général de la FSU, Therouin Emilie, conseillère municipale d'opposition à Amiens, Thomas Pierre, président du Modef, Toussaint Marie, députée européenne (group des Verts-Alliance libre européenne), Trapp Karel, conseiller municipal En commun pour Belfort, Troadec Pascal, maire-adjoint de Grigny (91), Trouvé Aurélie, Pradeau Raphaël et Combes Maxime, porte-paroles d'Attac France, Trubert Henri, cofondateur des éditions Les Liens qui libèrent, Vernier Jean-Jacques, président du collectif En commun pour Belfort, Verret François, ingénieur agronome, Vignot Anne, maire EELV de Besançon, Wulfranc Hubert, député Gauche démocrate et républicaine de Seine-Maritime, Zafari Sophie, syndicaliste FSU

    Lien permanent Catégories : Association, Blog, CD's & DVD's, Covid-19 - Coronavirus, Décès - Mort - Hommage, Emmanuel Macron, Europe - (Union Européenne), Fait-Divers, Film, Gay & Lesbien, Handicap, Homicide Volontaire, Jeux, Journalisme, La France Insoumise (LFI), La République En Marche (LaREM), Les Patriotes, Les Républicains (LR), Les Verts (EELV), Livre, Loisirs, Mouvement Démocrates (MoDem), Musique, Parti Socialiste (PS), People, Photos, Pôle Emploi, Politique, Presse, Rassemblement National (RN), Réformes, Réseaux Sociaux - Internet - WebMaster, Retraites, Santé, Science, Shopping, Sport, Tentative d'Homicide Volontaire, Vinyle Is Back, Voyage, Web 0 commentaire
  • Aung San Suu Kyi arrêtée après un coup d'Etat militaire en Birmanie

    Imprimer Pin it!

    L'armée a, dans la foulée, proclamé l'état d'urgence pour un an. Le pays était sorti il y a tout juste dix ans d'un régime militaire au pouvoir pendant près d'un demi-siècle.

    Un coup d'Etat a été perpétré par l'armée en Birmanie, lundi 1er février, et l'état d'urgence a été proclamé pour un an. La cheffe de facto du gouvernement civil, Aung San Suu Kyi, a été arrêtée et des généraux ont été placés aux principaux postes du pouvoir. Ce coup d'Etat intervient alors que le Parlement issu des dernières législatives devait entamer sa première session dans la journée.

    Les militaires ont déclaré qu'ils souhaitaient préserver la "stabilité" de l'Etat, au cours d'une annonce diffusée sur leur chaîne de télévision, NAME. Ils accusent la commission électorale de ne pas avoir remédié aux "énormes irrégularités" qui ont eu lieu, selon eux, lors des législatives de novembre, remportées massivement par le parti d'Aung San Suu Kyi, la Ligue nationale pour la démocratie (LND), au pouvoir depuis les élections de 2015. Ils exigeaient que la commission électorale dirigée par le gouvernement publie la liste des électeurs à des fins de vérification – ce que la commission n'a pas fait.

    Tout comme Aung San Suu Kyi, le président de la République, Win Myint, a lui aussi été arrêté, tôt dans la matinée. "Nous avons entendu dire qu'ils étaient détenus à Naypyidaw", la capitale du pays, a précisé à l'AFP le porte-parole de la LND, Myo Nyunt. Ce dernier ajoute que plusieurs autres responsables ont aussi été interpellés. L'armée s'est ensuite emparée de l'hôtel de ville de Rangoun, la capitale économique du pays, et l'accès à son aéroport international était bloqué par des militaires, ont constaté des journalistes de l'AFP. Les télécommunications, portables et internet, étaient gravement perturbées, a relevé l'ONG spécialisée Netblocks (en anglais).

    Selon le communiqué de l'armée, Min Aung Hlaing concentre désormais les pouvoirs "législatif, administratif et judiciaire", tandis qu'un autre général, Myint Swe, a été désigné président par intérim, un poste largement honorifique.

    Condamnations internationales

    Les Etats-Unis et l'Australie ont rapidement réagi à ces événements. "Les Etats-Unis s'opposent à toute tentative de modifier le résultat des récentes élections (...) et prendront des mesures contre les responsables", a averti la porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki, dans un communiqué. La ministre australienne des Affaires étrangères, Marise Payne, a réclamé la libération immédiate des dirigeants civils et à appelé au respect de "l'état de droit". Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a "condamné fermement" l'arrestation d'Aung San Suu Kyi.

    Ces développements portent un coup dur aux réformes démocratiques en Birmanie.

    Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU

     

    Une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU sur la Birmanie prévue de longue date pourrait prendre un caractère d'urgence et être avancée en début de semaine en raison des derniers développements, a appris l'AFP de source diplomatique.

    Le parti d'Aung San Suu Kyi, très critiquée à l'international pour sa gestion de la crise des musulmans rohingyas (des centaines de milliers d'entre eux ont ont fui en 2017 les exactions de l'armée et se sont réfugiés au Bangladesh voisin) mais toujours adulée par une majorité de la population, avait remporté une victoire écrasante en novembre. Il s'agissait des deuxièmes élections générales depuis 2011, année de la dissolution de la junte.

  • Des fraudes "massives" au chômage partiel ont été menées depuis l'étranger

    Imprimer Pin it!

    Des fraudes "massives" au chômage partiel ont été menées depuis l'étranger

    Le parquet de Paris a annoncé vendredi enquêter sur des fraudes "massives" au chômage partiel à partir du confinement, impliquant des "flux financiers internationaux" qui ont occasionné "plus d'1,7 million d'euros" de préjudice.

    Selon les premières investigations, "les demandes frauduleuses de versement d'indemnités se faisaient par télédéclaration en usurpant la raison sociale et le numéro d'identification SIRET d'entreprises existantes qui ne demandaient pas à bénéficier des aides à l'activité partielle", explique dans un communiqué le parquet.

    Ce dernier s'est saisi lundi, au titre de sa compétence nationale en matière de lutte contre la criminalité organisée de très grande complexité (dite Junalco), de deux enquêtes ouvertes plus tôt par les parquets de Toulouse et Limoges pour "escroqueries en bande organisée aux prestations versées pour les salariés en situation de chômage partiel" et "blanchiment en bande organisée" de ces escroqueries.

    Lire aussi : Fraude au chômage partiel: «Entre l'erreur et les faux, la réponse sera graduée»

    6 millions d'euros suspendus

    Ces enquêtes ont été initiées "après la découverte de similitudes entre de nombreuses demandes d'autorisation d'activité partielle déposées par des entreprises".

    Selon une source proche du dossier, les enquêteurs soupçonnent "une organisation criminelle d'avoir monté une fraude depuis l'étranger".

    "Plus de 1.740 opérations frauduleuses sur tout le territoire national au nom de 1.069 sociétés différentes demandant des versements de fonds sur plus de 170 comptes bancaires différents" ont déjà été identifiées, détaille le parquet.

    Selon lui, plus de 1,7 million d'euros ont été indûment versés par l'Agence de Services et de Paiement (ASP), chargée de gérer pour le compte du Ministère de l'Emploi l'indemnisation de l'activité partielle.

    Toutefois, "le versement de plus de 6 millions d'euros a pu être suspendu dès la découverte des infractions", précise-t-il.

    "De nombreuses investigations, destinées notamment à mettre au jour les flux financiers internationaux issus de ces escroqueries, restent à effectuer", souligne le parquet, observant qu'elles nécessitaient "une forte coopération internationale".

    Dès le confinement et pour pallier l'arrêt d'activité en découlant, le gouvernement a élargi la possibilité de recourir au chômage partiel en France. Selon le ministère du Travail, 7,2 millions de Français ont été en chômage partiel un ou plusieurs jours par semaine en mars, 8,7 millions en avril et 7,8 millions en mai.

    Mi-juin, le gouvernement indiquait que depuis le début du confinement et de l'ouverture du dispositif, pas moins de 17 milliards d'euros avaient été dépensés par l'Etat. Et 31 milliards d'euros ont été inscrits dans le dernier budget rectificatif pour payer la facture.

    Lire aussi : Fraude au chômage partiel : 10.000 entreprises contrôlées, 50.000 d'ici la fin de l'été

    Pôle Emploi, Crise Sanitaire, Chômage Partiel, Fraude à l'assurance chômage, europe, UE, Fait-divers, Presse, Fraudes à Pôle Emploi

  • Fin du 100% télétravail : ce qu'il faut retenir du nouveau protocole sanitaire si vous revenez en présentiel aujourd'hui

    Imprimer Pin it!

    Fin du 100% télétravail : ce qu'il faut retenir du nouveau protocole sanitaire si vous revenez en présentiel aujourd'hui

    Le retour au bureau est possible à partir de mercredi, mais il reste encadré par des règles sanitaires strictes.

    C'est le début du retour au bureau. Depuis le mercredi 9 juin et la nouvelle phase de déconfinement, les salariés peuvent revenir sur leur lieu de travail, délaissé depuis de nombreux mois, et saluer de vive voix leurs collègues. Afin de faciliter cette rentrée, le protocole sanitaire pour lutter contre la propagation du Covid-19 s'allège. Mais les gestes barrières restent de rigueur, rappelle le ministère du Travail dans sa nouvelle version du protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise.

    >> Déconfinement : retrouvez toutes les informations sur l'épidémie de Covid-19 dans notre direct

    Pour réussir votre retour en présentiel, franceinfo fait le point sur les nouvelles régles en vigueur à compter du 9 juin.

    Le télétravail reste la règle

    Travailler depuis chez soi reste "une des mesures les plus efficaces pour prévenir le risque d’infection au Covid-19", rappelle en préambule le ministère du Travail dans son protocole sanitaire. Cependant, les règles s'assouplissent et le "100% télétravail" n'est plus obligatoire afin de permettre un retour progressif au bureau. Pour cela, le ministère a laissé la main aux entreprises, en concertation avec leurs partenaires sociaux, pour décider du nombre minimum de jours télétravaillés pour les activités qui le permettent.

    Interrogée mercredi 9 juin sur franceinfo, Elisabeth Borne, la ministre du Travail, a d'ailleurs réitéré son invitation à toutes les entreprises du secteur privé de négocier un accord sur le télétravail avec leurs salariés. N'hésitez pas à vous renseigner auprès de votre service des ressources humaines pour connaître le rythme de télétravail possible dans votre entreprise.

    Pour les travailleurs de la fonction publique, la règle est de trois jours de télétravail par semaine jusqu'au 1er juillet 2021, date à laquelle le nombre passera à deux jours si la situation sanitaire le permet. A compter du 1er septembre 2021, le régime de droit commun s'appliquera ainsi que le nouvel accord-cadre télétravail s'il est signé, précise le site Service-public.fr.

    Les personnes vulnérables continuent de travailler depuis leur domicile

    Si vous faites partie des personnes vulnérables identifiées dans le décret 2020-1365 du 10 novembre 2020, votre employeur doit vous proposer de télétravailler quand cela est possible. C'est le cas des plus de 65 ans, des personnes avec des antécédents cardiovasculaires, atteintes de diabète, d'immunodépression ou d'une maladie rare, mais aussi des femmes entrant dans leur troisième trimestre de grossesse.

    En cas d'impossibilité de travailler à domicile, l'employeur doit assurer la sécurité de ses salariés vulnérables en mettant notamment à leur disposition un bureau individuel quand cela est possible, en adaptant leurs horaires de travail afin d'éviter un trop grand nombre de contacts et en assurant une désinfection régulière de leur poste de travail au moins en début et en fin de vacation. 

    Les règles sanitaires doivent être respectées

    La pandémie étant toujours d'actualité les règles sanitaires le sont aussi. L'employeur est tenu de veiller à la sécurité sanitaire de ses salariés en assurant le nettoyage et la ventilation ou l'aération des locaux et en évitant au maximum les contacts rapprochés. Dès l'entrée dans votre entreprise, un sens unique de circulation doit être mis en place avec un marquage lisible au sol pour éviter les croisements et les retours en arrière. Les horaires d'arrivée et de départ peuvent être également adaptés, pensez à vérifier si c'est le cas dans votre entreprise. Si vous devez participer à des réunions, le nombre maximum de personnes à l'intérieur de la salle doit être indiqué à l'entrée de celle-ci. 

    Le masque n'est pas obligatoire dans les bureaux individuels 

    Le port du masque est systématique au sein des entreprises et dans les lieux collectifs clos. Mais si vous travaillez seul dans un bureau, vous pouvez l'enlever. Gardez-le toutefois à portée de main au cas où une personne entre dans votre bureau.

    Pour les salariés travaillant dans un atelier, il est possible de retirer le masque si les locaux sont ventilés ou aérés, qu'une distance d'au moins deux mètres est respectée entre les personnes présentes et qu'elles portent une visière.

    En extérieur, le port du masque est nécessaire en cas de regroupement ou d’incapacité de respecter la distance de deux mètres entre les personnes. Si vous devez vous déplacer à plusieurs dans un véhicule, préalablement désinfecté, alors le masque pour tous est de rigueur.

    Les open spaces sont soumis à certaines mesures

    Le ministère du Travail invite aussi à privilégier quand cela est possible les bureaux ou pièces à une personne. A défaut, dans les bureaux partagés, il est demandé d'éviter le face-à-face et de veiller à une distance physique d’au moins un mètre entre les personnes présentes. L'idéal est la mise en place de dispositifs de séparation et une aération ou ventilation régulière.

    Pour les espaces de travail habituellement en open flex, il est conseillé d'avoir un poste fixe dédié et d'éviter de partager les outils de travail comme le clavier ou la souris. Pensez à les désinfecter régulièrement s'il y a du passage à votre poste. Quant aux portes, hormis les portes coupe-feux, elles doivent rester ouvertes dans la mesure du possible. 

    Les règles à la cantine s'assouplissent 

    Ce n'est pas encore le retour des grandes tablées à la cantine, dont la capacité d'accueil est augmentée à 50% de leur jauge. Mais les tables de six personnes sont à nouveau autorisées, avec une distance de deux mètres entre chaque table sauf si elles sont séparées par une paroi, détaille la fiche d'organisation des restaurants d'entreprise éditée par le ministère du Travail.

    Par ailleurs, il faudra encore patienter pour le retour des salad-bar car les offres alimentaires en vrac sont toujours proscrites. Et si vous souhaitez déjeuner seul, votre employeur doit vous donner la possibilité de manger dans votre bureau s'il est individuel ou dans un local aménagé à cet effet. 

    Ce retour au bureau est aussi synonyme de retrouvailles avec les collègues autour de la machine à café ou dans tout autre lieu dédié à la pause. Ce moment de convivialité ne doit pas vous faire oublier les gestes barrières et si l'envie vous prend d'organiser ou de participer à un pot, le ministère recommande de le faire en extérieur et avec 25 personnes maximum.

  • Cet Extrait Reste Le Titre Phare De Son Album Du Même Nom : Enjoy - Mylène Farmer : Désobéissance

    Imprimer Pin it!

    Pour ma part,

    Ce nouvel extrait [Désobéissance - The Remixes] de cet artiste reste Le titre phare de son Album [Désobéissance] ; Il est le fruit de la maturité et de l'immense Talent de cet Artiste à part entière qu'est la brillante et talentueuse Mylène Farmer née « Mylène Jeanne Gautier » qui en parallèle même une double carrière de Chanteuse, d'Auteure, de Compositrice, d'Interprète, de Comédienne et d'Actrice [Giorgino et récemment Ghostland] pour ne citer qu'eux.

    J'espère que ce nouveau titre rencontre un succès National et Européen qu'il estime par ses pères et qu'elle mérite et un superbe accueil du public (déjà tout acquis à sa cause) ;)

    Mylène Farmer est déjà rentrée dans les « Charts » et a été très bien classé en France N°1 pendant de très nombreuses semaines et dans les pays Francophones, limitrophes et Frontaliers (Belgique, Suisse, Luxembourg, Espagne, Pays-Bas et même en Allemagne et en Italie) ainsi qu'en Ukraine et en Russie et dans d'autres pays de l'Europe de l'Est et même en Asie du Sud-Est (Vietnam, Taïwan, Corée du Sud et aussi au Japon) ou Mylène Farmer est très en vogue aujourd'hui et indémodable : Un Diamant à l'état brut... !

    De plus, près de trente cinq (35) années après la sortie de « Libertine » en 45 Tours le tube de Mylène Farmer à atteint la Première (1) place des « Charts » : Un Record Historique qu'aucun artiste Français n'avait encore réalisé en France…

    Et puis, autre record que détient Mylène Farmer celui des N°1 des ventes « physique » de Singles en France avec près de vingt (20) Tubes « Number One » des Tops et autres Charts ; Et cela n'est surement pas fini pour notre plus grand plaisir loin sans faut...

    Ce single est un « Bijou » à posséder et à consommer sans aucune modération pour les Mélomanes, les passionnés exagérés pour la musique et les mélos-mania mais aussi pour les dilettantes et les autres : Un Must !

    - Mylène Farmer est une Star sur le continent Européen comme le disait le chanteur [Sting] dans une interview Américaine accordée à des médias US en 2015 [… Mylène Farmer is a Big Star in Europe…]… !

    Bravo et Chapeau Bas.
    Que l'on aime ou pas Mylène Farmer est tout de même un génie dans son genre et une Icône en tout genre !
    Avis aux amateurs...

    Je conseille à tous les musicomanes, les mélomanes et les mélos-mania qui aiment la musique autant que moi de posséder une platine de disques vinyles ;
    Et puis…
    Très honnêtement, la magie opère d'avantage avec le bruit des sillons et du saphir sur la platine du tourne-disques : Un Bijou !

    Et même en vinyle cet « Opus » est un Vinyle à posséder et à consommer sans aucune modération pour les Mélomanes, les Fans et les passionnés exagérés pour la Musique mais aussi pour les dilettantes, les critiques, les septiques, les perplexes et les autres.

    Beaucoup d'amis se sont [bizarrement] un peu moqués de moi mais finalement ces vieux disques en plastique provenant de l'éthylène sont redevenus très à la mode pour mon [notre] plus grand plaisir. Avis Aux Amateurs Et Aux Septiques… !

    Ce Maxi 45 Tours (12'' Long Play) [Désobéissance - The Remixes] De Mylène Farmer Reste Le Titre Iconique De Sa Longue Et De Son Immense Carrière ! Trente cinq (35) années déjà derrière elle de carrière ininterrompue…
    Et c'est tout simplement le record de longévité musicale de sa brillante et sublime carrière… !
    Enjoy… Mylène Farmer !

    Mylène Farmer [Désobéissance - The Remixes] Est L'Un De Ses extraits Les Plus Sensible et les plus Dance Love : Bravo Et Chapeau Bas ! : Un Must Absolument Fabuleux ! Et Ainsi Soit Elle De Nous Fournir Cet Opus Extraordinairement Merveilleux tout en émotion ! :
    Et puis, désormais Mylène Farmer est [Sentimentale] dit-elle et clame-t-elle tout haut…
    Et même à tue-tête ! :
    Il n'est jamais trop tard pour se mélomaniser : Enjoy Yourself ! ;)

    Lire la suite